Le corps enseignant et la plupart des fonctionnaires exerçant dans la localité de Séguéla ont manifesté hier lundi 16 mars 2009 pour protester contre la bastonnade d’un médecin par des éléments des Forces nouvelles.
Les élèves de la localité de Séguéla n’ont pu retrouver le chemin de l’école comme leurs camarades vivant sur toute l’étendue du territoire ivoirien après la suspension de la grève par les enseignants, suite à leur rencontre le vendredi dernier avec le Président de la République. Et pour cause, les enseignants de ladite ville ont décrété une grève d’une semaine pour manifester leur indignation contre des faits de violence exercés par les éléments de Ouattara Issiaka alias ‘‘Wattao’’ à l’encontre du Docteur Kpan Robert, médecin chef du service de gynécologie du Chr de Séguéla. « Nous ne reprendrons pas les cours et ce, pendant une semaine. Ce qui est arrivé à notre camarade peut aussi nous arriver », ont lancé les enseignants qui sont descendus nombreux hier lundi 16 mars 2009 dans la rue, pour crier leur ras-le-bol face à ce qu’ils ont qualifié de « comportements barbares ». Voici les faits qui ont conduit à la colère des enseignants. Le Dr Kpan Robert en question, a été interpellé le samedi 13 mars 2009 dans son véhicule par des éléments des FN. Ces derniers lui reprochaient d’avoir roulé à vive allure. Et sans autre forme de procès, ces bourreaux du jour l’ont passé à tabac au point où il a failli succomber à ses blessures. Solidaires de leur camarade, les enseignants ont attendu ce lundi, un jour ouvrable pour protester et marquer leur désapprobation face à de tels agissements. Cette situation a paralysé la ville de Séguéla d’autant plus que les populations craignant une représaille de la part des éléments des Forces nouvelles, se sont terrées chez elles. Les marchés, les commerces et les services publics sont restés fermés. Vivement que les autorités de Séguéla trouvent une solution à ce problème afin de permettre aux élèves qui ont déjà payé un lourd tribut pour fait de grève, de retrouver définitivement le chemin de l’école. Relativement à cette grève, deux personnes sont décédées du fait de la fermeture de l’hôpital et de la morgue.
T.A.B
Les élèves de la localité de Séguéla n’ont pu retrouver le chemin de l’école comme leurs camarades vivant sur toute l’étendue du territoire ivoirien après la suspension de la grève par les enseignants, suite à leur rencontre le vendredi dernier avec le Président de la République. Et pour cause, les enseignants de ladite ville ont décrété une grève d’une semaine pour manifester leur indignation contre des faits de violence exercés par les éléments de Ouattara Issiaka alias ‘‘Wattao’’ à l’encontre du Docteur Kpan Robert, médecin chef du service de gynécologie du Chr de Séguéla. « Nous ne reprendrons pas les cours et ce, pendant une semaine. Ce qui est arrivé à notre camarade peut aussi nous arriver », ont lancé les enseignants qui sont descendus nombreux hier lundi 16 mars 2009 dans la rue, pour crier leur ras-le-bol face à ce qu’ils ont qualifié de « comportements barbares ». Voici les faits qui ont conduit à la colère des enseignants. Le Dr Kpan Robert en question, a été interpellé le samedi 13 mars 2009 dans son véhicule par des éléments des FN. Ces derniers lui reprochaient d’avoir roulé à vive allure. Et sans autre forme de procès, ces bourreaux du jour l’ont passé à tabac au point où il a failli succomber à ses blessures. Solidaires de leur camarade, les enseignants ont attendu ce lundi, un jour ouvrable pour protester et marquer leur désapprobation face à de tels agissements. Cette situation a paralysé la ville de Séguéla d’autant plus que les populations craignant une représaille de la part des éléments des Forces nouvelles, se sont terrées chez elles. Les marchés, les commerces et les services publics sont restés fermés. Vivement que les autorités de Séguéla trouvent une solution à ce problème afin de permettre aux élèves qui ont déjà payé un lourd tribut pour fait de grève, de retrouver définitivement le chemin de l’école. Relativement à cette grève, deux personnes sont décédées du fait de la fermeture de l’hôpital et de la morgue.
T.A.B
