Monsieur le Président du PDCI-RDA,
Les militants, militantes et sympathisants du PDCI-RDA du N'Dénéan sont heureux et fiers de vous accueillir en ce jour béni du samedi 24 avril 2009.
Notre joie est d'autant plus débordante que votre dernière tournée dans cette région remonte, par la force des choses et indépendamment de votre désir et de votre volonté, à environ une décennie.
En effet, en Mars 1999, votre visite d'Etat dans le Moyen-Comoé en votre qualité de Président de la République, a laissé des traces indélébiles et suscité beaucoup d'espoir dans nos cœurs et dans nos esprits. Nous avons encore en mémoire le vaste programme de développement régional que vous aviez mis en place à cette époque, et qui avait connu un début promoteur de pleine réalisation.
Nous pouvons vous dire ici et sans ambages que de 1993 à 1999, vous nous aviez assurés que le pays était réellement en marche et que l'avenir était radieux.
Aujourd'hui, force est de reconnaître que la Côte d'Ivoire en général, et le N'Dénéan en particulier ont reculé d'au moins 25 ans, c'est-à-dire d'une génération. M. le Président, disons-le tout net, la Côte-d'Ivoire, votre Côte-d'Ivoire est malade et malheureuse.
Oui, " le vrai bonheur, on ne l'apprécie que lorsqu'on l'a perdu, " nous disait justement le Père fondateur.
M. le Président Aimé Henri Konan Bédié, vous êtes à nouveau parmi nous sur le sol N'Dénéan, pour partager nos souffrances au quotidien, et pour vous rendre compte qu'effectivement, nous avons perdu le vrai bonheur depuis le coup d'Etat de 1999.
Alors que nous rêvions de routes bitumées, aujourd'hui, nos pistes sont si dégradées qu'il nous est presque impossible de nous rendre dans nos plantations et même dans nos villages.
Les prix du café et du cacao, hier annoncés à 3000f le Kilogramme, sont si dérisoires et aléatoires, que presque tous, ont abandonné déjà la café culture, envisagent le remplacement des cacaoyères par l'hévéaculture, naguère encouragée par vous-même en lançant l'opération "plantations clés-en-mains".
Au plan social, la pauvreté a considérablement augmenté, ce qui entraîne de nombreux décès dans nos villages, car aujourd'hui, on meurt pour n'avoir pas pu payer une ordonnance de deux mille francs voire moins.
Nos femmes, travailleuses infatigables, ouvrières inlassables, ne sont pas non plus épargnées par cette pauvreté grandissante. Leurs productions vivrières sont mal rémunérées. Elles ne peuvent plus les évacuer vers les grandes villes à cause des prix de transport trop élevés et des rackets qui rongent tous leurs bénéfices.
Quant à la jeunesse, elle est livrée à elle-même faute d'emplois. Elle est laissée pour compte, car elle n'a plus d'avenir.
A ce tableau sombre, il faut ajouter la mise au chômage de tous les cadres compétents et pleins d'expérience que le pays a formés à grands frais. Leur plus grand péché, c'est d'être militants du PDCI-RDA.
Monsieur le Président, comme vous le constatez, les populations en général et les militants et militantes du PDCI-RDA en particulier broient du noir et le temps qui passe fait des ravages en leur sein. Alors, à quand les élections enfin ?
Cependant, comme le disait le sage de Yamoussoukro, le Président Houphouët-Boigny, " découragement n'est pas ivoirien ". Les militants et militantes du PDCI-RDA du N'Dénéan vous assurent qu'ils ne se laisseront jamais aller au découragement. Pendant les périodes chaudes de la lutte du RDA des années quarante, malgré la répression sauvage ayant entraîné des morts et de nombreux exilés, nos parents militants de première heure, ne se sont pas découragés.
A l'instar de ces vaillants militants, aujourd'hui disparus, nous avons repris le flambeau. Et nous, monsieur le Président, militants et militantes du PDCI-RDA du N'Dénéan, donnons l'assurance de vous apporter notre soutien et notre indéfectible engagement pour la victoire finale qui est votre retour au pouvoir.
Nous sommes persuadés que seul le PDCI-RDA, avec Henri Konan Bédié, est capable de remettre ce beau pays sur les rails du développement.
Monsieur le Président Bédié, soyez donc sans crainte dans le N'Dénéan. Les jeunes, les femmes, les vieux et les vieilles, au total, la grande majorité des populations du N'Dénéan fidèles au PDCI-RDA, vous apporteront leur suffrage pour votre brillante élection.
Cependant pour qu'il y ait victoire, il faut qu'il y ait des élections.
C'est pourquoi, vos militants et militantes se battront avec vous pour que ces élections aient bien lieu avant la fin de l'année 2009.
Vive le Président Henri KONAN BEDIE
Vive le PDCI-RDA,
Vive la Côte d'Ivoire.
