Couassi Blé Amédée, secrétaire général de la présidence de la République : «C’est une sœur, une aînée que j’ai connue en 1970 au lycée. Le sort a voulu que nous nous retrouvions à la présidence de la République. Je garde d’elle l’image d’une grande professionnelle, une battante, une personne qui a toujours prôné le langage de la vérité. C’était une personne loyale. Je voudrais saisir l’opportunité que vous m’offrez pour demander au Créateur de l’accueillir dans sa félicité et de lui pardonner toutes ses fautes».
Arsène Sibally, ancien maire de Gagnoa, militant du Fpi : «Elle était une sœur pour moi .C’était une dame qui était de tous les combats. Elle était très battante. A Gagnoa on l’appelait la Dame de fer».
Aboudramane Sangaré, inspecteur d’Etat : «Je garde d’elle l’image d’une dame qui s’est battue pour la Côte d’Ivoire et qui n’a pas pratiquement vu le fruit de ce pourquoi elle s’est battue. Il faut lui rendre un vibrant hommage».
Affi N’ Guessan, président du Fpi : «C’est l’image d’une dame de devoir qui est restée toujours digne, respectable, serviable qui a joué un rôle important dans cette crise à travers les différentes négociations que le président de la République a menées. C’est donc une perte pour la Nation et pour le président de la République».
Kapet Elisabeth, conseiller technique, détachée à la cellule micro- finance :«J’ai connu Mme Ottro au Mouvement international des femmes démocrates (Mifed). C’est une femme combattante, une femme de conviction, très humaine. J’ai été très émue d’apprendre son décès».
Georges Aboké, conseiller spécial, chargé des reformes en matière de communication :
«L’image que je garde de Mme Ottro, c’est l’image d’une dame très engagée».
Kouassi André, conseiller spécial, chargé des professions judiciaires : «C’est une dame discrète et efficace dans le travail».
Kouadio Caroline, secrétaire particulière de Ottro- Touré : «C’est une battante qui aimait le travail. Elle aimait souvent dire qu’il n’y a pas d’heure pour les braves. Nous avons beaucoup appris à ses côtés».
Kobenan Angèle, assistante de Mme Ottro:«C’est une battante, affectueuse. Avec elle, c’était toujours le travail bien fait».
Ahmed Tidiane Touré, frère aîné de Mme Ottro: «C’est moi qui l’ai élevée Elle a grandi avec moi. C’est moi qui l’ai mise à l’école. Elle était pour moi, à la fois une sœur et une fille. Je suis peiné. C’était une femme de bien, chaleureuse, d’un commerce facile».
Touré Karamoko, petit-frère et collaborateur de Mme Ottro : «Son départ nous attriste parce que c’était une dame extraordinaire. Nous perdons une grande dame, très humble. La douleur est grande».
Arsène Sibally, ancien maire de Gagnoa, militant du Fpi : «Elle était une sœur pour moi .C’était une dame qui était de tous les combats. Elle était très battante. A Gagnoa on l’appelait la Dame de fer».
Aboudramane Sangaré, inspecteur d’Etat : «Je garde d’elle l’image d’une dame qui s’est battue pour la Côte d’Ivoire et qui n’a pas pratiquement vu le fruit de ce pourquoi elle s’est battue. Il faut lui rendre un vibrant hommage».
Affi N’ Guessan, président du Fpi : «C’est l’image d’une dame de devoir qui est restée toujours digne, respectable, serviable qui a joué un rôle important dans cette crise à travers les différentes négociations que le président de la République a menées. C’est donc une perte pour la Nation et pour le président de la République».
Kapet Elisabeth, conseiller technique, détachée à la cellule micro- finance :«J’ai connu Mme Ottro au Mouvement international des femmes démocrates (Mifed). C’est une femme combattante, une femme de conviction, très humaine. J’ai été très émue d’apprendre son décès».
Georges Aboké, conseiller spécial, chargé des reformes en matière de communication :
«L’image que je garde de Mme Ottro, c’est l’image d’une dame très engagée».
Kouassi André, conseiller spécial, chargé des professions judiciaires : «C’est une dame discrète et efficace dans le travail».
Kouadio Caroline, secrétaire particulière de Ottro- Touré : «C’est une battante qui aimait le travail. Elle aimait souvent dire qu’il n’y a pas d’heure pour les braves. Nous avons beaucoup appris à ses côtés».
Kobenan Angèle, assistante de Mme Ottro:«C’est une battante, affectueuse. Avec elle, c’était toujours le travail bien fait».
Ahmed Tidiane Touré, frère aîné de Mme Ottro: «C’est moi qui l’ai élevée Elle a grandi avec moi. C’est moi qui l’ai mise à l’école. Elle était pour moi, à la fois une sœur et une fille. Je suis peiné. C’était une femme de bien, chaleureuse, d’un commerce facile».
Touré Karamoko, petit-frère et collaborateur de Mme Ottro : «Son départ nous attriste parce que c’était une dame extraordinaire. Nous perdons une grande dame, très humble. La douleur est grande».
