Pays d’accueil, la Côte d’Ivoire offre en toute circonstance au corps diplomatique accrédité sur son sol la commodité de l’accomplissement de leurs missions. En conformité avec la réciprocité.
Le ministre des Affaires étrangères, SEM. Youssouf Bakayoko, a donné l’assurance, hier, à son cabinet, aux diplomates. «La Côte d’Ivoire, soucieuse de l’application des conventions de Vienne sur les relations diplomatiques du 18 avril 1961, prend des dispositions nécessaires. Pour que tout se passe dans les normes, au regard des relations d’amitié avec les pays frères», a-t-il indiqué lors de la rencontre, hier matin, avec les Ambassadeurs.
En effet, face aux «contraintes et atteintes» qui entravent, selon eux l’exercice de leurs missions, les diplomates insistent sur la nécessité de l’application des Conventions de Vienne.
Entraves à l’acheminement des valises diplomatiques, fouille à l’aéroport des bagages et des effets personnels, fouilles corporelles et contrôles aux check point, non respect du principe de l’exemption des taxes et impôts à l’importation des missions et des personnels diplomatiques sont, entre autres les «violations» relevées par le corps diplomatique.
Face à ces «violations», SEM. Youssouf Bakayoko a indiqué qu’au niveau de l’aéroport, des instructions nécessaires seront données. Afin que soient appliquées les normes des différentes Conventions, notamment celle de Chicago.
La certification pour l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan en vue des vols en direction des Etats-Unis préoccupe les autorités ivoiriennes.
Par ailleurs, des travaux de réhabilitation du salon d’honneur crée, en particulier, des désagréments aux représentants des pays en Côte d’Ivoire et en général aux utilisateurs de cet espace. Le ministre des Affaires étrangères a indiqué qu’à ce niveau, des dispositions ont été également prises. Tout comme au niveau du parking de l’aéroport tenu par un opérateur économique privé où un espace sera néanmoins réservé aux diplomates.
Pour lever toute équivoque, SEM. Youssouf Bakayoko a noté que les échanges sur les entraves rencontrées par le corps diplomatique feront l’objet de rencontres institutionnalisées.
E. A. S
Le ministre des Affaires étrangères, SEM. Youssouf Bakayoko, a donné l’assurance, hier, à son cabinet, aux diplomates. «La Côte d’Ivoire, soucieuse de l’application des conventions de Vienne sur les relations diplomatiques du 18 avril 1961, prend des dispositions nécessaires. Pour que tout se passe dans les normes, au regard des relations d’amitié avec les pays frères», a-t-il indiqué lors de la rencontre, hier matin, avec les Ambassadeurs.
En effet, face aux «contraintes et atteintes» qui entravent, selon eux l’exercice de leurs missions, les diplomates insistent sur la nécessité de l’application des Conventions de Vienne.
Entraves à l’acheminement des valises diplomatiques, fouille à l’aéroport des bagages et des effets personnels, fouilles corporelles et contrôles aux check point, non respect du principe de l’exemption des taxes et impôts à l’importation des missions et des personnels diplomatiques sont, entre autres les «violations» relevées par le corps diplomatique.
Face à ces «violations», SEM. Youssouf Bakayoko a indiqué qu’au niveau de l’aéroport, des instructions nécessaires seront données. Afin que soient appliquées les normes des différentes Conventions, notamment celle de Chicago.
La certification pour l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan en vue des vols en direction des Etats-Unis préoccupe les autorités ivoiriennes.
Par ailleurs, des travaux de réhabilitation du salon d’honneur crée, en particulier, des désagréments aux représentants des pays en Côte d’Ivoire et en général aux utilisateurs de cet espace. Le ministre des Affaires étrangères a indiqué qu’à ce niveau, des dispositions ont été également prises. Tout comme au niveau du parking de l’aéroport tenu par un opérateur économique privé où un espace sera néanmoins réservé aux diplomates.
Pour lever toute équivoque, SEM. Youssouf Bakayoko a noté que les échanges sur les entraves rencontrées par le corps diplomatique feront l’objet de rencontres institutionnalisées.
E. A. S