Les militants, militantes et sympathisants du PDCI-RDA du N'Dénéan sont heureux et fiers de vous accueillir en ce jour béni du samedi 24 avril 2009.
Notre joie est d'autant plus débordante que votre dernière tournée dans cette région remonte, par la force des choses et indépendamment de votre désir et de votre volonté, à environ une décennie.
En effet, en Mars 1999, votre visite d'Etat dans le Moyen-Comoé en votre qualité de Président de la République, a laissé des traces indélébiles et suscité beaucoup d'espoir dans nos cœurs et dans nos esprits. Nous avons encore en mémoire le vaste programme de développement régional que vous aviez mis en place à cette époque, et qui avait connu un début promoteur de pleine réalisation.
Nous pouvons vous dire ici et sans ambages que de 1993 à 1999, vous nous aviez assurés que le pays était réellement en marche et que l'avenir était radieux.
Aujourd'hui, force est de reconnaître que la Côte d'Ivoire en général, et le N'Dénéan en particulier ont reculé d'au moins 25 ans, c'est-à-dire d'une génération. M. le Président, disons-le tout net, la Côte-d'Ivoire, votre Côte-d'Ivoire est malade et malheureuse.
Oui, " le vrai bonheur, on ne l'apprécie que lorsqu'on l'a perdu, " nous disait justement le Père fondateur.
M. le Président Aimé Henri Konan Bédié, vous êtes à nouveau parmi nous sur le sol N'Dénéan, pour partager nos souffrances au quotidien, et pour vous rendre compte qu'effectivement, nous avons perdu le vrai bonheur depuis le coup d'Etat de 1999.
Alors que nous rêvions de routes bitumées, aujourd'hui, nos pistes sont si dégradées qu'il nous est presque impossible de nous rendre dans nos plantations et même dans nos villages.
Les prix du café et du cacao, hier annoncés à 3000f le Kilogramme, sont si dérisoires et aléatoires, que presque tous, ont abandonné déjà la café culture, envisagent le remplacement des cacaoyères par l'hévéaculture, naguère encouragée par vous-même en lançant l'opération "plantations clés-en-mains".
Au plan social, la pauvreté a considérablement augmenté, ce qui entraîne de nombreux décès dans nos villages, car aujourd'hui, on meurt pour n'avoir pas pu payer une ordonnance de deux mille francs voire moins.
Nos femmes, travailleuses infatigables, ouvrières inlassables, ne sont pas non plus épargnées par cette pauvreté grandissante. Leurs productions vivrières sont mal rémunérées. Elles ne peuvent plus les évacuer vers les grandes villes à cause des prix de transport trop élevés et des rackets qui rongent tous leurs bénéfices.
Quant à la jeunesse, elle est livrée à elle-même faute d'emplois. Elle est laissée pour compte, car elle n'a plus d'avenir.
A ce tableau sombre, il faut ajouter la mise au chômage de tous les cadres compétents et pleins d'expérience que le pays a formés à grands frais. Leur plus grand péché, c'est d'être militants du PDCI-RDA.
Monsieur le Président, comme vous le constatez, les populations en général et les militants et militantes du PDCI-RDA en particulier broient du noir et le temps qui passe fait des ravages en leur sein. Alors, à quand les élections enfin ?
Cependant, comme le disait le sage de Yamoussoukro, le Président Houphouët-Boigny, " découragement n'est pas ivoirien ". Les militants et militantes du PDCI-RDA du N'Dénéan vous assurent qu'ils ne se laisseront jamais aller au découragement. Pendant les périodes chaudes de la lutte du RDA des années quarante, malgré la répression sauvage ayant entraîné des morts et de nombreux exilés, nos parents militants de première heure, ne se sont pas découragés.
A l'instar de ces vaillants militants, aujourd'hui disparus, nous avons repris le flambeau. Et nous, monsieur le Président, militants et militantes du PDCI-RDA du N'Dénéan, donnons l'assurance de vous apporter notre soutien et notre indéfectible engagement pour la victoire finale qui est votre retour au pouvoir.
Nous sommes persuadés que seul le PDCI-RDA, avec Henri Konan Bédié, est capable de remettre ce beau pays sur les rails du développement.
Monsieur le Président Bédié, soyez donc sans crainte dans le N'Dénéan. Les jeunes, les femmes, les vieux et les vieilles, au total, la grande majorité des populations du N'Dénéan fidèles au PDCI-RDA, vous apporteront leur suffrage pour votre brillante élection.
Cependant pour qu'il y ait victoire, il faut qu'il y ait des élections.
C'est pourquoi, vos militants et militantes se battront avec vous pour que ces élections aient bien lieu avant la fin de l'année 2009.
Vive le Président Henri KONAN BEDIE
Vive le PDCI-RDA,
Vive la Côte d'Ivoire.