Au lendemain de la tragédie qui a frappé notre pays la Côte d’ivoire, le 29 mars 2009, certains journalistes sportifs, dans un accès de « complotite » maladive, ont cru bien faire, en donnant des résultats des enquêtes avant celles, officielles encore en cours. Dans cette frénésie incompréhensible, des noms de responsables, des fonctions de co-auteurs et même des titres de comploteurs sont attribués puis rendus publics par voie de presse, livrés, manifestement, à la vindicte d’un peuple éprouvé qui pleure encore ses morts.
Ayant été cité, au moins une fois, au détour de ces allégations mensongères et purement diffamatoires, je voudrais affirmer ici que je ne suis, ni de près, ni de loin, concerné par de tels écrits dont le contenu malveillant, éclaire facilement tous ceux qui ne veulent pas être pris pour des dupes.
1-L’immense tragédie qui a coûté à notre peuple la perte de 19 de nos concitoyens, alors même qu’ils étaient venus pousser à la victoire, notre chère équipe nationale de football, ne peut constituer pour personne, à fortiori le sportif, le dirigeant et le père de famille que je suis une occasion de jouissance…
La brutalité et l’ampleur de ce choc ont jeté, dans le désarroi, les familles, les amis, les parents des victimes et le peuple ivoirien tout entier.
En cette douloureuse circonstance, je veux, une fois encore, humblement, m’incliner devant la mémoire des victimes et exprimer, surtout aux familles des défunts, mes profondes condoléances puis, aux blessés, ma sincère compassion.
2- Depuis le 23 mars 2009, je suis en France pour divers engagements professionnels, Je n’étais donc pas à Abidjan, au moment où les graves événements du 29 mars se déroulaient. je n’aurais donc pu (je n’ai pas le don d’ubiquité) objectivement influer sur le cours de ces faits.
3-le Président de club (SEWE SPORT DE SAN PEDRO) que je suis, n’a ni les compétences ni les moyens pour autoriser que des milliers de supporters sans tickets officiels (délivrés exclusivement par la FIF) puissent avoir accès au stade, en violation des règles de contrôle et de sécurité, en vigueur.
4-Lorsque la tragédie, qui aurait pu être évitée est survenue, le Président de la république a saisi le procureur de la république à l’effet de mener une enquête pour situer les causes exactes et déterminer, s’il y a lieu, les responsabilités. Ayons confiance en la justice et prenons donc patience, car la vérité éclatera !
5-le fait que j’ai été ancien candidat à la FIF ou même que je veuille me porter encore candidat aux prochaines échéances électorales (ce qui n’est pas une certitude) ne peut pas faire de moi, la victime de calomnies abjectes et de dénigrements immoraux.
En conséquence, j’invite les uns et les autres, ici comme ailleurs, à un débat civilisé et moral. Car, dorénavant, je me réserverais le droit de donner une suite judiciaire aux accusations impertinentes et autres attaques commanditées dont le but inavoué est de me salir. Que tous ceux qui peuvent aider à la manifestation de la vérité dans cette dramatique affaire, prennent attache avec les services compétents du Procureur de la république.
DIOMANDE Eugène Marie.
Président du SEWE Sports de SAN PEDRO, Club de 1ère DIVISION
Bordeaux (France), le 13 avril 2009
Ayant été cité, au moins une fois, au détour de ces allégations mensongères et purement diffamatoires, je voudrais affirmer ici que je ne suis, ni de près, ni de loin, concerné par de tels écrits dont le contenu malveillant, éclaire facilement tous ceux qui ne veulent pas être pris pour des dupes.
1-L’immense tragédie qui a coûté à notre peuple la perte de 19 de nos concitoyens, alors même qu’ils étaient venus pousser à la victoire, notre chère équipe nationale de football, ne peut constituer pour personne, à fortiori le sportif, le dirigeant et le père de famille que je suis une occasion de jouissance…
La brutalité et l’ampleur de ce choc ont jeté, dans le désarroi, les familles, les amis, les parents des victimes et le peuple ivoirien tout entier.
En cette douloureuse circonstance, je veux, une fois encore, humblement, m’incliner devant la mémoire des victimes et exprimer, surtout aux familles des défunts, mes profondes condoléances puis, aux blessés, ma sincère compassion.
2- Depuis le 23 mars 2009, je suis en France pour divers engagements professionnels, Je n’étais donc pas à Abidjan, au moment où les graves événements du 29 mars se déroulaient. je n’aurais donc pu (je n’ai pas le don d’ubiquité) objectivement influer sur le cours de ces faits.
3-le Président de club (SEWE SPORT DE SAN PEDRO) que je suis, n’a ni les compétences ni les moyens pour autoriser que des milliers de supporters sans tickets officiels (délivrés exclusivement par la FIF) puissent avoir accès au stade, en violation des règles de contrôle et de sécurité, en vigueur.
4-Lorsque la tragédie, qui aurait pu être évitée est survenue, le Président de la république a saisi le procureur de la république à l’effet de mener une enquête pour situer les causes exactes et déterminer, s’il y a lieu, les responsabilités. Ayons confiance en la justice et prenons donc patience, car la vérité éclatera !
5-le fait que j’ai été ancien candidat à la FIF ou même que je veuille me porter encore candidat aux prochaines échéances électorales (ce qui n’est pas une certitude) ne peut pas faire de moi, la victime de calomnies abjectes et de dénigrements immoraux.
En conséquence, j’invite les uns et les autres, ici comme ailleurs, à un débat civilisé et moral. Car, dorénavant, je me réserverais le droit de donner une suite judiciaire aux accusations impertinentes et autres attaques commanditées dont le but inavoué est de me salir. Que tous ceux qui peuvent aider à la manifestation de la vérité dans cette dramatique affaire, prennent attache avec les services compétents du Procureur de la république.
DIOMANDE Eugène Marie.
Président du SEWE Sports de SAN PEDRO, Club de 1ère DIVISION
Bordeaux (France), le 13 avril 2009
