Les acteurs nationaux et internationaux du processus de sortie de crise en Côte d’Ivoire se sont retrouvés hier après-midi autour du président Laurent Gbagbo au palais de la présidence au Plateau. Cette rencontre concrétisait ainsi la promesse faite, la semaine dernière par le président Laurent Gbagbo de retour de Ouagadougou, de réunir l’ensemble des acteurs du processus de sortie de crise pour donner un coup d’accélérateur à l’application de l’accord complémentaire IV de Ouagadougou qui traite essentiellement des question militaires et sécuritaires.
Tous étaient donc présents. Le premier ministre Guillaume Soro, secrétaire général des Forces nouvelles, le ministre de la Défense, le ministre de la Sécurité, le chef d’état-major des forces armées nationales, les chefs de la police, de la gendarmerie, des douanes, des eaux et forêts, du centre de commandement intégré, le représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies, le représentant spécial du facilitateur,…
Seul manquait à l’appel, le général Soumaïla Bakayoko, chef d’état-major des forces armées des Forces nouvelles. Alain Lobognon, conseiller spécial du premier ministre et haut responsable des Forces nouvelles précisera plus tard que le général Soumaïla Bakayoko était empêché et qu’il a été représenté par le général Gueu Michel.
Le président Laurent Gbagbo arrivé au palais présidentiel à 16 h02 min est apparu très décontracté. Vêtu d’une chemise en pagne, le chef de l’Etat tout souriant a adressé une salutation aux journalistes amassés à l’entrée du bâtiment où devait se tenir la rencontre. Il a ensuite gravi les marches de l’escalier menant à son bureau arrachant au passage des éclats de rire à ses collaborateurs à qui il adressait certainement quelques mots plaisants. Signe annonciateur de la bonne ambiance qui prévalait à cette rencontre.
Le président Gbagbo rejoindra la salle d’audience, une vingtaine de minutes plus tard, après que le Premier ministre accompagné de quelques membres du gouvernement a pris place.
La réunion a démarré aux environs de seize heures et demie. Moins d’une heure plus tard, elle a pris fin. Tout le monde est ressorti de la rencontre le sourire aux lèvres. Et c’est le premier ministre Guillaume Soro qui s’est chargé d’en livrer la teneur aux nombreux journalistes qui ont fait le déplacement (voir la déclaration).
En définitive, tout semble s’être bien passé. Avec l’espoir que cette rencontre contribuera à remettre effectivement le processus de paix sur les rails.
Augustin Kouyo
Tous étaient donc présents. Le premier ministre Guillaume Soro, secrétaire général des Forces nouvelles, le ministre de la Défense, le ministre de la Sécurité, le chef d’état-major des forces armées nationales, les chefs de la police, de la gendarmerie, des douanes, des eaux et forêts, du centre de commandement intégré, le représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies, le représentant spécial du facilitateur,…
Seul manquait à l’appel, le général Soumaïla Bakayoko, chef d’état-major des forces armées des Forces nouvelles. Alain Lobognon, conseiller spécial du premier ministre et haut responsable des Forces nouvelles précisera plus tard que le général Soumaïla Bakayoko était empêché et qu’il a été représenté par le général Gueu Michel.
Le président Laurent Gbagbo arrivé au palais présidentiel à 16 h02 min est apparu très décontracté. Vêtu d’une chemise en pagne, le chef de l’Etat tout souriant a adressé une salutation aux journalistes amassés à l’entrée du bâtiment où devait se tenir la rencontre. Il a ensuite gravi les marches de l’escalier menant à son bureau arrachant au passage des éclats de rire à ses collaborateurs à qui il adressait certainement quelques mots plaisants. Signe annonciateur de la bonne ambiance qui prévalait à cette rencontre.
Le président Gbagbo rejoindra la salle d’audience, une vingtaine de minutes plus tard, après que le Premier ministre accompagné de quelques membres du gouvernement a pris place.
La réunion a démarré aux environs de seize heures et demie. Moins d’une heure plus tard, elle a pris fin. Tout le monde est ressorti de la rencontre le sourire aux lèvres. Et c’est le premier ministre Guillaume Soro qui s’est chargé d’en livrer la teneur aux nombreux journalistes qui ont fait le déplacement (voir la déclaration).
En définitive, tout semble s’être bien passé. Avec l’espoir que cette rencontre contribuera à remettre effectivement le processus de paix sur les rails.
Augustin Kouyo