“Excellence Monsieur le président de la République et Madame,
Excellence M. le Premier ministre,
Messieurs les présidents des instituions,
Messieurs les ministres,
Excellences Messieurs les ambassadeurs, messieurs les officiers généraux, Honorables chefs religieux,
Mesdames et Messieurs en vos rangs, grades et qualités tous confondus.
Je voudrais tout d’abord vous dire merci pour ce déplacement que vous avez voulu bien effectuer pour nous les parents. Mes excellences, en de pareilles circonstances les mots manquent pour exprimer réellement ce que l’on pense. Mais, je vais me forcer pour dire juste un mot. C’est un mot de remerciement au nom des parents que nous sommes. Nous vous avons vu dans les Chu, excellence monsieur le président. Nous vous avons vu dans les familles. Nous vous avons vu parce que les drapeaux sont en berne. C’est un deuil national de 3 jours et nous vous voyons organiser cette cérémonie nationale. Ces genres de cérémonies sont organisés pour les hommes d’Etat mais, vous le faites pour nous. C’est pourquoi, au nom des parents des victimes, au nom des enfants, je voudrais vous dire encore une fois infiniment merci. Nous nous sentons véritablement soutenus et nous voyons la République debout devant, derrière nous, monsieur le président. Excellences, la douleur, elle est grande mais, nous restons dignes parce sue vous êtes derrière nous, la République est derrière nous. Encore une fois merci pour tout, merci pour ce que vous faites pour la Côte d’Ivoire.
Je vous remercie”.
Et de deux pour Gbagbo
Pour la deuxième fois depuis son accession au pouvoir, le Président Laurent Gbagbo a fondu en larmes devant une assemblée. La première fois, c’était lors des obsèques du ministre d’Etat Emile Boga Doudou, décédé le jeudi 19 septembre 2002, aux premières heures d’une mutinerie qui s’est transformée en tentative de coup d’Etat. Le Président de la République n’a pu retenir ses larmes face à la perte prématurée de son compagnon de lutte, pendant qu’il remplissait le livre des condoléances. Hier mercredi, Laurent Gbagbo a encore pleuré en public. Cette fois, parce que des « jeunes sont venus faire la fête et ils ont trouvé la mort ». Pis, Laurent Gbagbo n’a pu contenir ses larmes et c’est avec beaucoup d’émotion qu’il a remercié Joseph Blatter pour sa solidarité envers le peuple ivoirien. Qui a besoin d’être soutenu en ces moments difficiles.
Olivier Dion
Excellence M. le Premier ministre,
Messieurs les présidents des instituions,
Messieurs les ministres,
Excellences Messieurs les ambassadeurs, messieurs les officiers généraux, Honorables chefs religieux,
Mesdames et Messieurs en vos rangs, grades et qualités tous confondus.
Je voudrais tout d’abord vous dire merci pour ce déplacement que vous avez voulu bien effectuer pour nous les parents. Mes excellences, en de pareilles circonstances les mots manquent pour exprimer réellement ce que l’on pense. Mais, je vais me forcer pour dire juste un mot. C’est un mot de remerciement au nom des parents que nous sommes. Nous vous avons vu dans les Chu, excellence monsieur le président. Nous vous avons vu dans les familles. Nous vous avons vu parce que les drapeaux sont en berne. C’est un deuil national de 3 jours et nous vous voyons organiser cette cérémonie nationale. Ces genres de cérémonies sont organisés pour les hommes d’Etat mais, vous le faites pour nous. C’est pourquoi, au nom des parents des victimes, au nom des enfants, je voudrais vous dire encore une fois infiniment merci. Nous nous sentons véritablement soutenus et nous voyons la République debout devant, derrière nous, monsieur le président. Excellences, la douleur, elle est grande mais, nous restons dignes parce sue vous êtes derrière nous, la République est derrière nous. Encore une fois merci pour tout, merci pour ce que vous faites pour la Côte d’Ivoire.
Je vous remercie”.
Et de deux pour Gbagbo
Pour la deuxième fois depuis son accession au pouvoir, le Président Laurent Gbagbo a fondu en larmes devant une assemblée. La première fois, c’était lors des obsèques du ministre d’Etat Emile Boga Doudou, décédé le jeudi 19 septembre 2002, aux premières heures d’une mutinerie qui s’est transformée en tentative de coup d’Etat. Le Président de la République n’a pu retenir ses larmes face à la perte prématurée de son compagnon de lutte, pendant qu’il remplissait le livre des condoléances. Hier mercredi, Laurent Gbagbo a encore pleuré en public. Cette fois, parce que des « jeunes sont venus faire la fête et ils ont trouvé la mort ». Pis, Laurent Gbagbo n’a pu contenir ses larmes et c’est avec beaucoup d’émotion qu’il a remercié Joseph Blatter pour sa solidarité envers le peuple ivoirien. Qui a besoin d’être soutenu en ces moments difficiles.
Olivier Dion