Depuis son accession à la tête du Syndicat National des transporteurs Terrestres de Côte d’Ivoire (SYNTT-CI), M. koné Sorimana ne cesse de faire des tournées. Dans ce qui suit il donne les raisons.
M. Koné Sorimana, depuis votre accession à la tête du Syndicat National des transporteurs terrestres de Côte D’Ivoire (SYNTT-CI), vous avez effectué de nombreuses missions à travers tout le pays. Qu’est-ce qui vous fait courir ?
Effectivement, depuis que j’ai succédé à feu El Hadj Fofana Yaya, je fais de nombreuses missions. Cela est dû au fait que je veux assurer ma fonction de président du SYNTT-CI dans la continuité. Vous savez, ce n’est pas facile de remplacer un homme comme Fofana Yaya. Et quand vous devez le faire, soyez prêt à aller vers toutes les sections de l’intérieur. C’est justement ce que j’essaie de faire depuis un certain temps.
Quels messages véhiculez-vous au cours de vos différentes tournées ?
K.S Pdt SYNTT-CI : Partout, le message est le même. L’axe de communication reste le même. Je prodigue toujours de sages conseils à l’ensemble des transporteurs sans appartenance syndicale. Aujourd’hui, en tant que l’un des doyens du secteur, je me dois d’être un modèle.
Que leur dites-vous concrètement ?
Je réitère partout que le transport est l’un des maillons essentiels de l’économie du pays. Et qu’à cette période de reconstruction post-crise, nous devons être des exemples. Les transporteurs doivent être de bons élèves. Ils doivent cesser de donner dans la barbarie et les palabres inutiles pour donner le meilleur d’eux-mêmes. On ne peut pas être incontournable dans l’économie d’un pays et ne pas donner de bons exemples. C’est pourquoi je leur demande l’entente, la paix et la fraternité pour un transport développé et envié dans la sous-région.
Propos recueillis par Koné Seydou
M. Koné Sorimana, depuis votre accession à la tête du Syndicat National des transporteurs terrestres de Côte D’Ivoire (SYNTT-CI), vous avez effectué de nombreuses missions à travers tout le pays. Qu’est-ce qui vous fait courir ?
Effectivement, depuis que j’ai succédé à feu El Hadj Fofana Yaya, je fais de nombreuses missions. Cela est dû au fait que je veux assurer ma fonction de président du SYNTT-CI dans la continuité. Vous savez, ce n’est pas facile de remplacer un homme comme Fofana Yaya. Et quand vous devez le faire, soyez prêt à aller vers toutes les sections de l’intérieur. C’est justement ce que j’essaie de faire depuis un certain temps.
Quels messages véhiculez-vous au cours de vos différentes tournées ?
K.S Pdt SYNTT-CI : Partout, le message est le même. L’axe de communication reste le même. Je prodigue toujours de sages conseils à l’ensemble des transporteurs sans appartenance syndicale. Aujourd’hui, en tant que l’un des doyens du secteur, je me dois d’être un modèle.
Que leur dites-vous concrètement ?
Je réitère partout que le transport est l’un des maillons essentiels de l’économie du pays. Et qu’à cette période de reconstruction post-crise, nous devons être des exemples. Les transporteurs doivent être de bons élèves. Ils doivent cesser de donner dans la barbarie et les palabres inutiles pour donner le meilleur d’eux-mêmes. On ne peut pas être incontournable dans l’économie d’un pays et ne pas donner de bons exemples. C’est pourquoi je leur demande l’entente, la paix et la fraternité pour un transport développé et envié dans la sous-région.
Propos recueillis par Koné Seydou