FIRDAOUS et le Syndicat National des Encadreurs Autonomes du Hadj en Côte d'Ivoire -SYNEHACI - ne sont ni surpris encore moins étonnées de la tournure prise par le hadj en ces dernières éditions.
Nous l'avons prévue, annoncée en dénonçant les faiblesses structurelles de l'organisation mise en place par le Ministère des Cultes en 2004.
En tant que Président, nous avons payé au prix fort cette prise de position en son temps au point de nous délocalisé dans une autre commune. 500 (Cinq Cents) pèlerins n'ont pu effectuer le Hadj en cette année là. Le Ministre des Cultes a purement et simplement abrogé l'arrêté n°155 du 08 Janvier 2002. Les dispositions de cet arrêté libéralisaient toute la filière du Hadj. Il avait été conjointement signé par le Ministre d'Etat, Ministre de l'intérieur et de la décentralisation, feu BOGA DOUDOU et le Ministre des Affaires Etrangères, le professeur Aboudramane Sangaré.
L'arrêté « BOGA DOUDOU » sensé faire des ouvertures maîtrisées pour toutes les associations agréées, a été perverti dans sa forme et le fond. Le Ministre des Cultes a voulu faire cesser ce tohu bohu. Il s'est appuyé sur des associations agrées qui ont négativement infléchi sur son projet de maîtrise du Hadj. Toutes les associations, tous les partenaires et acteurs du Hadj n'ont pas encore oublié qu'en 2001, FIRDAOUS et le SYNEAHCI, ont eu le plus gros contingent de pèlerins.
-1080 (Mille Quatre Vingt) candidats au Hadj sur 1800 (Miller Huit Cents) pour l'ensemble du territoire national.
Plus prés de nous, en 2004, ces deux associations avaient un contingent de 854 (Huit Cent Cinquante Quatre) pendant que le Ministère et ses partenaires choisis n'en avaient que 300 (trois cents) sur une précision de 1500 (Mille Cinq Cents) à trente (30) jours du premier vol. Le Ministère des Cultes a imposé à tous les partenaires du Hadj la loi du monopole.. Un seul avionneur, un seul établissement financier, un seul logeur, tous choisis par le Ministère. Ce fut une cascade d'échecs par la suite. Tenons-nous en aux deux plus flagrant à onde de choc national.
- 500 candidats n'ont pu effectuer le hadj en 2004
- 2133 pèlerins, en règle à tous égards, sont restés au sol en 2006 bis. Ce n'est qu'un bref rappel.
La communauté musulmane peut organiser le Hadj en Cote d'Ivoire
La communauté musulmane sait organiser le Hadj. La communauté a les hommes qu'il faut. Ils en ont l'expertise par expérience avec la connaissance des hommes de capacité en Terre Sainte et la maîtrise du terrain. Oui. Oui. Oui. En 2004, nous avons confié à la presse, au cours d'une conférence, les causes récurrentes des échecs et comme solution la création de l'OFFICE IVOIRIEN DES PELERINAGES A LA MECQUE (OFIPEM). Des vampires se sont empalés sur l'idée. Laissons-les là. Nous demanderons à l'Etat la création de l'OFFICE IVOIRIEN DES PELERINAGES A LA MECQUE (OFIPEM).
Les statuts et l'organigramme d'un tel organe ne posent pas de problème. A ce niveau se dégage un profil type de l'administrateur de cette structure. Un homme rompu aux transactions financières internationales. Un homme du sérail de la filière, rompu aux arcanes du Hadj. Un homme dont les activités dans le circuit du hadj sont juridiquement justifiables, si besoin est. Cet homme n'est pas une exception dans la communauté musulmane. Sa désignation peut s'opérer, entre autres, selon deux modes. Un musulman ayant fait le hadj au moins une fois. Soit par un appel à candidature. Soit par décret.
