N’sah hôtel de Grand-Bassam accueille depuis hier jeudi 1er avril 2009, un séminaire de trois jours organisé par le ministère de l’Environnement, des Eaux et Forêts pour trouver des solutions durables aux difficultés à la filière forêt–bois.
“L’état actuel et le fonctionnement des secteurs d’activités de la filière forêt-bois en Côte d’Ivoire’’ tel est le thème du séminaire de trois jours qui s’est ouvert ce jeudi 1er avril 2009 à Grand-Bassam et se poursuivra jusqu’au vendredi. N’goulet Kouamé Bédiabé, président du comité de pilotage a, dans son allocution, expliqué que la filière forêt-bois est affaiblie par de nombreuses difficultés. Car, dit-il, 9 usines sur 79 en activité avaient fermé du fait de la crise mondiale et des perturbations du marché international du bois. Aussi, a-t-il précisé, quatre commissions seront mises en place pour réfléchir pendant ce séminaire afin de trouver des solutions idoines. Ce sont les commissions ‘’développement de la production et de l’industrie’’, ‘’développement du commerce des produits forestiers’’, ‘’gestion des entreprises’’ puis ‘’ amélioration du cadre institutionnel et juridique’’. Quant au ministre de l’Environnement, des Eaux et Forêts, Dr Ahizi Aka Daniel, il a dit placer un grand espoir en ce séminaire. Ainsi a-t-il fait un bref état des lieux de la filière forêt-bois. Selon lui, ce secteur est ‘’ivoirisé’’ à 70% sur un total de 178 opérateurs économiques, 69 industriels, 39 societés civiles et l’école, agréés par son ministère. C‘est un secteur, a-t-il souligné, qui offre plus de 40 000 emplois directs et indirects avec 75% d’Ivoiriens pour un capital social de 70 milliards de nos francs dont 15% sont détenus par des Ivoiriens. 95% des produits sont principalement exportés en Europe, a-t-il précisé. 71 essences sur 300 reconnues comme commercialisables sont récoltées et la production annuelle est de 1,6 million de mètres cube, a-t-il lancé. La filière forêt-bois éprouve des difficultés que sont entre autres le manque de plateau technique performant pour optimiser le rendement de la matière première de plus en plus rare, l’absence de rendement des capacités de production, le déficit de renforcement, a-t-il souligné. C’est pourquoi, a-t-il martelé, qu’il reste convaincu que les conclusions de ces travaux seront stratégiques et opérationnelles.
M.O
“L’état actuel et le fonctionnement des secteurs d’activités de la filière forêt-bois en Côte d’Ivoire’’ tel est le thème du séminaire de trois jours qui s’est ouvert ce jeudi 1er avril 2009 à Grand-Bassam et se poursuivra jusqu’au vendredi. N’goulet Kouamé Bédiabé, président du comité de pilotage a, dans son allocution, expliqué que la filière forêt-bois est affaiblie par de nombreuses difficultés. Car, dit-il, 9 usines sur 79 en activité avaient fermé du fait de la crise mondiale et des perturbations du marché international du bois. Aussi, a-t-il précisé, quatre commissions seront mises en place pour réfléchir pendant ce séminaire afin de trouver des solutions idoines. Ce sont les commissions ‘’développement de la production et de l’industrie’’, ‘’développement du commerce des produits forestiers’’, ‘’gestion des entreprises’’ puis ‘’ amélioration du cadre institutionnel et juridique’’. Quant au ministre de l’Environnement, des Eaux et Forêts, Dr Ahizi Aka Daniel, il a dit placer un grand espoir en ce séminaire. Ainsi a-t-il fait un bref état des lieux de la filière forêt-bois. Selon lui, ce secteur est ‘’ivoirisé’’ à 70% sur un total de 178 opérateurs économiques, 69 industriels, 39 societés civiles et l’école, agréés par son ministère. C‘est un secteur, a-t-il souligné, qui offre plus de 40 000 emplois directs et indirects avec 75% d’Ivoiriens pour un capital social de 70 milliards de nos francs dont 15% sont détenus par des Ivoiriens. 95% des produits sont principalement exportés en Europe, a-t-il précisé. 71 essences sur 300 reconnues comme commercialisables sont récoltées et la production annuelle est de 1,6 million de mètres cube, a-t-il lancé. La filière forêt-bois éprouve des difficultés que sont entre autres le manque de plateau technique performant pour optimiser le rendement de la matière première de plus en plus rare, l’absence de rendement des capacités de production, le déficit de renforcement, a-t-il souligné. C’est pourquoi, a-t-il martelé, qu’il reste convaincu que les conclusions de ces travaux seront stratégiques et opérationnelles.
M.O
