L’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci) a, au cours de son point de presse hebdomadaire du jeudi, demandé à la Commission électorale indépendante (Cei) de publier la date des élections générales en Côte d’Ivoire, après les appels du Département d’Etat américain et du ministère français des Affaires étrangères pour la tenue de la présidentielle avant la fin de l’année 2009.
Ces réactions interviennent également dans la ligne et la logique de certains acteurs politiques ivoiriens qui ont exprimé la volonté de l’organisation des élections en 2009.
Le Premier ministre, Guillaume Soro, avait assuré samedi à Daoukro (ville d’origine de l’ancien président Henri Konan Bédié) que « le gouvernement fera tout pour que les élections s’organisent cette année ».
Le président du Rassemblement des républicains (RDR, opposition), Alassane Ouattara, dans un entretien publié mardi 31 mars dans le quotidien pro- gouvernemental, « Fraternité Matin », avait souhaité que les élections aient lieu au plus tard en octobre 2009. Il avait souligné que la barre des 6 millions de personnes enrôlées était significative pour arrêter l’opération d’identification et de recensement électoral pour aller aux phases suivantes.
Récemment, le Parti ivoirien des travailleurs (PIT) avait dénoncé le peu d’empressement des autorités à aller aux élections pour une sortie pacifique et rapide de la crise qui prévaut dans ce pays depuis 2002.
En revanche, le Congrès national de la résistance pour la démocratie (CNRD, force politique proche du président Laurent Gbagbo), dans une déclaration datée du mardi 7 avril, demande que tous les Ivoiriens soient enrôlés et a exigé le désarmemnet sans conditions des Forces nouvelles (ex- rébellion) avant la tenue des élections.
(Pana)
Ces réactions interviennent également dans la ligne et la logique de certains acteurs politiques ivoiriens qui ont exprimé la volonté de l’organisation des élections en 2009.
Le Premier ministre, Guillaume Soro, avait assuré samedi à Daoukro (ville d’origine de l’ancien président Henri Konan Bédié) que « le gouvernement fera tout pour que les élections s’organisent cette année ».
Le président du Rassemblement des républicains (RDR, opposition), Alassane Ouattara, dans un entretien publié mardi 31 mars dans le quotidien pro- gouvernemental, « Fraternité Matin », avait souhaité que les élections aient lieu au plus tard en octobre 2009. Il avait souligné que la barre des 6 millions de personnes enrôlées était significative pour arrêter l’opération d’identification et de recensement électoral pour aller aux phases suivantes.
Récemment, le Parti ivoirien des travailleurs (PIT) avait dénoncé le peu d’empressement des autorités à aller aux élections pour une sortie pacifique et rapide de la crise qui prévaut dans ce pays depuis 2002.
En revanche, le Congrès national de la résistance pour la démocratie (CNRD, force politique proche du président Laurent Gbagbo), dans une déclaration datée du mardi 7 avril, demande que tous les Ivoiriens soient enrôlés et a exigé le désarmemnet sans conditions des Forces nouvelles (ex- rébellion) avant la tenue des élections.
(Pana)