Une polémique enfle sur la responsabilité du Ministre Tagro dans le drame survenu au stade Félix Houphouët - Boigny le 29 mars 2009. En quoi est – il coupable ? Voici pourquoi des individus mal intentionnés s’acharnent contre lui.
Qui le ministre désiré Tagro dérange dans le système de sécurisation du pays ? C’est le fond des accusations gratuites portées ces jours – ci contre le sécurocrate de la République. On le sait rigoureux, pointilleux sur tout ce qui concerne la sauvegarde des institutions de la république. L’homme ne badine pas sur cet aspect et ne mâche pas ses mots quand rien ne va à ce niveau, d’où ses nombreux éclats de voix quant à la passation de charges entre Com – Zones et Préfets. Ce qui est certain, Désiré Tagro inquiète sérieusement les déstabilisateurs tapis dans l’ombre.
On comprend donc aisément pourquoi à la moindre étincelle dans le pays, ils veulent obtenir sa tête pour être libres de prospérer dans la chienlit. En quoi la responsabilité du Ministre Tagro est – elle engagée dans le drame survenu le 29 mars 2009 ? Est – ce lui qui dirigeait sur le terrain les éléments des FDS commis à la surveillance du périmètre du stade ? Est – il celui qui a provoqué la bousculade ? Voilà les questions essentielles occultées par ceux qui l’accusent injustement. Que devient pour les accusateurs tapis dans l’ombre, ce qu’on appelle la chaîne de commandement ? Tout le reste n’est qu’accusation farfelue et grotesque d’aigris et de jaloux qui pensent avoir trouvé là une occasion pour le charger de tous les péchés d’Israël. Non, en toutes choses, il faut savoir raison garder. Il ne faut exacerber la douleur des Ivoiriens en accusant à tort et à travers d’honnêtes citoyens. Il faut laisser la justice faire son travail dans la sérénité. Seule cette enquête déterminera les responsabilités des mis en cause. Il faut mettre ici un terme à ces accusations non fondées contre ce Ministre de la République qui fait peur par ces méthodes énergiques aux adeptes de la déstabilisation. Ce n’est pas par de tels arguments qu’ils obtiendront son départ. Désiré Tagro est à la barre et déclenche une peur panique chez les tenants des raccourcis politiques. En un mot comme en mille, Tagro désiré n’est pas fautif. Tout comme Banzio et Jacques Anouma. Arrêtons de jouer aux justiciers aux causes perdues en versant des accusations sans fondements.
Digbeu Joachim
Qui le ministre désiré Tagro dérange dans le système de sécurisation du pays ? C’est le fond des accusations gratuites portées ces jours – ci contre le sécurocrate de la République. On le sait rigoureux, pointilleux sur tout ce qui concerne la sauvegarde des institutions de la république. L’homme ne badine pas sur cet aspect et ne mâche pas ses mots quand rien ne va à ce niveau, d’où ses nombreux éclats de voix quant à la passation de charges entre Com – Zones et Préfets. Ce qui est certain, Désiré Tagro inquiète sérieusement les déstabilisateurs tapis dans l’ombre.
On comprend donc aisément pourquoi à la moindre étincelle dans le pays, ils veulent obtenir sa tête pour être libres de prospérer dans la chienlit. En quoi la responsabilité du Ministre Tagro est – elle engagée dans le drame survenu le 29 mars 2009 ? Est – ce lui qui dirigeait sur le terrain les éléments des FDS commis à la surveillance du périmètre du stade ? Est – il celui qui a provoqué la bousculade ? Voilà les questions essentielles occultées par ceux qui l’accusent injustement. Que devient pour les accusateurs tapis dans l’ombre, ce qu’on appelle la chaîne de commandement ? Tout le reste n’est qu’accusation farfelue et grotesque d’aigris et de jaloux qui pensent avoir trouvé là une occasion pour le charger de tous les péchés d’Israël. Non, en toutes choses, il faut savoir raison garder. Il ne faut exacerber la douleur des Ivoiriens en accusant à tort et à travers d’honnêtes citoyens. Il faut laisser la justice faire son travail dans la sérénité. Seule cette enquête déterminera les responsabilités des mis en cause. Il faut mettre ici un terme à ces accusations non fondées contre ce Ministre de la République qui fait peur par ces méthodes énergiques aux adeptes de la déstabilisation. Ce n’est pas par de tels arguments qu’ils obtiendront son départ. Désiré Tagro est à la barre et déclenche une peur panique chez les tenants des raccourcis politiques. En un mot comme en mille, Tagro désiré n’est pas fautif. Tout comme Banzio et Jacques Anouma. Arrêtons de jouer aux justiciers aux causes perdues en versant des accusations sans fondements.
Digbeu Joachim
