Abidjan - Les enfants des anciens combattants de Côte d’Ivoire ont présenté samedi leur organisation dénommée organisation des fils des anciens combattants de Côte d’Ivoire (OFAC CI).
L’OFAC-CI remplace l’Union des fils des fondateurs de la république de Côte d’Ivoire (UFFR- CI) qui avait vu le jour en 1998.
La nouvelle ’organiation vise à maintenir des liens de solidarité entre les enfants des anciens combattants, précise Alassane Demba, président nouvellement élu au cours de la cérémonie de présentation de l’entité.
Les travaux de l’assemblée générale extraordinaire ont pour cadre la Maison des anciens combattants à Treichville (commune au sud d’Abidjan).
Les fils des anciens combattants veulent également « commémorer la mémoire de leurs pères qui ont contribué à la libération de la France ».
«Nous voulons également mener des actions à caractère économique et social pour améliorer nos conditions de vies » a-t-il ajouté.
Mahamadou Oumar, président de l’association des fils des anciens combattants tirailleurs et victimes du Sénégal a formulé pour sa part un vœu ardent auprès des autorités françaises.
«Nous voulons jouir de nos droits en cas de décès de nos deux parents suite au sacrifice consenti par nos parents », a conclu M. Oumar venu expressément de Dakar pour participer à cette cérémonie.
LS/mn/APA
L’OFAC-CI remplace l’Union des fils des fondateurs de la république de Côte d’Ivoire (UFFR- CI) qui avait vu le jour en 1998.
La nouvelle ’organiation vise à maintenir des liens de solidarité entre les enfants des anciens combattants, précise Alassane Demba, président nouvellement élu au cours de la cérémonie de présentation de l’entité.
Les travaux de l’assemblée générale extraordinaire ont pour cadre la Maison des anciens combattants à Treichville (commune au sud d’Abidjan).
Les fils des anciens combattants veulent également « commémorer la mémoire de leurs pères qui ont contribué à la libération de la France ».
«Nous voulons également mener des actions à caractère économique et social pour améliorer nos conditions de vies » a-t-il ajouté.
Mahamadou Oumar, président de l’association des fils des anciens combattants tirailleurs et victimes du Sénégal a formulé pour sa part un vœu ardent auprès des autorités françaises.
«Nous voulons jouir de nos droits en cas de décès de nos deux parents suite au sacrifice consenti par nos parents », a conclu M. Oumar venu expressément de Dakar pour participer à cette cérémonie.
LS/mn/APA