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Politique Publié le vendredi 20 mars 2009 | Fraternité Matin

Ung : Stéphane Kipré mobilise Tanda

La tournée politique de sensibilisation au développement et à l’avenir de la Côte d’Ivoire de Stéphane Kipré, président de l’Union des nouvelles générations (Ung), se poursuit dans le Zanzan. Ainsi, les mardi 17 et mercredi 18 mars, le leader des Nouvelles générations et sa forte délégation ont échangé avec les peuples Abron Barabô et Koulango de Kouassi-N’Dawa et de Tanda, dans la région du Zanzan (Bondoukou).

Partout, il a invité la jeunesse en général et celle du Zanzan en particulier à se rassembler autour de l’Ung afin de sortir le pays du sous-développement. “Que vous soyez du Pdci, Rdr ou du Fpi, vous avez un seul devoir; à savoir comment faire pour que demain la Côte d’Ivoire revive et se développe. Faites un bloc autour de l’Ung pour que nous avancions; car l’heure du développement a sonné. Ne vous laissez pas manipuler”, a-t-il déclaré.

A Kouassi-N’Dawa, Stéphane Kipré a remercié et félicité les populations pour avoir freiné la rébellion et maintenu la ville de Bondoukou dans la République. “Je suis venu vous dire merci pour tout ce que vous avez fait pour la Côte d’Ivoire. Parce que aux temps de la crise, des gens se sont levés pour dire non; pour dire qu’il faut respecter la légalité et ont mis l’intérêt du pays en première ligne”.

Par ailleurs, le président de l’Ung a indiqué que les coups d’Etat freinent le développement des continents et s’appuyant sur l’exemple de Kouassi-N’Dawa, il pense qu’il n’y aura plus jamais de coup d’Etat en Côte d’Ivoire.

S’adressant à ceux qui veulent présider aux destinées du pays, il demande de présenter un programme de gouvernement aux Ivoiriens.

A Tanda, le message a été le même. Devant plus d’un millier de jeunes dont une centaine de têtes couronnées venus l’écouter, le président Stéphane Kipré a dit ne pas comprendre pourquoi la guerre a le dos aussi large dans notre pays. “Je ne comprends pas pourquoi pour enlever des ordures ménagères, on parle de la guerre; pour entretenir une piste, on parle de guerre; pourquoi?» s’est-il interrogé.



Souri Koné
Correspondant régional
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