La prochaine assemblée annuelle du Conseil des gouverneurs du Forum pour le renforcement des capacités en Afrique (Acbf) se tiendra à Abidjan, en septembre prochain. Le secrétaire exécutif de cette institution, Dr. Edwin Forlemu, en a lancé le processus préparatif, vendredi dernier, au cours d’une conférence de presse, à la Cellule d’analyse de politiques économiques du Cires (Capec). «La Côte d’Ivoire a fait l’unanimité, à la dernière session annuelle qui s’est tenue à Paris, pour abriter la 18ème assemblée annuelle. Votre pays accorde une grande importance au renforcement des capacités, qui est un axe stratégique du développement, et son engagement aux côtés de l’Acbf est total», a-t-il motivé. D’ailleurs, a-t-il ajouté, la Côte d’Ivoire bénéficie de trois grands projets financés par l’Acbf qui produisent des résultats satisfaisants : le Programme de formation en gestion de la politique économique (Gpe), le Secrétariat national à la bonne gouvernance et au renforcement des capacités (Sngrc) et la Cellule d’analyse de politique économique du Cires (Capec) pour 30 millions de dollars. Au cours de ces assises de la 18ème assemblée annuelle, de grandes décisions seront prises pour améliorer les interventions de l’Acbf «qui est une institution en plein essor», selon le camerounais Edwin Forlemu.
La Fondation pour le renforcement des capacités en Afrique dont le siège est situé à Harare a été créée en février 1991. Elle intervient dans les domaines de l’analyse et gestion de la politique économique, de l’administration et gestion des affaires publiques, du renforcement des statistiques nationales et des institutions statistiques. Mais également dans le renforcement des capacités d’analyse des parlements nationaux et des institutions parlementaires, la professionnalisation de l’expression du secteur privé et de la société civile.
J-S Lia
La Fondation pour le renforcement des capacités en Afrique dont le siège est situé à Harare a été créée en février 1991. Elle intervient dans les domaines de l’analyse et gestion de la politique économique, de l’administration et gestion des affaires publiques, du renforcement des statistiques nationales et des institutions statistiques. Mais également dans le renforcement des capacités d’analyse des parlements nationaux et des institutions parlementaires, la professionnalisation de l’expression du secteur privé et de la société civile.
J-S Lia