La communication, levier de l'action de tout pouvoir permet la plus large transparence et la moins contestable possible de l'administrateur en charge de la nouvelle structure. Le programme de l'OFIPEM, son mode de fonctionnement pour une maîtrise totale du hadj relèvent d'un cahier de charges consensuelles avec tous les acteurs et partenaires du Hadj en amont comme en aval. Ainsi le choix de la banque, le choix des compagnies aériennes, le choix des propriétaires d'hébergement en Terre Sainte, seront désormais sous l'entière responsabilité des organisateurs. Il reste que l'OFIPEM doit uniformiser le coût des deux taxes saoudiennes obligatoires en accord avec tous les établissements financiers impliqués dans le Hadj. Le consulat travaille en synergie avec l'OFIPEM. La libéralisation totale de la filière du Hadj désengage l'Etat. FIRDAOUS et SYNEAHCI proposent que l'Etat prenne en charge le corps médical et l'assistance sociale ainsi que les médicaments usuels pour tout le contingent ivoirien. Cette sollicitude de l'Etat sera bénéfique à tous mettant fin à l'inégalité de traitement en cours depuis si longtemps FIRDAOUS et SYNEAHCI ne souhaitent sortir que de l'amateurisme professionnel. Elles constatent que les mêmes personnes en place dans la structure basique du Hadj sont reconduites après chaque échec. Il faut y mettre fin. La professionnalisation minimise l'intervention de l'Etat, élimine ceux-là même qui s'abritent sous son paratonnerre pour ne pas avoir à répondre de leurs actes malveillants devant la loi.
De toute évidence, se dégage des éditions du Hadj à ce jour une constance.
Des ouvertures maîtrisées par l'arrêté « BOGA DOUDOU » au monopole imposé par le Ministère des Cultes, il ne fut des préoccupations de personne la maîtrise des ouvertures et du monopole.
S'est ainsi installé insidieusement une certaine flexibilité dans l'octroi des agréments, faute de critères définis et rigoureux.
FIRDAOUS et le SYNEAHCI en ont une conscience de qualité peu médiocre.
FIRDAOUS et le SYNEAHCI ont confiance en notre communauté par sa capacité à mener à terme le Hadj, par son engagement physique, moral, spirituel dans l'accomplissement du Hadj , Cinquième Pilier de l'Islam.
Il y a beaucoup de musulmans. Très peu sont des « moumine » et pourtant, il y en a .
Que Dieu nous guide
El Hadj FOFANA Bema
Nous l'avons prévue, annoncée en dénonçant les faiblesses structurelles de l'organisation mise en place par le Ministère des Cultes en 2004.
En tant que Président, nous avons payé au prix fort cette prise de position en son temps au point de nous délocalisé dans une autre commune. 500 (Cinq Cents) pèlerins n'ont pu effectuer le Hadj en cette année là. Le Ministre des Cultes a purement et simplement abrogé l'arrêté n°155 du 08 Janvier 2002. Les dispositions de cet arrêté libéralisaient toute la filière du Hadj. Il avait été conjointement signé par le Ministre d'Etat, Ministre de l'intérieur et de la décentralisation, feu BOGA DOUDOU et le Ministre des Affaires Etrangères, le professeur Aboudramane Sangaré.
L'arrêté « BOGA DOUDOU » sensé faire des ouvertures maîtrisées pour toutes les associations agréées, a été perverti dans sa forme et le fond. Le Ministre des Cultes a voulu faire cesser ce tohu bohu. Il s'est appuyé sur des associations agrées qui ont négativement infléchi sur son projet de maîtrise du Hadj. Toutes les associations, tous les partenaires et acteurs du Hadj n'ont pas encore oublié qu'en 2001, FIRDAOUS et le SYNEAHCI, ont eu le plus gros contingent de pèlerins.
-1080 (Mille Quatre Vingt) candidats au Hadj sur 1800 (Miller Huit Cents) pour l'ensemble du territoire national.
Plus prés de nous, en 2004, ces deux associations avaient un contingent de 854 (Huit Cent Cinquante Quatre) pendant que le Ministère et ses partenaires choisis n'en avaient que 300 (trois cents) sur une précision de 1500 (Mille Cinq Cents) à trente (30) jours du premier vol. Le Ministère des Cultes a imposé à tous les partenaires du Hadj la loi du monopole.. Un seul avionneur, un seul établissement financier, un seul logeur, tous choisis par le Ministère. Ce fut une cascade d'échecs par la suite. Tenons-nous en aux deux plus flagrant à onde de choc national.
