Depuis le 29 mars 2009, la Côte d’Ivoire est en deuil. Dix neuf (19) de ses fils qui étaient allés au stade Félix Houphouet Boigny pour suivre la rencontre Eléphants- Flames du Malawi comptant pour les éliminatoires combinées de la CAN et du Mondial 2010 de football ont péri dans une bousculade. Cent trente deux (132) autres ont été blessés. Cette tragédie, naturellement, suscite la plus profonde indignation parmi la population. Les commentaires les plus enflammés, compte tenu de l’ampleur du désastre, sont faits. Œuvre du citoyen lambda ou d’une conscience critique.
Même si l’on ne peut conseiller la langue de bois ou la plume sous le boisseau sur cette épineuse question, il convient cependant d’indiquer une voie, celle de la mesure. Ce d’autant que certains critiques se sont érigés en procureurs.
0Volontairement ou involontairement, ils ont déjà mis des têtes à prix, exposé parfois à la vindicte populaire des gens qui n’ont pas une responsabilité directe dans la survenue des évènements malheureux.
Attention à ne pas envenimer les choses car la réaction de la foule est imprévisible. Restons dignes dans la douleur.
R.O.V : rogerokou@yahoo.fr
Même si l’on ne peut conseiller la langue de bois ou la plume sous le boisseau sur cette épineuse question, il convient cependant d’indiquer une voie, celle de la mesure. Ce d’autant que certains critiques se sont érigés en procureurs.
0Volontairement ou involontairement, ils ont déjà mis des têtes à prix, exposé parfois à la vindicte populaire des gens qui n’ont pas une responsabilité directe dans la survenue des évènements malheureux.
Attention à ne pas envenimer les choses car la réaction de la foule est imprévisible. Restons dignes dans la douleur.
R.O.V : rogerokou@yahoo.fr
