Le Secrétariat National à la Gouvernance et au Renforcement des Capacités (SNGRC), à travers le Projet d’Appui à la Gouvernance et au renforcement des capacités (PAGRC), en collaboration avec le ministère de la Justice et des Droits de l’Homme, a organisé les 16 et 17 avril à Grand-Bassam, une table ronde pour l’élaboration du document de renforcement des capacités en matière judiciaire et pénitentiaire.
C’est en présence de M. KONE Mamadou, ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, de Mme Roberte Tania AMANI-DRUIDE, Secrétaire Nationale à la Gouvernance et au renforcement des Capacités (SNGRC) que s’est ouverte cette table ronde. Cette rencontre vise à identifier, analyser et échanger sur les dysfonctionnements et difficultés qui entament l’efficacité des systèmes judiciaire et pénitentiaire, identifier les axes majeurs de réhabilitation du secteur de la justice, créer un consensus autour des axes stratégiques majeurs qui dégagés et des actions à mettre en œuvre dans les court, moyen et long termes et identifier les mécanismes de financement et permettre à tous les acteurs de développement de s’approprier le document de politique en matière judiciaire et pénitentiaire.
Dans son discours, M. KONE Mamadou a d’abord rappelé les résultats obtenus par le ministère de la Justice depuis plus d’une décennie avec l’appui des partenaires au développement. Puis, il a donné quelques détails des nouvelles perspectives qui permettent d’envisager les analyses conduites par les experts du ministère. M. KONE Mamadou a expliqué que l’adoption de lois relatives aux juridictions suprêmes constituera un gage supplémentaire de consolidation de l’Etat de droit et une garantie de l’indépendance et de la neutralité de la justice.
Pour sa part, Mme AMANI-DRUIDE a souligné l’importance du système judiciaire dans le processus de développement de la Côte d’Ivoire. « Ce caractère essentiel du système judiciaire en matière de régulation de la vie économique et sociale, se traduit notamment par contribution de la justice au renforcement et à la consolidation de l’Etat de droit et de la démocratie, sa prise en compte dans la détermination du facteur risque-pays en matière d’investissement privé et sa contribution à l’établissement de la cohésion sociale et de la stabilité politique », a indiqué Mme AMANI-DRUIDE, qui a déploré la situation actuelle de l’appareil judiciaire en Côte d’Ivoire. Elle a énuméré tous les maux du système judiciaire en Côte d’Ivoire, tout en relevant les efforts mis en œuvre pour réhabiliter le secteur de la justice. « La cérémonie de ce jour s’inscrit résolument dans le cadre d’une prise en compte globale et intégrée des problématiques du secteur judiciaire et pénitentiaire. Elle illustre la volonté de plus en plus affirmé de tous les acteurs de la grande famille judiciaire de créer les condition d’une justice plus crédible au service du développement de notre pays », a encore ajouté Mme AMANI-DRUIDE, qui s’est félicité de la tenue de cette table ronde. Elle a encouragé les participants à « créer les conditions d’une véritable catalyse susceptible de déclencher le processus irréversible de modernisation du système judiciaire et pénitentiaire de Côte d’Ivoire ».
La cérémonie d’ouverture s’est tenue en présence du Directeur de Cabinet du ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement, du représentant du ministre de l’Economie et des Finances, de la représentante de la BAD, des partenaires au développement et des membres du Comité de pilotage du PAGRC.
C’est en présence de M. KONE Mamadou, ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, de Mme Roberte Tania AMANI-DRUIDE, Secrétaire Nationale à la Gouvernance et au renforcement des Capacités (SNGRC) que s’est ouverte cette table ronde. Cette rencontre vise à identifier, analyser et échanger sur les dysfonctionnements et difficultés qui entament l’efficacité des systèmes judiciaire et pénitentiaire, identifier les axes majeurs de réhabilitation du secteur de la justice, créer un consensus autour des axes stratégiques majeurs qui dégagés et des actions à mettre en œuvre dans les court, moyen et long termes et identifier les mécanismes de financement et permettre à tous les acteurs de développement de s’approprier le document de politique en matière judiciaire et pénitentiaire.
Dans son discours, M. KONE Mamadou a d’abord rappelé les résultats obtenus par le ministère de la Justice depuis plus d’une décennie avec l’appui des partenaires au développement. Puis, il a donné quelques détails des nouvelles perspectives qui permettent d’envisager les analyses conduites par les experts du ministère. M. KONE Mamadou a expliqué que l’adoption de lois relatives aux juridictions suprêmes constituera un gage supplémentaire de consolidation de l’Etat de droit et une garantie de l’indépendance et de la neutralité de la justice.
Pour sa part, Mme AMANI-DRUIDE a souligné l’importance du système judiciaire dans le processus de développement de la Côte d’Ivoire. « Ce caractère essentiel du système judiciaire en matière de régulation de la vie économique et sociale, se traduit notamment par contribution de la justice au renforcement et à la consolidation de l’Etat de droit et de la démocratie, sa prise en compte dans la détermination du facteur risque-pays en matière d’investissement privé et sa contribution à l’établissement de la cohésion sociale et de la stabilité politique », a indiqué Mme AMANI-DRUIDE, qui a déploré la situation actuelle de l’appareil judiciaire en Côte d’Ivoire. Elle a énuméré tous les maux du système judiciaire en Côte d’Ivoire, tout en relevant les efforts mis en œuvre pour réhabiliter le secteur de la justice. « La cérémonie de ce jour s’inscrit résolument dans le cadre d’une prise en compte globale et intégrée des problématiques du secteur judiciaire et pénitentiaire. Elle illustre la volonté de plus en plus affirmé de tous les acteurs de la grande famille judiciaire de créer les condition d’une justice plus crédible au service du développement de notre pays », a encore ajouté Mme AMANI-DRUIDE, qui s’est félicité de la tenue de cette table ronde. Elle a encouragé les participants à « créer les conditions d’une véritable catalyse susceptible de déclencher le processus irréversible de modernisation du système judiciaire et pénitentiaire de Côte d’Ivoire ».
La cérémonie d’ouverture s’est tenue en présence du Directeur de Cabinet du ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement, du représentant du ministre de l’Economie et des Finances, de la représentante de la BAD, des partenaires au développement et des membres du Comité de pilotage du PAGRC.