Le 6e Congrès africain d’informatique médicale s’est ouvert, hier, au Village des technologies de l’information et des biotechnologies (Vitib) de Grand-Bassam.
Ce 6e congrès panafricain est organisé par la Société ivoirienne de biosciences et d’informatique médicale (Sibim). Pendant trois jours, médecins, professeurs en médecine, d’éminents spécialistes et chercheurs de différentes disciplines médicales et informaticiens issus de 18 pays, vont évaluer l’utilisation des technologies de l’information et de la communication (Tic) dans la santé. Tout comme ils feront connaître les différents usages des Tic, dans le traitement des maladies chroniques comme le diabète, la prise en charge des malades et la gestion des structures sanitaires, ainsi que les établissements biomédicaux. Tout cela, pour réussir la promotion et le développement des Tic dans le domaine de la santé et des biosciences en Afrique.
Des objectifs auxquels adhèrent pleinement les autorités politiques ivoiriennes, si l’on s’en tient au propos du ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement qui en a parrainé la cérémonie d’ouverture, au nom du Président de la République. En fait, Paul Antoine Bohoun Bouabré estime que l’Afrique ne doit pas rater la révolution numérique, comme elle a manqué celles de l’agriculture et de l’industrialisation. Toutes choses ayant nécessité, explique-t-il, la création du Vitib par le Président Gbagbo C’est aussi ce qui sous-tend le grand intérêt de ce 6e congrès, soutient-il. Car, affirme-t-il, l’introduction des Tic dans la médecine est d’un apport de haute portée pour l’humanité entière et singulièrement pour l’Afrique, ainsi que le démontrent assez bien, les différents exploits de la télémédecine.
Un avis que partage le ministre de la Santé et de l’hygiène publique, Dr Allah Kouadio Rémi. Il indique que l’introduction des Tic dans le système de santé ivoirien est un moyen d’accélérer l’amélioration de l’accès de la population aux services de santé publique. Car, il est avéré que les professionnels chargés de soigner les populations, peuvent considérablement améliorer leurs prestations, à travers le pays. Mieux, partout dans le monde où elle a été menée, l’application des Tic à la médecine a contribué à l’amélioration de la qualité des systèmes de santé. Ce congrès est donc pour la Sibim, affirme son président, Pr Ehua Somian Françis, le début de la mission de sa société. A savoir, sensibiliser les acteurs de la santé, à la nécessité pour tous de s’inscrire résolument dans le développement du couple Tic/pratique médicale.
Comme tous les autres intervenants, Pr Alassane Salif N’Diaye et Pr Akablan Kassi, président du comité d’organisation, ont dit placer un grand espoir dans ces trois jours de travaux.
Moussa Touré
Ce 6e congrès panafricain est organisé par la Société ivoirienne de biosciences et d’informatique médicale (Sibim). Pendant trois jours, médecins, professeurs en médecine, d’éminents spécialistes et chercheurs de différentes disciplines médicales et informaticiens issus de 18 pays, vont évaluer l’utilisation des technologies de l’information et de la communication (Tic) dans la santé. Tout comme ils feront connaître les différents usages des Tic, dans le traitement des maladies chroniques comme le diabète, la prise en charge des malades et la gestion des structures sanitaires, ainsi que les établissements biomédicaux. Tout cela, pour réussir la promotion et le développement des Tic dans le domaine de la santé et des biosciences en Afrique.
Des objectifs auxquels adhèrent pleinement les autorités politiques ivoiriennes, si l’on s’en tient au propos du ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement qui en a parrainé la cérémonie d’ouverture, au nom du Président de la République. En fait, Paul Antoine Bohoun Bouabré estime que l’Afrique ne doit pas rater la révolution numérique, comme elle a manqué celles de l’agriculture et de l’industrialisation. Toutes choses ayant nécessité, explique-t-il, la création du Vitib par le Président Gbagbo C’est aussi ce qui sous-tend le grand intérêt de ce 6e congrès, soutient-il. Car, affirme-t-il, l’introduction des Tic dans la médecine est d’un apport de haute portée pour l’humanité entière et singulièrement pour l’Afrique, ainsi que le démontrent assez bien, les différents exploits de la télémédecine.
Un avis que partage le ministre de la Santé et de l’hygiène publique, Dr Allah Kouadio Rémi. Il indique que l’introduction des Tic dans le système de santé ivoirien est un moyen d’accélérer l’amélioration de l’accès de la population aux services de santé publique. Car, il est avéré que les professionnels chargés de soigner les populations, peuvent considérablement améliorer leurs prestations, à travers le pays. Mieux, partout dans le monde où elle a été menée, l’application des Tic à la médecine a contribué à l’amélioration de la qualité des systèmes de santé. Ce congrès est donc pour la Sibim, affirme son président, Pr Ehua Somian Françis, le début de la mission de sa société. A savoir, sensibiliser les acteurs de la santé, à la nécessité pour tous de s’inscrire résolument dans le développement du couple Tic/pratique médicale.
Comme tous les autres intervenants, Pr Alassane Salif N’Diaye et Pr Akablan Kassi, président du comité d’organisation, ont dit placer un grand espoir dans ces trois jours de travaux.
Moussa Touré