Notre Voie : Etes-vous satisfait du congrès dont vous venez de présider le comité d’organisation ?
César Etou : Oui, je suis satisfait. Parce que beaucoup de gens ont pensé que le congrès n’allait pas se tenir. Certaines personnes ont cru que l’UNJCI (ndlr, Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire) allait être affai-blie par les palabres qui ont précédé le congrès. Mais l’union est sortie plus forte qu’avant. Car le congrès a enregistré plus de 300 participants dont 261 votants. C’est le record absolu de tous les congrès de l’UNJCI. Jusque-là, les congrès organisés par l’Union n’ont enregistré que 175 votants au maximum. C’est dire que le congrès a été un succès.
N.V. : Les palabres survenues lors du congrès ne vous ont pas inquiété quant à l’issue des assises ?
C.E. : Non, je n’ai jamais eu peur. Parce qu’on ne bloque pas un congrès pour des questions de procédures. C’est le cas des procurations qui a coûté deux heures de temps au congrès. Sinon, avant les assises, nous avons eu à gérer des problèmes plus graves que ça. Et nous nous en sommes bien sortis. Donc, il n’y avait pas vraiment d’inquiétude à se faire à ce niveau.
N.V. : Quels conseils pouvez-vous donner à la nouvelle équipe diri-geante, d’autant plus que vous vous retirez des instances dirigeantes de l’UNJCI ?
C.E. : C’est vrai que je me retire des instances de l’UNJCI parce que des devoirs incompatibles avec les textes de l’union m’appellent ailleurs. Mais en tant que journaliste professionnel, avec mes 13 ans expérience à l’UNJCI, je donnerai mon avis et mon expertise à cette union ou à tout autre organe professionnel qui me la demandera. Je voudrais surtout dire aux nouveaux dirigeants de faire preuve d’initiatives profondes pour maintenir la crédibilité de l’UNJCI et pour l’améliorer. Tous les journalistes qui aspirent à diriger l’union doivent connaître les textes. Car, c’est l’ignorance des textes qui a entraîné les problèmes de procédures que nous avons connus lors de ce 7ème congrès.
Propos recueillis par Sérikpa Benson
César Etou : Oui, je suis satisfait. Parce que beaucoup de gens ont pensé que le congrès n’allait pas se tenir. Certaines personnes ont cru que l’UNJCI (ndlr, Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire) allait être affai-blie par les palabres qui ont précédé le congrès. Mais l’union est sortie plus forte qu’avant. Car le congrès a enregistré plus de 300 participants dont 261 votants. C’est le record absolu de tous les congrès de l’UNJCI. Jusque-là, les congrès organisés par l’Union n’ont enregistré que 175 votants au maximum. C’est dire que le congrès a été un succès.
N.V. : Les palabres survenues lors du congrès ne vous ont pas inquiété quant à l’issue des assises ?
C.E. : Non, je n’ai jamais eu peur. Parce qu’on ne bloque pas un congrès pour des questions de procédures. C’est le cas des procurations qui a coûté deux heures de temps au congrès. Sinon, avant les assises, nous avons eu à gérer des problèmes plus graves que ça. Et nous nous en sommes bien sortis. Donc, il n’y avait pas vraiment d’inquiétude à se faire à ce niveau.
N.V. : Quels conseils pouvez-vous donner à la nouvelle équipe diri-geante, d’autant plus que vous vous retirez des instances dirigeantes de l’UNJCI ?
C.E. : C’est vrai que je me retire des instances de l’UNJCI parce que des devoirs incompatibles avec les textes de l’union m’appellent ailleurs. Mais en tant que journaliste professionnel, avec mes 13 ans expérience à l’UNJCI, je donnerai mon avis et mon expertise à cette union ou à tout autre organe professionnel qui me la demandera. Je voudrais surtout dire aux nouveaux dirigeants de faire preuve d’initiatives profondes pour maintenir la crédibilité de l’UNJCI et pour l’améliorer. Tous les journalistes qui aspirent à diriger l’union doivent connaître les textes. Car, c’est l’ignorance des textes qui a entraîné les problèmes de procédures que nous avons connus lors de ce 7ème congrès.
Propos recueillis par Sérikpa Benson
