Monsieur le Président,
Les populations du Département de Koun-Fao sont très heureuses de vous accueillir au cœur du pays Agni Bona. Ces populations sont d'autant plus heureuses, que votre dernier passage sur leur terroir, remonte à septembre 1998 ; il y a donc environ 11 ans de cela.
Cette visite, Monsieur le Président, même si elle s'inscrit dans votre programme de tournées dans les différentes délégations du Parti, est toute particulière pour les militants du PDCI de cette région. Elle leur permet en effet, de renouer avec toute la direction et les principaux responsables du parti.
Cette rencontre est surtout l'occasion des militants du Département de Koun-Fao de vous exprimer de vives voix leur souhait de vous voir aux commandes de ce pays, qui a un problème de gouvernail et de gouvernance. Elles vous exprimeront par ailleurs, leur détermination à vous accompagner, à vous soutenir et à être à vos côtés dans la démarche du Parti à reconquérir le pouvoir politique.
Mais Monsieur le Président, pourquoi, les peuples Agni Bona, Agni Bini et Bron souhaitent ardemment votre retour aux commandes du pays ? Et comment ces peuples comptent-ils vous accompagner dans cette noble aventure de reconquête et d'exercice du pouvoir à partir de votre projet de société sur un plan local ?
S'agissant des raisons pour lesquelles, les militants de ce département dans leur grande majorité souhaitent votre retour aux affaires, elles sont multiples, pour l'essentiel retenons : i) l'actualité et la pertinence de votre projet de société exprimé lors du 10ème congrès ordinaire du Parti, ii) les résultats obtenus par votre Gouvernement au cours de la période 1995-1999, iii) les réformes que vous avez prévu entreprendre, iv) les résultats du pouvoir actuel.
En ce qui concerne votre projet de société présenté le 26 août 1995, lors de la Convention du Parti à Yamoussokro, il envisage entre autres, que la Côte d'ivoire renoue avec une croissance forte, saine et durable. Il cible en outre la promotion de l'épanouissement des jeunes, des femmes et des hommes, la modernisation des systèmes éducatif, économique et culturel de la Côte d'Ivoire et le développement de la coopération régionale.
Ces idées fortes formatées dans dix grands chantiers de réformes et d'actions ont eu un début de mise en œuvre et ont permis d'obtenir des résultats remarquables en trois ans. En effet, comme vous le rappeler le mercredi dernier à Bétié, le taux de croissance économique a été en moyenne de 7% entre 1995 et 1997, et nous ajoutons aujourd'hui que, le taux d'investissement a presque doublé en quatre ans, l'emploi a augmenté de près de 7% en 1997.
Le Programme de Lutte contre la Pauvreté, adopté en juin 1997 afin de mieux répartir les fruits de cette croissance, a permis de réduire le taux de pauvreté de 36.8% en 1995 à 33.6% en 1998.
Au niveau de la santé, outre l'élaboration du Plan National de Développement Sanitaire (PNDS), plusieurs actions ont été menées pour accroître l'accessibilité des populations aux soins de santé ; les travaux préparatoires du 10ème congrès du parti recommandaient en 1996, la généralisation des prestations de l'assurance maladie pour tous.
Dans le domaine de l'éducation, les efforts fournis par votre Gouvernement, dont le principal animateur est encore à vos côtés aujourd'hui, se sont traduits par une hausse du budget spécial d'investissement et surtout par une amélioration du taux brut de scolarisation et du taux d'alphabétisation.
S'agissant de l'Assainissement et de l'Hydraulique, les actions visant à une meilleure couverture en hydraulique villageoise et urbaine ont également été poursuivies.
Monsieur le Président, il sera fastidieux et sans doute inopportun de faire la comptabilité des résultats encourageants que votre Gouvernement et vous-même aviez obtenus en si peu temps. Par ma voix, les militants du Département de Koun-Fao voudraient vous dire que pour eux, seuls les résultats concrets comptent, c'est-à-dire les actes qui leur permettent de s'affranchir de la pauvreté, de la misère, de l'ignorance, de la maladie. C'est pourquoi, ils apportent avec force, leur soutien et leur aval à la décision du Parti de faire de Bédié une nouvelle chance pour la Côte d'Ivoire.
