Dans le cadre du Plan de stratégie de réduction de la pauvreté (Dsrp), le ministère de la Culture et de la Francophonie, en partenariat avec le ministère d’Etat, ministère du Plan et du Développement et le ministère des Affaires étrangères, a organisé du 22 au 24 avril, un séminaire de «Finalisation et adoption du plan national de développement culturel 2010-2014».
Le dernier virage que constitue ce séminaire du Manhattan Suites, dans la mouvance des consultations de décembre 2006 au Vitib (ex-IIAO) et décembre 2007 à l’hôtel Tereso de Grand-Bassam, devra booster l’industrie culturelle nationale, à partir d’une planification quinquennale selon quatre matrices opératoires: «Le patrimoine culturel, la promotion des arts et de la culture et industries culturelles, le renforcement des capacités de formation, le financement des arts et de la culture». Ces matrices ont fait l’objet d’ateliers spécifiques et de débats avant l’adoption des résolutions en plénière. Une soixantaine d’experts des ministères susmentionnés, d’institutions diverses et associatives, ayant un lien avec la culture et la prospective ont participé à ces assises.
Mme Appiah Sophie, directrice de cabinet du ministre de la Culture et de la Francophonie et présidente du séminaire, a clos le séminaire sur une note optimiste. S’engageant à remettre les résolutions au ministre Augustin Kouadio Komoé qui devra définir leur faisabilité, aux plans politique, législatif et financier. La dimension technique étant acquise.
A la cérémonie d’ouverture, le ministre Augustin Kouadio Komoé, expliquant l’intérêt de planifier la politique culturelle à partir d’une vision claire et intégrée, a affirmé qu’il est impérieux de «démocratiser l’accès à la culture». Une exigence, à l’en croire, pour «créer des emplois, créer de la richesse» par la plus-value que constitue la culture dans le «développement durable d’un pays et dans son indépendance».
R. Coulibaly
Le dernier virage que constitue ce séminaire du Manhattan Suites, dans la mouvance des consultations de décembre 2006 au Vitib (ex-IIAO) et décembre 2007 à l’hôtel Tereso de Grand-Bassam, devra booster l’industrie culturelle nationale, à partir d’une planification quinquennale selon quatre matrices opératoires: «Le patrimoine culturel, la promotion des arts et de la culture et industries culturelles, le renforcement des capacités de formation, le financement des arts et de la culture». Ces matrices ont fait l’objet d’ateliers spécifiques et de débats avant l’adoption des résolutions en plénière. Une soixantaine d’experts des ministères susmentionnés, d’institutions diverses et associatives, ayant un lien avec la culture et la prospective ont participé à ces assises.
Mme Appiah Sophie, directrice de cabinet du ministre de la Culture et de la Francophonie et présidente du séminaire, a clos le séminaire sur une note optimiste. S’engageant à remettre les résolutions au ministre Augustin Kouadio Komoé qui devra définir leur faisabilité, aux plans politique, législatif et financier. La dimension technique étant acquise.
A la cérémonie d’ouverture, le ministre Augustin Kouadio Komoé, expliquant l’intérêt de planifier la politique culturelle à partir d’une vision claire et intégrée, a affirmé qu’il est impérieux de «démocratiser l’accès à la culture». Une exigence, à l’en croire, pour «créer des emplois, créer de la richesse» par la plus-value que constitue la culture dans le «développement durable d’un pays et dans son indépendance».
R. Coulibaly