“On fait passer un contributeur pour un journaliste", accuse le quotidien "Le Temps" N°1770 des samedi 21 et dimanche 22 mars 2009. Le "vrai journaliste" KIPRINDE SONIA, auteur de l'article publié dans un encadré à la page 5 dudit quotidien, reproche, en maître donneur de leçons, aux responsables du Groupe " Le Réveil ", d'avoir proprement menti aux ivoiriens sur le statut de monsieur Gnamantêh alias S. Epicure, en le présentant comme un journaliste, après son arrestation par le parquet d'Abidjan. Alors que selon " le vrai Journaliste” de " Le Temps " qui a sans aucun doute installé un système d'écoute dans la salle de rédaction du Quotidien " Le Nouveau Réveil ", monsieur Gnamantêh qui croupit à la MACA depuis le Jeudi 19 mars 2009, n'est qu'un "intrus" dans la corporation des "vrais journalistes" de Côte d'Ivoire : "C'est simplement le procès d'un intrus, un parfait fanatique de Bédié qui s'est, au soir de sa vie, découvert des qualités de chroniqueur. Là-bas à "Le Nouveau Réveil", il n'y a eu personne pour lui rappeler que n'est pas chroniqueur qui veut (…) Malheureusement, le fameux Gnamantêh, à la brigade de recherches de la gendarmerie ne l'a pas compris ainsi", enseigne le "vrai journaliste" de "Le Temps". Et le "vrai journaliste" qui a certainement eu une copie du procès verbal d'audition de monsieur Gnamantêh à la brigade de recherches de la gendarmerie affirme y avoir lu ceci : " Je signais des articles salement injurieux à l'encontre du chef de l'Etat. Je me suis permis de comparer le chef de l'Etat à Ali Baba ". C'est cela le vrai journalisme? Inventer des propos et les attribuer à quelqu'un dans le seul objectif de lui nier sa qualité de journaliste ? Depuis quand et à quel endroit le " vrai journaliste de "Le Temps" a-t-il entendu monsieur Gnamantêh tenir les propos qu'il lui attribue ? Et pour se faire bien comprendre et surtout pour mieux conforter le parquet d'Abidjan dans sa position qui nie à monsieur Gnamantêh son statut de journaliste, le " vrai journaliste de " Le Temps " décrète : " En fait Gnamantêh n'est pas journaliste. Et ça, Kah Zion, le patron de ce journal l'a déjà reconnu devant les autorités judiciaires… ". Ahurissant ! Mais pour mieux faire passer monsieur Dénis Kah Zion comme un homme malhonnête, " le vrai journaliste " de " Le Temps " enfonce : " Mais, par un tour de passe-passe très vert, il (Gnamantêh) est subitement devenu (selon Kah Zion) un journaliste régulièrement employé au sein de cet organe. Ce qui n'est pas vrai ". Tonnerre ! Comment le " vrai journaliste de " Le Temps " peut-il dire de telles contrevérités ? Depuis quand les autorités judiciaires ont-elles entendu monsieur Dénis Kah Zion sur le statut de monsieur Gnamantêh au sein du groupe " Le Réveil " ? Est-il seulement humain d'inventer de telles choses ? Et le " vrai journaliste " de " Le Temps " qui a sans doute installé un système d'écoute dans la salle de rédaction de " Le Nouveau Réveil " a tout entendu, même les murmures des collègues de monsieur Gnamantêh qui lui reprocheraient de tenter d'usurper le titre de journaliste : " Il (Gnamantêh) vient ici déposer ses papiers de temps en temps. Dire qu'il est journaliste, c'est un peu gros ", " murmure-t-on entre confrères, au sein de cet organe ". C'est du joli !
Enfin, le " vrai journaliste de " Le temps " termine son réquisitoire : " Le procès de Gnamantêh aura lieu le mardi prochain. S'il tombe sous le coup de la loi (évidemment, puisqu'il n'est pas journaliste et donc n'a aucun droit), il ira à la MACA. Et le ciel ne tombera pas sur la côte d'ivoire ". Sous-entendu : on le condamnera et il n'y aura rien ! Très confraternel, le " vrai journaliste " de " Le Temps ". Cet article du " vrai journaliste " de " Le Temps " soulève plusieurs questions : La confraternité a-t-elle un sens dans le milieu de la presse ivoirienne ? Est-il du devoir du quotidien " Le Temps " de démontrer avant le procès, que monsieur Gnamantêh n'est pas journaliste, surtout que cette démonstration est échafaudée sur des contrevérités ahurissantes ? Mais, par respect pour les responsables du quotidien " Le Temps ", nous nous en tiendrons à ces quelques questions et donc, nous n'en dirons pas plus : la confraternité ayant au Groupe " Le Réveil ", une signification profonde. Et il ne viendra jamais à l'esprit du DG de ce groupe, de permettre à un de ses employés, de tenter de discréditer un employé d'un autre organe en difficulté devant la justice, en niant son statut de journaliste : Encore moins avec des propos inventés de toutes pièces : anti confraternellement.
ASSALE TIEMOKO
Enfin, le " vrai journaliste de " Le temps " termine son réquisitoire : " Le procès de Gnamantêh aura lieu le mardi prochain. S'il tombe sous le coup de la loi (évidemment, puisqu'il n'est pas journaliste et donc n'a aucun droit), il ira à la MACA. Et le ciel ne tombera pas sur la côte d'ivoire ". Sous-entendu : on le condamnera et il n'y aura rien ! Très confraternel, le " vrai journaliste " de " Le Temps ". Cet article du " vrai journaliste " de " Le Temps " soulève plusieurs questions : La confraternité a-t-elle un sens dans le milieu de la presse ivoirienne ? Est-il du devoir du quotidien " Le Temps " de démontrer avant le procès, que monsieur Gnamantêh n'est pas journaliste, surtout que cette démonstration est échafaudée sur des contrevérités ahurissantes ? Mais, par respect pour les responsables du quotidien " Le Temps ", nous nous en tiendrons à ces quelques questions et donc, nous n'en dirons pas plus : la confraternité ayant au Groupe " Le Réveil ", une signification profonde. Et il ne viendra jamais à l'esprit du DG de ce groupe, de permettre à un de ses employés, de tenter de discréditer un employé d'un autre organe en difficulté devant la justice, en niant son statut de journaliste : Encore moins avec des propos inventés de toutes pièces : anti confraternellement.
ASSALE TIEMOKO