Comment réagissez-vous à la visite de la délégation du PDCI-RDA ?
Cette visite nous fait plaisir et nous va droit au cœur. C`est un signe de solidarité parce que nous avons reçu des blessés ici. Nous avons reçu des instructions fermes du gouvernement de prendre en charge tous les blessés du stade et ceci gratuitement. Et ces gestes de solidarité qui viennent de part et d`autre, viennent améliorer ce que nous avons fait. Aujourd`hui, le geste du PDCI est apprécié à deux titres : d`abord ce geste de compassion et de solidarité qui a motivé cette forte délégation qui s`est déplacée pour venir ici nous encourager dans la tâche qui est la nôtre, qui est notre mission bien sûr, mais quand on vient nous encourager, ça nous fait plaisir. Au-delà de cela, ce geste de compassion pour les malades qui souffrent dans leur chair, je crois que c`est aussi très important. C`est cette fraternité, cette solidarité ivoirienne qui vient d`être prouvée aussi. Mais au-delà de cela, ils ont fait des gestes pour les malades. Nous avons donné les soins, il y a une série de choses qui sont dressées autour des malades. Surtout au niveau des parents qui doivent se déplacer, s`occuper des patients, etc. Parfois, ils n`ont pas suffisamment de moyens. Ensuite, il y a eu un geste pour appuyer la pharmacie du CHU de Yopougon qui a dû, dans l`urgence, puiser dans ses réserves, dans les médicaments de réanimation, dans les médicaments d`urgence, pour venir au secours des blessés du stade. C`est un geste de compassion au niveau de la pharmacie pour essayer de relever le niveau des stocks.
Succinctement, au moment où intervient cette visite, quel est l`état des lieux relativement aux blessés ?
Je crois que comme je l`ai dit au début, nous avons reçu une vingtaine de blessés. Il y a ceux qui ont été traités et parce que leur cas n`était pas aussi alarmant. Ils ont été traités; ils sont rentrés chez eux. On a eu quatre (4) cas sérieux. Aujourd`hui où je vous parle, il y en a deux qui peuvent sortir dans les 24 heures qui suivent. Il y a un qui vient d`être opéré et le troisième qui est le cas le plus sérieux va rester, il a besoin de rééducation. Il a déjà été opéré, il va rester quelques temps.
De Bouaffo
Photos: Patricia Ziahé
Cette visite nous fait plaisir et nous va droit au cœur. C`est un signe de solidarité parce que nous avons reçu des blessés ici. Nous avons reçu des instructions fermes du gouvernement de prendre en charge tous les blessés du stade et ceci gratuitement. Et ces gestes de solidarité qui viennent de part et d`autre, viennent améliorer ce que nous avons fait. Aujourd`hui, le geste du PDCI est apprécié à deux titres : d`abord ce geste de compassion et de solidarité qui a motivé cette forte délégation qui s`est déplacée pour venir ici nous encourager dans la tâche qui est la nôtre, qui est notre mission bien sûr, mais quand on vient nous encourager, ça nous fait plaisir. Au-delà de cela, ce geste de compassion pour les malades qui souffrent dans leur chair, je crois que c`est aussi très important. C`est cette fraternité, cette solidarité ivoirienne qui vient d`être prouvée aussi. Mais au-delà de cela, ils ont fait des gestes pour les malades. Nous avons donné les soins, il y a une série de choses qui sont dressées autour des malades. Surtout au niveau des parents qui doivent se déplacer, s`occuper des patients, etc. Parfois, ils n`ont pas suffisamment de moyens. Ensuite, il y a eu un geste pour appuyer la pharmacie du CHU de Yopougon qui a dû, dans l`urgence, puiser dans ses réserves, dans les médicaments de réanimation, dans les médicaments d`urgence, pour venir au secours des blessés du stade. C`est un geste de compassion au niveau de la pharmacie pour essayer de relever le niveau des stocks.
Succinctement, au moment où intervient cette visite, quel est l`état des lieux relativement aux blessés ?
Je crois que comme je l`ai dit au début, nous avons reçu une vingtaine de blessés. Il y a ceux qui ont été traités et parce que leur cas n`était pas aussi alarmant. Ils ont été traités; ils sont rentrés chez eux. On a eu quatre (4) cas sérieux. Aujourd`hui où je vous parle, il y en a deux qui peuvent sortir dans les 24 heures qui suivent. Il y a un qui vient d`être opéré et le troisième qui est le cas le plus sérieux va rester, il a besoin de rééducation. Il a déjà été opéré, il va rester quelques temps.
De Bouaffo
Photos: Patricia Ziahé