«La Côte d’Ivoire est dans une situation économique critique. Les ivoiriens souffrent. Et nous, les populations de l’intérieur du pays, sommes les plus meurtries». Ce triste constat, qui s’apparente à un véritable cri de cœur, a été fait au président Henri Konan Bédié par les populations Niablé, Amélékia, Sankadiokro et Yakassé Féyassé. C’était le vendredi dernier, au cours des visites de courtoisie effectuées par le président du PDCI-RDA, toujours dans le cadre de la grande tournée de mobilisation qu’il entreprend, depuis le 22 avril dernier, dans la région du Moyen-Comoé.
Comme pour dénoncer un mal commun, les populations des quatre localités visitées ont toutes, de manière unanime, décrié la situation de pauvreté et de misère dans laquelle se trouve plongée la Côte d’Ivoire depuis bientôt une décennie. «Depuis l’arrivée du FPI au pouvoir, les Ivoiriens ne font que s’habituer à de nouveaux vocabulaires : la pauvreté, la misère, etc. Ce parti, depuis 2000, ne nous a donné que la faim et la soif», n’a cessé de stigmatiser, M. Assalé Anguiri, porte-parole des militants PDCI de Amélékia.
Au regard de cette situation qu’elles qualifient de catastrophique, les militants, sympathisants et les populations en général, de Niablé, Amélékia, Sankadiokro et Yakassé Féyassé ont appelé de tout leur vœu, au retour aux affaires, de l’ancien président de la République. «Ici, dans le Moyen-Comoé, nous sommes un bastion imprenable du PDCI qui, plus qu’un simple parti politique, représente un fétiche que nous ne pouvons abandonner aussi facilement», a souligné le porte-parole du chef de canton de Niablé, Nanan Kouakou Kouao III.
DS (Envoyé spécial)
Comme pour dénoncer un mal commun, les populations des quatre localités visitées ont toutes, de manière unanime, décrié la situation de pauvreté et de misère dans laquelle se trouve plongée la Côte d’Ivoire depuis bientôt une décennie. «Depuis l’arrivée du FPI au pouvoir, les Ivoiriens ne font que s’habituer à de nouveaux vocabulaires : la pauvreté, la misère, etc. Ce parti, depuis 2000, ne nous a donné que la faim et la soif», n’a cessé de stigmatiser, M. Assalé Anguiri, porte-parole des militants PDCI de Amélékia.
Au regard de cette situation qu’elles qualifient de catastrophique, les militants, sympathisants et les populations en général, de Niablé, Amélékia, Sankadiokro et Yakassé Féyassé ont appelé de tout leur vœu, au retour aux affaires, de l’ancien président de la République. «Ici, dans le Moyen-Comoé, nous sommes un bastion imprenable du PDCI qui, plus qu’un simple parti politique, représente un fétiche que nous ne pouvons abandonner aussi facilement», a souligné le porte-parole du chef de canton de Niablé, Nanan Kouakou Kouao III.
DS (Envoyé spécial)