- 500 candidats n'ont pu effectuer le hadj en 2004
- 2133 pèlerins, en règle à tous égards, sont restés au sol en 2006 bis. Ce n'est qu'un bref rappel.
La communauté musulmane peut organiser le Hadj en Cote d'Ivoire
La communauté musulmane sait organiser le Hadj. La communauté a les hommes qu'il faut. Ils en ont l'expertise par expérience avec la connaissance des hommes de capacité en Terre Sainte et la maîtrise du terrain. Oui. Oui. Oui. En 2004, nous avons confié à la presse, au cours d'une conférence, les causes récurrentes des échecs et comme solution la création de l'OFFICE IVOIRIEN DES PELERINAGES A LA MECQUE (OFIPEM). Des vampires se sont empalés sur l'idée. Laissons-les là. Nous demanderons à l'Etat la création de l'OFFICE IVOIRIEN DES PELERINAGES A LA MECQUE (OFIPEM).
Les statuts et l'organigramme d'un tel organe ne posent pas de problème. A ce niveau se dégage un profil type de l'administrateur de cette structure. Un homme rompu aux transactions financières internationales. Un homme du sérail de la filière, rompu aux arcanes du Hadj. Un homme dont les activités dans le circuit du hadj sont juridiquement justifiables, si besoin est. Cet homme n'est pas une exception dans la communauté musulmane. Sa désignation peut s'opérer, entre autres, selon deux modes. Un musulman ayant fait le hadj au moins une fois. Soit par un appel à candidature. Soit par décret.
La communication, levier de l'action de tout pouvoir permet la plus large transparence et la moins contestable possible de l'administrateur en charge de la nouvelle structure. Le programme de l'OFIPEM, son mode de fonctionnement pour une maîtrise totale du hadj relèvent d'un cahier de charges consensuelles avec tous les acteurs et partenaires du Hadj en amont comme en aval. Ainsi le choix de la banque, le choix des compagnies aériennes, le choix des propriétaires d'hébergement en Terre Sainte, seront désormais sous l'entière responsabilité des organisateurs. Il reste que l'OFIPEM doit uniformiser le coût des deux taxes saoudiennes obligatoires en accord avec tous les établissements financiers impliqués dans le Hadj. Le consulat travaille en synergie avec l'OFIPEM. La libéralisation totale de la filière du Hadj désengage l'Etat. FIRDAOUS et SYNEAHCI proposent que l'Etat prenne en charge le corps médical et l'assistance sociale ainsi que les médicaments usuels pour tout le contingent ivoirien. Cette sollicitude de l'Etat sera bénéfique à tous mettant fin à l'inégalité de traitement en cours depuis si longtemps FIRDAOUS et SYNEAHCI ne souhaitent sortir que de l'amateurisme professionnel. Elles constatent que les mêmes personnes en place dans la structure basique du Hadj sont reconduites après chaque échec. Il faut y mettre fin. La professionnalisation minimise l'intervention de l'Etat, élimine ceux-là même qui s'abritent sous son paratonnerre pour ne pas avoir à répondre de leurs actes malveillants devant la loi.
De toute évidence, se dégage des éditions du Hadj à ce jour une constance.
Des ouvertures maîtrisées par l'arrêté « BOGA DOUDOU » au monopole imposé par le Ministère des Cultes, il ne fut des préoccupations de personne la maîtrise des ouvertures et du monopole.
S'est ainsi installé insidieusement une certaine flexibilité dans l'octroi des agréments, faute de critères définis et rigoureux.
FIRDAOUS et le SYNEAHCI en ont une conscience de qualité peu médiocre.
FIRDAOUS et le SYNEAHCI ont confiance en notre communauté par sa capacité à mener à terme le Hadj, par son engagement physique, moral, spirituel dans l'accomplissement du Hadj , Cinquième Pilier de l'Islam.
Il y a beaucoup de musulmans. Très peu sont des « moumine » et pourtant, il y en a .
Que Dieu nous guide
El Hadj FOFANA Bema