Passé le cap du Satellite de Guinée, la JCA attaque le Sfax de Tunisie demain après-midi en 8ème de finale aller de la Coupe de la Confédération.
• Une défaite en Championnat avant un match de Coupe d'Afrique, ce n'est pas toujours gai…
Je suis d'accord, ce n'est pas gai, mais il faut tirer des leçons de cette défaite pour corriger certaines choses. Et partir en conquérant en Tunisie. C'est cela le plus important.
• Pour un groupe comme le vôtre qui est en train de se construire, jouer tout de suite un 8e de finale de la Coupe de la Confédération contre le champion en titre, le Sfax, n'est-ce pas trop tôt ?
C'est même un peu risqué, mais que voulez-vous ? C'est arrivé, on doit y aller et assumer. On n'a pas le choix. On ne peut pas dire qu'on va attendre le moment venu. Dès l'instant où vous êtes engagé, il faut s'attendre à toutes sortes de scénarii. Et nous sommes dans ce cas.
• Quelle stratégie comptez-vous adopter à Sfax pour ce match ? Défendre ou attaquer ?
Nous allons attaquer et défendre en même temps. Défendre pour ne pas prendre des buts. Même si on devait en prendre, il faut que ce soit très limité. Et attaquer pour marquer au moins un but là-bas.
• Quel objectif visez-vous donc en défendant et en attaquant en même temps ?
On va à Sfax pour limiter les dégâts. Cela ne veut pas dire aller défendre, non. Raison pour laquelle je parle d'attaquer et de défendre. Perdre 1-0, 2-1 ou faire un nul (1-1), ce sont de bons scores. On s'est préparé à ça.
• Considérez-vous comme un outsider à Sfax pour cette manche aller?
Je peux dire que je pars comme un tocard qui peut rentrer dans l'ordre.
• Comment avez-vous préparé ce déplacement de Sfax en Tunisie ?
Concernant le jeu, il y a une assise. Il y a déjà quelque chose qui est fait à ce niveau. On va travailler le côté mental, parce que les enfants n'ont pas encore l'expérience de ce genre de match. On va insister sur cet aspect. Parce que ce côté-là sera déterminant dans ce match. Mais nous partons avec l'espoir de réaliser un bon score.
• L'adversaire, le Sfax, le champion en titre ne vous fait-il pas peur ?
C'est un adversaire respectable qui a un vécu dans cette compétition que nous allons aborder avec tout le respect possible. Mais nous n'avons pas peur du Sfax. Une fois sur la pelouse, le ballon roulera pour les 22 acteurs qui vont s'expliquer. Les deux entraîneurs ne seront pas sur la pelouse. Et comme en football, tout est possible, nous jouerons libéré.
Entretien réalisé par Tibet Kipré
• Une défaite en Championnat avant un match de Coupe d'Afrique, ce n'est pas toujours gai…
Je suis d'accord, ce n'est pas gai, mais il faut tirer des leçons de cette défaite pour corriger certaines choses. Et partir en conquérant en Tunisie. C'est cela le plus important.
• Pour un groupe comme le vôtre qui est en train de se construire, jouer tout de suite un 8e de finale de la Coupe de la Confédération contre le champion en titre, le Sfax, n'est-ce pas trop tôt ?
C'est même un peu risqué, mais que voulez-vous ? C'est arrivé, on doit y aller et assumer. On n'a pas le choix. On ne peut pas dire qu'on va attendre le moment venu. Dès l'instant où vous êtes engagé, il faut s'attendre à toutes sortes de scénarii. Et nous sommes dans ce cas.
• Quelle stratégie comptez-vous adopter à Sfax pour ce match ? Défendre ou attaquer ?
Nous allons attaquer et défendre en même temps. Défendre pour ne pas prendre des buts. Même si on devait en prendre, il faut que ce soit très limité. Et attaquer pour marquer au moins un but là-bas.
• Quel objectif visez-vous donc en défendant et en attaquant en même temps ?
On va à Sfax pour limiter les dégâts. Cela ne veut pas dire aller défendre, non. Raison pour laquelle je parle d'attaquer et de défendre. Perdre 1-0, 2-1 ou faire un nul (1-1), ce sont de bons scores. On s'est préparé à ça.
• Considérez-vous comme un outsider à Sfax pour cette manche aller?
Je peux dire que je pars comme un tocard qui peut rentrer dans l'ordre.
• Comment avez-vous préparé ce déplacement de Sfax en Tunisie ?
Concernant le jeu, il y a une assise. Il y a déjà quelque chose qui est fait à ce niveau. On va travailler le côté mental, parce que les enfants n'ont pas encore l'expérience de ce genre de match. On va insister sur cet aspect. Parce que ce côté-là sera déterminant dans ce match. Mais nous partons avec l'espoir de réaliser un bon score.
• L'adversaire, le Sfax, le champion en titre ne vous fait-il pas peur ?
C'est un adversaire respectable qui a un vécu dans cette compétition que nous allons aborder avec tout le respect possible. Mais nous n'avons pas peur du Sfax. Une fois sur la pelouse, le ballon roulera pour les 22 acteurs qui vont s'expliquer. Les deux entraîneurs ne seront pas sur la pelouse. Et comme en football, tout est possible, nous jouerons libéré.
Entretien réalisé par Tibet Kipré