La vulgarisation du mode de saisine de la Cour de Justice de l’Union économique monétaire ouest-africaine a fait l’objet d’un séminaire.
S’imprégner davantage des techniques du Droit communautaire et… avoir une plus grande connaissance du mode de saisine et du fonctionnement de la Cour de justice de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa). Tels sont les objectifs visés à travers la formation dont bénéficient depuis hier matin, à Abidjan à l’hôtel Pullman (ex-Sofitel) au Plateau, une cinquantaine de magistrats et d’avocats ivoiriens. Ouvert par M. Ali Yéo, directeur de cabinet, représentant le Garde des sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, le séminaire qui connaît un réel engouement des participants, et qui se déroule autour de trois thèmes majeurs, est organisé par la Cour de justice de l’Uemoa, en collaboration avec le ministère de la Justice à travers sa direction de la formation.
Animés par des exposés de personnalités ressources, les travaux du séminaire portent sur des modules suivants : Généralité sur le droit communautaire de l’Uemoa, présentation de la Cour de justice de l’Uemoa et recours préjudiciel devant la Cour de justice de l’Uemoa. Des thèmes dont se réjouit le représentant de l’Etat, M. Ali Yéo, magistrat de profession. Lequel reconnaît que la méconnaissance du droit communautaire est un des obstacles majeurs à l’utilisation et à la propension des normes communautaires dans les litiges que connaissent magistrats et avocats. Au-delà de cette retombée professionnelle qu’il relève pour les participants, l’émissaire de la tutelle administrative et politique de l’appareil judiciaire de Côte d’Ivoire, en souvenir des récents accrochages entre les bénéficiaires de la rencontre, leur a fait savoir ce qui suit : « Cette rencontre sera aussi et surtout l’occasion pour vous, magistrats et avocats, de vous parler à nouveau, de réapprendre à vous connaître, à vous apprécier et à œuvrer ensemble pour le bien du service public de la Justice ».
Landry Kohon
S’imprégner davantage des techniques du Droit communautaire et… avoir une plus grande connaissance du mode de saisine et du fonctionnement de la Cour de justice de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa). Tels sont les objectifs visés à travers la formation dont bénéficient depuis hier matin, à Abidjan à l’hôtel Pullman (ex-Sofitel) au Plateau, une cinquantaine de magistrats et d’avocats ivoiriens. Ouvert par M. Ali Yéo, directeur de cabinet, représentant le Garde des sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, le séminaire qui connaît un réel engouement des participants, et qui se déroule autour de trois thèmes majeurs, est organisé par la Cour de justice de l’Uemoa, en collaboration avec le ministère de la Justice à travers sa direction de la formation.
Animés par des exposés de personnalités ressources, les travaux du séminaire portent sur des modules suivants : Généralité sur le droit communautaire de l’Uemoa, présentation de la Cour de justice de l’Uemoa et recours préjudiciel devant la Cour de justice de l’Uemoa. Des thèmes dont se réjouit le représentant de l’Etat, M. Ali Yéo, magistrat de profession. Lequel reconnaît que la méconnaissance du droit communautaire est un des obstacles majeurs à l’utilisation et à la propension des normes communautaires dans les litiges que connaissent magistrats et avocats. Au-delà de cette retombée professionnelle qu’il relève pour les participants, l’émissaire de la tutelle administrative et politique de l’appareil judiciaire de Côte d’Ivoire, en souvenir des récents accrochages entre les bénéficiaires de la rencontre, leur a fait savoir ce qui suit : « Cette rencontre sera aussi et surtout l’occasion pour vous, magistrats et avocats, de vous parler à nouveau, de réapprendre à vous connaître, à vous apprécier et à œuvrer ensemble pour le bien du service public de la Justice ».
Landry Kohon