Durant la crise que traverse la Côte d'Ivoire, depuis les 18 et 19 septembre 2002 à aujourd'hui, les soutiens au peuple ivoirien viennent de toute part. Soutiens dits de paix, et de droit de l'homme, l'ONU et la Communauté internationale en première ligne, dans l'objectif de faire respecter les résolutions onusiennes à l'égard des différents belligérants impliqués dans la crise ivoirienne.
En effet, depuis quelque temps, le président du COJEP Blé Goudé fait l'objet d'attaques gratuites de la part de cette organisation mondiale dont tous les pays membres y ont un droit de regard politique, économique et diplomatique. Ces attaques et provocations venant de celle-là même, censée nous aider, nous accompagner dans nos différentes recherches de réconciliation et de paix, celle-là même qui devrait nous permettre à raccorder le tissu social au plan national. Contrairement à tout cela, c'est cette organisation appelée ONU qui se transforme en belligérant et en force d'occupation sur le terrain dans la crise; en produisant des résolutions de déstabilisation d'un Etat souverain, en sanctionnant à la sauvette, les dignes fils qui appellent à la réconciliation et à la paix des Ivoiriens à se pardonner et ensuite à regarder dans la même direction dans l'intérêt supérieur de la nation.
En initiant des caravanes de l'unité, de rassemblement et de pardon entre toute la jeunesse du pays, quelle soit du parti au pouvoir ou de l'opposition. Tout cela avait été déjà dénoncé pour la première fois par le président Goré Bi Goré Sylvain, dans le Journal l'Inter n° 3002 des samedi 17 et dimanche 18 mai 2008 en page 03. Dénonciation portant sur les sanctions onusiennes à l'endroit de Blé Goudé, Eugène Djué et Fofié Kouakou. Cette ONU a fermé les yeux à la France de Jaques Chirac en tuant les Ivoiriens les 17,18 et 19 novembre 2004 en utilisant des avions de combat, sous prétexte de la mort de ses 08 soldats français et un ressortissant américain. Enfin de compte 09 soldats tués par l'armée ivoirienne, nous dit-on, dont on a jamais vu les corps. La France de Jacques Chirac venait de mentir au monde entier. Aucune réaction de condamnation n'est venue de la part de cette organisation mondiale, censée protéger les nations en crise. Quelle complicité et quelle faiblesse à l'endroit de cette ONU? Qui sanctionnera-t-il la France, dans cette barbarie humaine? Qui la condamnera ?
Cette énième provocation contre Blé Goudé, à interdire Fraternité-Matin qui est un organe de presse de la Côte d'Ivoire à éditer son livre, est une seconde insulte à l'endroit du peuple ivoirien. Si elle n'y prend garde, elle trouvera ce peuple désormais averti sur son chemin.
Le président de l'Alliance des jeunes ivoiriens pour le soutien aux actions du Président Blaise Compaoré pour le retour de la paix en Côte d'Ivoire, le président Goré Bi Goré Sylvain appelle le peuple à la vigilance. Et met en garde l'ONU en ne poussant pas le peuple ivoirien à bout de souffle. Met également l'ONU en garde contre toute action à vouloir saboter l'Accord de Ouaga et apporte son soutien total et indéfectible à Charles Blé Goudé et son équipe.
La Côte d'Ivoire n'a d'ordre à recevoir d'aucune puissance ni d'aucune personne. Le peuple qui a souffert de cette crise politico-militaire, est aujourd'hui prêt à aller à la paix quel que soit le prix à payer.
Que Dieu bénisse la Côte d'Ivoire !
Le Président Goré Bi Goré Sylvain
En effet, depuis quelque temps, le président du COJEP Blé Goudé fait l'objet d'attaques gratuites de la part de cette organisation mondiale dont tous les pays membres y ont un droit de regard politique, économique et diplomatique. Ces attaques et provocations venant de celle-là même, censée nous aider, nous accompagner dans nos différentes recherches de réconciliation et de paix, celle-là même qui devrait nous permettre à raccorder le tissu social au plan national. Contrairement à tout cela, c'est cette organisation appelée ONU qui se transforme en belligérant et en force d'occupation sur le terrain dans la crise; en produisant des résolutions de déstabilisation d'un Etat souverain, en sanctionnant à la sauvette, les dignes fils qui appellent à la réconciliation et à la paix des Ivoiriens à se pardonner et ensuite à regarder dans la même direction dans l'intérêt supérieur de la nation.
En initiant des caravanes de l'unité, de rassemblement et de pardon entre toute la jeunesse du pays, quelle soit du parti au pouvoir ou de l'opposition. Tout cela avait été déjà dénoncé pour la première fois par le président Goré Bi Goré Sylvain, dans le Journal l'Inter n° 3002 des samedi 17 et dimanche 18 mai 2008 en page 03. Dénonciation portant sur les sanctions onusiennes à l'endroit de Blé Goudé, Eugène Djué et Fofié Kouakou. Cette ONU a fermé les yeux à la France de Jaques Chirac en tuant les Ivoiriens les 17,18 et 19 novembre 2004 en utilisant des avions de combat, sous prétexte de la mort de ses 08 soldats français et un ressortissant américain. Enfin de compte 09 soldats tués par l'armée ivoirienne, nous dit-on, dont on a jamais vu les corps. La France de Jacques Chirac venait de mentir au monde entier. Aucune réaction de condamnation n'est venue de la part de cette organisation mondiale, censée protéger les nations en crise. Quelle complicité et quelle faiblesse à l'endroit de cette ONU? Qui sanctionnera-t-il la France, dans cette barbarie humaine? Qui la condamnera ?
Cette énième provocation contre Blé Goudé, à interdire Fraternité-Matin qui est un organe de presse de la Côte d'Ivoire à éditer son livre, est une seconde insulte à l'endroit du peuple ivoirien. Si elle n'y prend garde, elle trouvera ce peuple désormais averti sur son chemin.
Le président de l'Alliance des jeunes ivoiriens pour le soutien aux actions du Président Blaise Compaoré pour le retour de la paix en Côte d'Ivoire, le président Goré Bi Goré Sylvain appelle le peuple à la vigilance. Et met en garde l'ONU en ne poussant pas le peuple ivoirien à bout de souffle. Met également l'ONU en garde contre toute action à vouloir saboter l'Accord de Ouaga et apporte son soutien total et indéfectible à Charles Blé Goudé et son équipe.
La Côte d'Ivoire n'a d'ordre à recevoir d'aucune puissance ni d'aucune personne. Le peuple qui a souffert de cette crise politico-militaire, est aujourd'hui prêt à aller à la paix quel que soit le prix à payer.
Que Dieu bénisse la Côte d'Ivoire !
Le Président Goré Bi Goré Sylvain
