La grève, annoncée pour ce matin au Bureau national d’études techniques et de développement (Bnetd), n’aura plus lieu. Par un communiqué qu’a lu hier soir sur les antennes de la télévision nationale, M. Bamba Souleymane, le collège des syndicats et les délégués du personnel, estimant avoir eu satisfaction dans les négociations avec la direction générale, ont levé le mot d’ordre de grève.
Comme points de satisfaction obtenue, la direction générale du Bnetd consent au paiement intégral des salaires en retard du mois de mars ainsi que le tiers des gratifications restant à payer au titre de l’année écoulée. Tous les prélèvements effectués seront payés par la direction générale. A la faveur de ces acquis, la grève annoncée pour les 21 et 22 avril a donc été annulée par les syndicats.
Rappelons que face au mot d’ordre de grève, le directeur général du Bnetd, M. Ahoua Don Mello, avait animé une conférence de presse le 15 avril dernier pour expliquer l’origine de la crise que traverse sa structure. Et pour l’importance que le Bnetd représente pour la Côte d’Ivoire, il en appelait à la compréhension des syndicalistes. « Le Bnetd est l’ambassadeur technique de la Côte d’Ivoire à l’extérieur. N’entamons pas son image par des arrêts de travail », avait-il plaidé.
L. Kohon
Comme points de satisfaction obtenue, la direction générale du Bnetd consent au paiement intégral des salaires en retard du mois de mars ainsi que le tiers des gratifications restant à payer au titre de l’année écoulée. Tous les prélèvements effectués seront payés par la direction générale. A la faveur de ces acquis, la grève annoncée pour les 21 et 22 avril a donc été annulée par les syndicats.
Rappelons que face au mot d’ordre de grève, le directeur général du Bnetd, M. Ahoua Don Mello, avait animé une conférence de presse le 15 avril dernier pour expliquer l’origine de la crise que traverse sa structure. Et pour l’importance que le Bnetd représente pour la Côte d’Ivoire, il en appelait à la compréhension des syndicalistes. « Le Bnetd est l’ambassadeur technique de la Côte d’Ivoire à l’extérieur. N’entamons pas son image par des arrêts de travail », avait-il plaidé.
L. Kohon