On lui voulait la prison. Pour deux bonnes années. Et Gnamantêt respire l’air frais. Libéré parce que le journaliste qui n’a fait que son boulot. Comme la voie de la prison est gênante. Pour la réputation du prince. En ces temps de repositionnement international. Il faut tout de même faire taire. Ceux qui empêchent de « refonder » en rond. Et donc ce sera la mort par l’argent. Quarante millions de Fcfa à payer. Et une suspension de huit parutions. Pour perdre « Le Repère ». Tuer, d’une manière ou d’une autre!
Al Seni
Al Seni