Esprit de solidarité et de défense de la liberté de la presse. Ces deux qualités ont marqué durant tout le procès, deux organisations du monde de la presse en Côte d`Ivoire. A savoir le Gepci et le Cnp. Le premier qui est le Groupement des éditeurs de presse de Côte d`Ivoire a pondu, dès les premières heures de l`incarcération du journaliste Gnamantêh, une déclaration d`engagement à soutenir le groupe de presse "Le Réveil" et son rédacteur emprisonné. Le Gepci a, à travers sa déclaration, relevé que les problèmes de la corporation sont aussi les siens. M. Sangaré Aboulaye, Pca du Groupement et N`guilissi François, premier vice-président dudit groupement, ont, de tout temps, assisté le groupe "Le Réveil". Idem pour le Cnp (Conseil national de la presse) dont le président Eugène Dié Kacou et sa collaboratrice Mlle Amoikon se sont investis aux côtés du groupe "Le Réveil". A chaque occasion, ils n`ont pas manqué de dénoncer l`emprisonnement et le harcèlement dont était l`objet le journaliste Gnamantêh et l`organe de presse auquel il appartient. Merci à ces deux organisations et à tous les autres qui se sont mobilisées pour que la liberté de presse triomphe.
Diarrasoba Sory
Diarrasoba Sory