Outre les résultats enregistrés, les réformes que vous avez prévues mettre en œuvre, font partie des raisons pour lesquelles, la grande majorité des militants du PDCI/RDA et d'autres personnes désabusées par des promesses électorales non tenues, voudraient vous accorder leur soutient.
En effet, vous avez prévu approfondir la démocratie, poursuivre la bonne gouvernance, renforcer le système de sécurité des hommes et des biens et transformer notre administration en une administration de développement. Vous avez également envisagé de renforcer les infrastructures de base et la modernisation du monde rural, de poursuivre la mise en œuvre des 12 travaux de l'Eléphant d'Afrique, etc.
Les résultats enregistrés depuis 2000, justifient la pertinence de ces réformes même aujourd'hui. Comme preuve à mes propos, Monsieur le Président, permettez moi de citer des extraits du document que le Gouvernement Ivoirien a présenté aux partenaires au développement pour s'inscrire dans l'initiative en faveur des Pays Pauvres Très endettés (PPTE).
Dans le Document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté, il est indiqué à la page 24 que " l'étude sur la gouvernance menée par l'INS en 2006, révèle que plus de 70% des personnes enquêtées ne sont pas satisfaites des prestations de l'administration et de la qualité du service public. De plus, 62% de l'échantillon trouvent non satisfaisants les services de sécurité des personnes et des biens, et 35% des personnes interrogées disent ne pas se sentir en sécurité dans leur vie quotidienne.
De plus, la détérioration de la confiance entre les populations et les acteurs politiques a aggravé la méfiance à l'égard des institutions de l'Etat qui se traduit par une mauvaise régulation des rapports de l'exécutif avec les autres institutions, la faible participation citoyenne et l'inobservance du devoir de rendre compte aux populations.
La faible performance de l'administration publique et la qualité insuffisante de ses services s'expliquent par une mauvaise organisation et animation des services, l'insuffisance des capacités technique et professionnelle de certains agents. "
Par ailleurs, les résultats économiques et sociaux enregistrés au cours de ces dix dernières années justifient davantage les réformes prévues dans votre projet de société. En effet, depuis l'arrêt anticonstitutionnel du régime que vous dirigez, la pauvreté n'a pas cessé de croître : les données de l'enquête sur le niveau de vie des ménages de 2008 indiquent qu'environ une personne sur deux est devenue pauvre. La grande région du Nord Est, à laquelle nous appartenons, est une des régions les plus touchées par la pauvreté : le taux de pauvreté de 54 .7% de cette région est supérieur au taux national estimé à 48.9%.
En outre, il est noté dans le Document Stratégie de Lutte contre la Pauvreté de janvier 2009 que de nombreux enfants et jeunes, notamment les filles, n'ont pas accès à une éducation de base de qualité. Il est aussi mentionné dans ce Document que les efforts de mutualisation du risque maladie entamés en 2001 n'ont guère abouti à ce jour. Le chômage des jeunes de 15 à 24 ans est de 24.2% ; en milieu urbain, le taux de chômage est de 27.4%.
Le Document de Stratégie de Lutte contre la Pauvreté souligne également que les ivoiriens et ivoiriennes vivent moins longtemps aujourd'hui qu'il y a 10 ans puisque l'espérance de vie à la naissance qui était de 51 ans en 1998, est tombée à 47 en 2008.
Monsieur Le Président, ces contre performances économique et sociale fondent également le soutien des peuples Agni Bona, Agni Bini et Bron à la démarche du PDCI/RDA pour la reconquête et l'exercice du pouvoir.
Mais de quelle manière ?
