A la tête d’une forte délégation qui s’est rendue le mercredi 8 avril 2009 à la FIF , le président de la Conférence, Maître Georges N’goan, a indiqué que le mouvement sportif ivoirien vient présenter son " yako " à Jacques Anouma, président de la FIF et vice -président de la conférence, suite à la bousculade au stade Houphouët-Boigny qui a fait 19 morts et 132 blessés.
"La conférence est solidaire du deuil qui frappe la nation. Elle présente ses condoléances aux familles et souhaite prompt rétablissement aux blessés. C’est un drame qui peut arriver à toutes les fédérations. Les différents présidents de fédérations et moi sommes donc venus soutenir notre frère Anouma dans ces moments difficiles. C’est un drame qui a secoué toute la Côte d’Ivoire et le monde entier car la FIFA a demandé une minute de silence pour toutes les rencontres qui se sont jouées après cette tragédie", a déclaré le président de la Conférence, également président de la Fédération ivoirienne de tennis. Sensible à cet élan de solidarité de ses pairs, le patron du football ivoirien s’est dit satisfait parce qu’il est réconfortant d’avoir le soutien de ses pairs en ces moments de tristesse. Poursuivant, Jacques Anouma a fait quelques confidences à ses pairs présidents de Fédérations. " Le soutien, j’en ai besoin en ce moment. Ce sont des choses qui peuvent arriver à toutes les fédérations. Nous demandons que toute la lumière soit faite pour punir les responsables. La principale leçon à tirer de ce drame est de veiller au grain, surtout lorsque vous confiez quelque chose à certaines personnes, pour être sûr que tout se passera bien ", a-t-il confié. Fort de cela, le président de la FIF a prodigué quelques conseils à ses hôtes afin que pareille situation ne leur arrive pas. Anouma leur a surtout demandé de valider toutes leurs réunions par un procès-verbal. Et d’attribuer un rôle précis aux Forces de défense et de sécurité réquisitionnées pour une compétition. A noter que la Conférence des Présidents de Fédérations s’est rendue au chevet des blessés le jeudi 9 avril 2009 et exprimera sa compassion aux parents des victimes décédées.
H.Konin
"La conférence est solidaire du deuil qui frappe la nation. Elle présente ses condoléances aux familles et souhaite prompt rétablissement aux blessés. C’est un drame qui peut arriver à toutes les fédérations. Les différents présidents de fédérations et moi sommes donc venus soutenir notre frère Anouma dans ces moments difficiles. C’est un drame qui a secoué toute la Côte d’Ivoire et le monde entier car la FIFA a demandé une minute de silence pour toutes les rencontres qui se sont jouées après cette tragédie", a déclaré le président de la Conférence, également président de la Fédération ivoirienne de tennis. Sensible à cet élan de solidarité de ses pairs, le patron du football ivoirien s’est dit satisfait parce qu’il est réconfortant d’avoir le soutien de ses pairs en ces moments de tristesse. Poursuivant, Jacques Anouma a fait quelques confidences à ses pairs présidents de Fédérations. " Le soutien, j’en ai besoin en ce moment. Ce sont des choses qui peuvent arriver à toutes les fédérations. Nous demandons que toute la lumière soit faite pour punir les responsables. La principale leçon à tirer de ce drame est de veiller au grain, surtout lorsque vous confiez quelque chose à certaines personnes, pour être sûr que tout se passera bien ", a-t-il confié. Fort de cela, le président de la FIF a prodigué quelques conseils à ses hôtes afin que pareille situation ne leur arrive pas. Anouma leur a surtout demandé de valider toutes leurs réunions par un procès-verbal. Et d’attribuer un rôle précis aux Forces de défense et de sécurité réquisitionnées pour une compétition. A noter que la Conférence des Présidents de Fédérations s’est rendue au chevet des blessés le jeudi 9 avril 2009 et exprimera sa compassion aux parents des victimes décédées.
H.Konin