Le commandant de la zone III des Forces nouvelles se porte bien. Il a fait une apparition télévisée, mercredi, à Bouaké, pour rassurer la population et ses hommes sur son état de santé.
Les abonnés de la chaîne de télévision, TV Notre patrie, qui émet dans les zones sous influence des ex-rebelles ont été agréablement surpris, mercredi, de voir sur leur petit écran, la tronche du commandant de la zone III, Chérif Ousmane. Il affichait, selon les téléspectateurs, une bonne mine. Il semblait avoir vaincu la terrible maladie qui l’a éloigné depuis plusieurs mois de ses hommes et de Bouaké.
Dans la capitale burkinabè, où il a été approché par les reporters de TV Notre patrie, il était en compagnie des commandants Losseni Fofana de Man et de Zoumana Ouattara de Mankono. Le commandant de la force ‘‘Guépard’’ n’a pas tari de remerciements et de gratitude à l’endroit du Premier ministre, Guillaume Soro et du chef d’état-major des Forces nouvelles, Soumaïla Bakayoko. «Je souhaite que vous soyez mon messager auprès de tous nos vieux et de toute cette population pour le soutien qu’ils ont eu à m’apporter. Dites-leur que je vais rentrer très bientôt», a-t-il déclaré.
Il a rassuré les uns et les autres sur son état de santé qui, selon lui, est au mieux. «Je peux rassurer tout le monde que ça va. Je tiens aussi à vous remercier pour ce geste d’amitié que vous avez posé, vraiment j’en suis heureux. Je remercie le secrétaire général des Forces nouvelles, le Premier ministre. Je dis merci au chef d’état-major des FaFn pour tout ce qu’ils ont pu faire pour que je sois aujourd’hui là où je suis. Ce n’est pas l’argent qui guérit forcément un malade, c’est plutôt le soutien moral, c’est le soutien physique, c’est le soutien de l’entourage qui guérit un homme et donc je pense que je ne me suis pas senti seul dans cette période difficile là. Tous mes hommages vont à l’endroit de la population qui était triste à un moment donné», a-t-il rassuré.
Et, d’ajouter: «Je sais l’engagement que certains ont eu. Je vous assure qu’il y a des gens que j’ai vus, des gens qui ne se sont jamais déplacés de chez eux depuis que je suis à Bouaké, même pendant les grandes cérémonies. Mais, quand ils ont appris que j’étais malade, immédiatement, certains sont venus chez moi, à la maison, pour prier, d’autres se sont déplacés pour venir me saluer (…..) si tout le monde avait su que Chérif Ousmane était malade et qu’il était à la maison à Bouaké, je sais combien de personnes se seraient déplacées pour venir me remonter le mental».
Tombé malade dans la capitale de l’ex-rébellion, Bouaké, le commandant de la zone III a été évacué en France pour des soins intensifs. Il observe aujourd’hui un repos médical à Ouagadougou, au Burkina-Faso.
K. Marras. D avec TVNP
Les abonnés de la chaîne de télévision, TV Notre patrie, qui émet dans les zones sous influence des ex-rebelles ont été agréablement surpris, mercredi, de voir sur leur petit écran, la tronche du commandant de la zone III, Chérif Ousmane. Il affichait, selon les téléspectateurs, une bonne mine. Il semblait avoir vaincu la terrible maladie qui l’a éloigné depuis plusieurs mois de ses hommes et de Bouaké.
Dans la capitale burkinabè, où il a été approché par les reporters de TV Notre patrie, il était en compagnie des commandants Losseni Fofana de Man et de Zoumana Ouattara de Mankono. Le commandant de la force ‘‘Guépard’’ n’a pas tari de remerciements et de gratitude à l’endroit du Premier ministre, Guillaume Soro et du chef d’état-major des Forces nouvelles, Soumaïla Bakayoko. «Je souhaite que vous soyez mon messager auprès de tous nos vieux et de toute cette population pour le soutien qu’ils ont eu à m’apporter. Dites-leur que je vais rentrer très bientôt», a-t-il déclaré.
Il a rassuré les uns et les autres sur son état de santé qui, selon lui, est au mieux. «Je peux rassurer tout le monde que ça va. Je tiens aussi à vous remercier pour ce geste d’amitié que vous avez posé, vraiment j’en suis heureux. Je remercie le secrétaire général des Forces nouvelles, le Premier ministre. Je dis merci au chef d’état-major des FaFn pour tout ce qu’ils ont pu faire pour que je sois aujourd’hui là où je suis. Ce n’est pas l’argent qui guérit forcément un malade, c’est plutôt le soutien moral, c’est le soutien physique, c’est le soutien de l’entourage qui guérit un homme et donc je pense que je ne me suis pas senti seul dans cette période difficile là. Tous mes hommages vont à l’endroit de la population qui était triste à un moment donné», a-t-il rassuré.
Et, d’ajouter: «Je sais l’engagement que certains ont eu. Je vous assure qu’il y a des gens que j’ai vus, des gens qui ne se sont jamais déplacés de chez eux depuis que je suis à Bouaké, même pendant les grandes cérémonies. Mais, quand ils ont appris que j’étais malade, immédiatement, certains sont venus chez moi, à la maison, pour prier, d’autres se sont déplacés pour venir me saluer (…..) si tout le monde avait su que Chérif Ousmane était malade et qu’il était à la maison à Bouaké, je sais combien de personnes se seraient déplacées pour venir me remonter le mental».
Tombé malade dans la capitale de l’ex-rébellion, Bouaké, le commandant de la zone III a été évacué en France pour des soins intensifs. Il observe aujourd’hui un repos médical à Ouagadougou, au Burkina-Faso.
K. Marras. D avec TVNP