Trente ministres dont le futur Premier ministre Benjamin Netanyahu. C’est le nouveau gouvernement de coalition, «le plus pléthorique dans l’histoire d’Israël», selon France 24, que Netanyahu a présenté, hier, à l’investiture du Parlement.
Pour y arriver, le prochain chef du gouvernement s’est appuyé sur une assise parlementaire de 69 députés sur les 120 de la Knesset.
La coalition comprend, au poste clé des Affaires étrangères, le chef du parti Israël Beiteinou, l’ultranationaliste Avigor Lieberman. Qui s’est illustré par des déclarations anti-arabes.
Outre le Likoud (27 députés) de Benjamin Netanyahu, le nouveau gouvernement réunit Israël Beiteinou (15), lesTravaillistes (gauche-13), le Shass (orthodoxe sépharade-11) et le Foyer juif (colons-3).
Bien que se disant prêt à négocier la paix avec les Palestiniens, Netanyahu a refusé de parler d’un Etat indépendant. «Le gouvernement, a-t-il dit, sous ma direction, agira pour arriver à la paix». Avant d’indiquer qu’Israël ne veut pas contrôler le destin des Palestiniens.
Le nouveau cabinet israélien, fortement dominé par les partis de droite et l’extrême droite, suscite inquiétude quant à la recherche de la paix avec les Palestiniens. Pour Nabil Abou Roudeina, porte-parole du président palestinien Mahmoud Abbas, les déclarations de Netanyahu constituent un début non encourageant de la part du gouvernement israélien.
Israël et l’Occident soupçonnent l’Iran de chercher à se doter de l’arme atomique sous le couvert d’un programme nucléaire civil. Aussi, le futur Premier ministre israélien a affirmé : «le plus grand danger pour l’humanité et pour Israël provient de la possibilité d’un régime doté de l’arme atomique».
Ernest Aka Simon
Pour y arriver, le prochain chef du gouvernement s’est appuyé sur une assise parlementaire de 69 députés sur les 120 de la Knesset.
La coalition comprend, au poste clé des Affaires étrangères, le chef du parti Israël Beiteinou, l’ultranationaliste Avigor Lieberman. Qui s’est illustré par des déclarations anti-arabes.
Outre le Likoud (27 députés) de Benjamin Netanyahu, le nouveau gouvernement réunit Israël Beiteinou (15), lesTravaillistes (gauche-13), le Shass (orthodoxe sépharade-11) et le Foyer juif (colons-3).
Bien que se disant prêt à négocier la paix avec les Palestiniens, Netanyahu a refusé de parler d’un Etat indépendant. «Le gouvernement, a-t-il dit, sous ma direction, agira pour arriver à la paix». Avant d’indiquer qu’Israël ne veut pas contrôler le destin des Palestiniens.
Le nouveau cabinet israélien, fortement dominé par les partis de droite et l’extrême droite, suscite inquiétude quant à la recherche de la paix avec les Palestiniens. Pour Nabil Abou Roudeina, porte-parole du président palestinien Mahmoud Abbas, les déclarations de Netanyahu constituent un début non encourageant de la part du gouvernement israélien.
Israël et l’Occident soupçonnent l’Iran de chercher à se doter de l’arme atomique sous le couvert d’un programme nucléaire civil. Aussi, le futur Premier ministre israélien a affirmé : «le plus grand danger pour l’humanité et pour Israël provient de la possibilité d’un régime doté de l’arme atomique».
Ernest Aka Simon