Par leur détermination, les militants du PDCI/RDA du Département de Koun-Fao s'engagent et s'engageront, advienne que pourra, à votre côté pour que les 10 ans de progrès perdus soient rattrapés. Certains l'ont démontré en offrant leur vie, il s'agit notamment de Assalé tué à Yopongon lors de la marche de protestation organisée par la Direction du Parti en mars 2004. D'autres encore plus chanceux, puisque vivants, ont résisté à la tentation de la transhumance politique, du reniement de soi et de leur parti ; le débauchage politique n'a pas eu raison d'eux.
Outre leur conviction, leur foi en leur Parti et à ses dirigeants, les militants du Département de Koun-Fao voudraient s'associer modestement et de façon forte à toute initiative de réexamen, d'actualisation de certains aspects de votre projet de société. Les compétences dont regorge ce Département, demandent à être au service du Parti aussi bien lors de la conquête du pouvoir comme dans l'exercice de celui-ci.
Leur contribution à la réalisation de votre projet de société sera sans aucun doute importante d'autant plus que certains d'entre eux, en chômage du fait de la volonté d'éclipser leur expertise au profit d'autres référentiels contre productifs, sont déjà habitués à vos méthodes de travail ainsi qu'à celles du Président Houphouët.
Monsieur le Président, pour leur contribution au progrès pour tous que vous voulez instaurer en Côte d'Ivoire, les militants du Département de Koun-Fao voudraient également offrir les potentialités, les opportunités de leur région. Celle-ci, riche en ressources vous permettront d'expérimenter, d'approfondir votre politique de régionalisation dont bien de points sont actuellement contrefaits.
Au total, Monsieur le Président, vous êtes une sorte de Galilée, espace de convergence, de rencontre des personnes ressuscitées par votre projet de société. C'est pourquoi, les peuples Agni Bona, Agni Bini et Bron vous encouragent et vous soutiennent fortement à reprendre les commandes du pays afin que se réalise la substitution des programmes et projets contrefaits par vos programmes originaux, garant du progrès pour tous et du bonheur pour chacun.
Les populations du Département de Koun-Fao sont très heureuses de vous accueillir au cœur du pays Agni Bona. Ces populations sont d'autant plus heureuses, que votre dernier passage sur leur terroir, remonte à septembre 1998 ; il y a donc environ 11 ans de cela.
Cette visite, Monsieur le Président, même si elle s'inscrit dans votre programme de tournées dans les différentes délégations du Parti, est toute particulière pour les militants du PDCI de cette région. Elle leur permet en effet, de renouer avec toute la direction et les principaux responsables du parti.
Cette rencontre est surtout l'occasion des militants du Département de Koun-Fao de vous exprimer de vives voix leur souhait de vous voir aux commandes de ce pays, qui a un problème de gouvernail et de gouvernance. Elles vous exprimeront par ailleurs, leur détermination à vous accompagner, à vous soutenir et à être à vos côtés dans la démarche du Parti à reconquérir le pouvoir politique.
Mais Monsieur le Président, pourquoi, les peuples Agni Bona, Agni Bini et Bron souhaitent ardemment votre retour aux commandes du pays ? Et comment ces peuples comptent-ils vous accompagner dans cette noble aventure de reconquête et d'exercice du pouvoir à partir de votre projet de société sur un plan local ?
S'agissant des raisons pour lesquelles, les militants de ce département dans leur grande majorité souhaitent votre retour aux affaires, elles sont multiples, pour l'essentiel retenons : i) l'actualité et la pertinence de votre projet de société exprimé lors du 10ème congrès ordinaire du Parti, ii) les résultats obtenus par votre Gouvernement au cours de la période 1995-1999, iii) les réformes que vous avez prévu entreprendre, iv) les résultats du pouvoir actuel.
En ce qui concerne votre projet de société présenté le 26 août 1995, lors de la Convention du Parti à Yamoussokro, il envisage entre autres, que la Côte d'ivoire renoue avec une croissance forte, saine et durable. Il cible en outre la promotion de l'épanouissement des jeunes, des femmes et des hommes, la modernisation des systèmes éducatif, économique et culturel de la Côte d'Ivoire et le développement de la coopération régionale.
