Un atelier organisé par le ministère de la communication a réuni, du 6 au 7 avril, sur le renforcement des capacités des producteurs audiovisuels, une cinquantaine de participants. Plusieurs résolutions ont sanctionné cette rencontre.
Le ministère de la communication a organisé du 6 au 7 avril, à l'hôtel du Golf à Abidjan, un atelier de renforcement des capacités des producteurs audiovisuels de Côte d'ivoire. Au terme de cette rencontre, les participants ont souhaité la mise sur pied d'un organisme de promotion de l'audiovisuel ivoirien sur le marché international, une diversification des modes d'intervention publique à travers des subventions directes, une fiscalité adéquate, une facilitation des mobilisations des garanties bancaires. Ils ont également souhaité l'implication de l'Etat dans la relation diffuseur et producteur et la mise en place d'un organe de suivi en œuvre des résolutions. Quatre commissions ont participé à ces réflexions. Ainsi, pour la commission environnement économique des sociétés de productions audiovisuelles en Côte d'ivoire, l'idée de la réorganisation, en terme de renforcement de moyens techniques et financiers mais aussi de lutte contre la piraterie est mise sur pied, pour la commission problème institutionnel des sociétés de productions et organisations professionnelles de l'audiovisuel en Côte d'ivoire. Il est retenu que ce secteur est pourvoyeur d'emplois qui a besoin d'un cadre juridique pour son développement. Ainsi, il est proposé que la loi de 2004 portant régime juridique de la communication soit appliquée. La commission relation producteur et diffuseur a relevé que pour une meilleure collaboration entre la Rti et les producteurs privés, a souhaité la mise en place d'un cadre législatif réglementant les rapports entre les producteurs privés et les diffuseurs, l'installation et la réglementation d'aides publiques et de subventions à la production privée de Côte d'ivoire et enfin la commission formation aux métiers de la production audiovisuelle a souhaité qu'étant donné que la formation des producteurs audiovisuels est assurée par l'institut des sciences et techniques de la communication (Istc) , l'université de cocody , l'université catholique de l'Afrique de l'ouest (Ucao) et Agitel, ces établissements soient agréés par l'Etat. Le ministre de la communication a soutenu les participants tout en disant que la mise en route de ces résolutions dépend des producteurs privés et audiovisuels et d'éviter critiques et procès d'intention. L'objectif de cet atelier était de créer les conditions d'un développement durable et efficace de la production audiovisuelle.
Renaud Djatchi
Le ministère de la communication a organisé du 6 au 7 avril, à l'hôtel du Golf à Abidjan, un atelier de renforcement des capacités des producteurs audiovisuels de Côte d'ivoire. Au terme de cette rencontre, les participants ont souhaité la mise sur pied d'un organisme de promotion de l'audiovisuel ivoirien sur le marché international, une diversification des modes d'intervention publique à travers des subventions directes, une fiscalité adéquate, une facilitation des mobilisations des garanties bancaires. Ils ont également souhaité l'implication de l'Etat dans la relation diffuseur et producteur et la mise en place d'un organe de suivi en œuvre des résolutions. Quatre commissions ont participé à ces réflexions. Ainsi, pour la commission environnement économique des sociétés de productions audiovisuelles en Côte d'ivoire, l'idée de la réorganisation, en terme de renforcement de moyens techniques et financiers mais aussi de lutte contre la piraterie est mise sur pied, pour la commission problème institutionnel des sociétés de productions et organisations professionnelles de l'audiovisuel en Côte d'ivoire. Il est retenu que ce secteur est pourvoyeur d'emplois qui a besoin d'un cadre juridique pour son développement. Ainsi, il est proposé que la loi de 2004 portant régime juridique de la communication soit appliquée. La commission relation producteur et diffuseur a relevé que pour une meilleure collaboration entre la Rti et les producteurs privés, a souhaité la mise en place d'un cadre législatif réglementant les rapports entre les producteurs privés et les diffuseurs, l'installation et la réglementation d'aides publiques et de subventions à la production privée de Côte d'ivoire et enfin la commission formation aux métiers de la production audiovisuelle a souhaité qu'étant donné que la formation des producteurs audiovisuels est assurée par l'institut des sciences et techniques de la communication (Istc) , l'université de cocody , l'université catholique de l'Afrique de l'ouest (Ucao) et Agitel, ces établissements soient agréés par l'Etat. Le ministre de la communication a soutenu les participants tout en disant que la mise en route de ces résolutions dépend des producteurs privés et audiovisuels et d'éviter critiques et procès d'intention. L'objectif de cet atelier était de créer les conditions d'un développement durable et efficace de la production audiovisuelle.
Renaud Djatchi