Le président de l’ONG internationale Afrijapan, Ferdinand Bleka, a réaffirmé sa volonté de continuer à aider l’Etat à améliorer le plateau technique des infrastructures sanitaires, jeudi dernier, à la faveur de la remise de six véhicules à l’Institut national d’hygiène publique (INHP). «En Afrique, les gens négligent l’environnement. C’est ça qui est à la base de la mortalité élevée. A cause de la saleté, il y a beaucoup de maladies aujourd’hui», a avancé Ferdinand Bleka, avant d’ajouter : «Nous voulons aider l’INHP à protéger les Ivoiriens». Le président de l’ONG internationale Afrijapan, a souligné que l’INHP est une structure qui occupe une place de choix dans la politique de santé publique. Ferdinand Bleka a indiqué que l’INHP protège les Ivoiriens en les vaccinant, mais également en prenant des dispositions pour éviter certaines épidémies. Aussi, la structure a-t-elle besoin d’être soutenu pour l’aider à remplir cette mission. Le président d’Afrijapan a annoncé l’équipement de 40 centres de santé en matériels médicaux, dont une dizaine d’appareils d’hémodialyse.
Le directeur de l’INHP, Dr. Odéhouri Paul, a exprimé sa satisfaction pour le geste d’Afrijapan. Il a expliqué qu’aujourd’hui l’Institut national d’hygiène publique a un besoin criant de moyens de mobilité. Avant septembre 2002, l’institution disposait de 42 véhicules. En 2009, le parc auto ne compte que 11 véhicules qui passent le plus grand de leur temps au garage. «Cette situation entraîne des dépenses énormes», dira-t-il. Dr. Dr Odéhouri Paul a indiqué qu’à la faveur de la crise, 12 véhicule, ont été réquisitionnés par les Forces nouvelles, et 2 par les Forces de défense et sécurité. Il a avancé que les six véhicules constituent une bouffée d’oxygène, en ce sens qu’ils permettent aux agents de mieux travailler.
César Ebrokié
Le directeur de l’INHP, Dr. Odéhouri Paul, a exprimé sa satisfaction pour le geste d’Afrijapan. Il a expliqué qu’aujourd’hui l’Institut national d’hygiène publique a un besoin criant de moyens de mobilité. Avant septembre 2002, l’institution disposait de 42 véhicules. En 2009, le parc auto ne compte que 11 véhicules qui passent le plus grand de leur temps au garage. «Cette situation entraîne des dépenses énormes», dira-t-il. Dr. Dr Odéhouri Paul a indiqué qu’à la faveur de la crise, 12 véhicule, ont été réquisitionnés par les Forces nouvelles, et 2 par les Forces de défense et sécurité. Il a avancé que les six véhicules constituent une bouffée d’oxygène, en ce sens qu’ils permettent aux agents de mieux travailler.
César Ebrokié