L’hôpital général d’Abobo rencontre ces jours-ci un problème dans son fonctionnement. Cette situation est liée à la fermeture du service de radiologie. Son premier responsable M. Attienbone Kouadio multiplie les initiatives pour la réouverture dudit service.
Depuis sa prise de fonction à la tête de l’hôpital général Houphouët Boigny d’Abobo, M. Attienbone Kouadio caresse le secret espoir d’améliorer les prestations de soins dans ce centre de santé. Ce vœu bute sur l’absence de matériels de pointe dans l’ensemble des services. Ce constat a fini par éclater au grand jour avec la fermeture du service de radiologie. Ce service sous-équipé en matériels de pointe dirigé par le médecin chef Dr Sokoury a dû mettre la clé sous le paillasson. Selon le directeur général Attienbone, avant « son effondrement», le service de radio « battait de l’aile » en raison de la vétusté de l’équipement. « L’équipement est vieillissant. Nous assistions à des pannes régulières. Pendant ce temps, l’Etat n’a pas les moyens pour rééquiper de manière optimale le service. Ainsi, la situation a perduré et le service de radiologie ne parvenait plus à être opérationnel. Cela nous a contraint à fermer », a précisé M. Attienbone. Au nombre des initiatives, le premier responsable de l’hôpital Houphouët-Boigny mise sur le leasing. Ce qui permettrait un rééquipement de ce service « sinistré ». Bien avant, tous les examens de radio ne se réalisent plus dans cet hôpital. Ce qui complique quelque peu la prise en charge de patients. Lors de notre passage hier, Dr Faye Gabriel, chef du service de Gynécologie, a dû conseiller à une de ses patientes de se rendre dans un autre centre de santé pour y réaliser une radio de l’utérus. « La patiente que je viens de recevoir est obligée d’aller dans une autre structure pour faire une ictérographie. On ne peut pas faire d’examen ici puisque la radio est fermée. Ici, nous ne pouvons plus travailler aisément. La fermeture de la radio est un handicap sérieux à la prise en charge de nos patients », a-t-il expliqué. Pour cet expert en Gynécologie, le leasing demeure la meilleure solution pour sortir le service « de l’agonie ». A ce propos, le directeur a obtenu l’aval du personnel. Dans les tout prochains jours, un partenariat avec un opérateur privé pourrait voir le jour. Et ce, pour améliorer le plateau technique et la qualité des soins dans cette formation sanitaire.
M.T.T
Depuis sa prise de fonction à la tête de l’hôpital général Houphouët Boigny d’Abobo, M. Attienbone Kouadio caresse le secret espoir d’améliorer les prestations de soins dans ce centre de santé. Ce vœu bute sur l’absence de matériels de pointe dans l’ensemble des services. Ce constat a fini par éclater au grand jour avec la fermeture du service de radiologie. Ce service sous-équipé en matériels de pointe dirigé par le médecin chef Dr Sokoury a dû mettre la clé sous le paillasson. Selon le directeur général Attienbone, avant « son effondrement», le service de radio « battait de l’aile » en raison de la vétusté de l’équipement. « L’équipement est vieillissant. Nous assistions à des pannes régulières. Pendant ce temps, l’Etat n’a pas les moyens pour rééquiper de manière optimale le service. Ainsi, la situation a perduré et le service de radiologie ne parvenait plus à être opérationnel. Cela nous a contraint à fermer », a précisé M. Attienbone. Au nombre des initiatives, le premier responsable de l’hôpital Houphouët-Boigny mise sur le leasing. Ce qui permettrait un rééquipement de ce service « sinistré ». Bien avant, tous les examens de radio ne se réalisent plus dans cet hôpital. Ce qui complique quelque peu la prise en charge de patients. Lors de notre passage hier, Dr Faye Gabriel, chef du service de Gynécologie, a dû conseiller à une de ses patientes de se rendre dans un autre centre de santé pour y réaliser une radio de l’utérus. « La patiente que je viens de recevoir est obligée d’aller dans une autre structure pour faire une ictérographie. On ne peut pas faire d’examen ici puisque la radio est fermée. Ici, nous ne pouvons plus travailler aisément. La fermeture de la radio est un handicap sérieux à la prise en charge de nos patients », a-t-il expliqué. Pour cet expert en Gynécologie, le leasing demeure la meilleure solution pour sortir le service « de l’agonie ». A ce propos, le directeur a obtenu l’aval du personnel. Dans les tout prochains jours, un partenariat avec un opérateur privé pourrait voir le jour. Et ce, pour améliorer le plateau technique et la qualité des soins dans cette formation sanitaire.
M.T.T