Ces idées fortes formatées dans dix grands chantiers de réformes et d'actions ont eu un début de mise en œuvre et ont permis d'obtenir des résultats remarquables en trois ans. En effet, comme vous le rappeler le mercredi dernier à Bétié, le taux de croissance économique a été en moyenne de 7% entre 1995 et 1997, et nous ajoutons aujourd'hui que, le taux d'investissement a presque doublé en quatre ans, l'emploi a augmenté de près de 7% en 1997.
Le Programme de Lutte contre la Pauvreté, adopté en juin 1997 afin de mieux répartir les fruits de cette croissance, a permis de réduire le taux de pauvreté de 36.8% en 1995 à 33.6% en 1998.
Au niveau de la santé, outre l'élaboration du Plan National de Développement Sanitaire (PNDS), plusieurs actions ont été menées pour accroître l'accessibilité des populations aux soins de santé ; les travaux préparatoires du 10ème congrès du parti recommandaient en 1996, la généralisation des prestations de l'assurance maladie pour tous.
Dans le domaine de l'éducation, les efforts fournis par votre Gouvernement, dont le principal animateur est encore à vos côtés aujourd'hui, se sont traduits par une hausse du budget spécial d'investissement et surtout par une amélioration du taux brut de scolarisation et du taux d'alphabétisation.
S'agissant de l'Assainissement et de l'Hydraulique, les actions visant à une meilleure couverture en hydraulique villageoise et urbaine ont également été poursuivies.
Monsieur le Président, il sera fastidieux et sans doute inopportun de faire la comptabilité des résultats encourageants que votre Gouvernement et vous-même aviez obtenus en si peu temps. Par ma voix, les militants du Département de Koun-Fao voudraient vous dire que pour eux, seuls les résultats concrets comptent, c'est-à-dire les actes qui leur permettent de s'affranchir de la pauvreté, de la misère, de l'ignorance, de la maladie. C'est pourquoi, ils apportent avec force, leur soutien et leur aval à la décision du Parti de faire de Bédié une nouvelle chance pour la Côte d'Ivoire.
Outre les résultats enregistrés, les réformes que vous avez prévues mettre en œuvre, font partie des raisons pour lesquelles, la grande majorité des militants du PDCI/RDA et d'autres personnes désabusées par des promesses électorales non tenues, voudraient vous accorder leur soutient.
En effet, vous avez prévu approfondir la démocratie, poursuivre la bonne gouvernance, renforcer le système de sécurité des hommes et des biens et transformer notre administration en une administration de développement. Vous avez également envisagé de renforcer les infrastructures de base et la modernisation du monde rural, de poursuivre la mise en œuvre des 12 travaux de l'Eléphant d'Afrique, etc.
Les résultats enregistrés depuis 2000, justifient la pertinence de ces réformes même aujourd'hui. Comme preuve à mes propos, Monsieur le Président, permettez moi de citer des extraits du document que le Gouvernement Ivoirien a présenté aux partenaires au développement pour s'inscrire dans l'initiative en faveur des Pays Pauvres Très endettés (PPTE).
Dans le Document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté, il est indiqué à la page 24 que " l'étude sur la gouvernance menée par l'INS en 2006, révèle que plus de 70% des personnes enquêtées ne sont pas satisfaites des prestations de l'administration et de la qualité du service public. De plus, 62% de l'échantillon trouvent non satisfaisants les services de sécurité des personnes et des biens, et 35% des personnes interrogées disent ne pas se sentir en sécurité dans leur vie quotidienne.
De plus, la détérioration de la confiance entre les populations et les acteurs politiques a aggravé la méfiance à l'égard des institutions de l'Etat qui se traduit par une mauvaise régulation des rapports de l'exécutif avec les autres institutions, la faible participation citoyenne et l'inobservance du devoir de rendre compte aux populations.
La faible performance de l'administration publique et la qualité insuffisante de ses services s'expliquent par une mauvaise organisation et animation des services, l'insuffisance des capacités technique et professionnelle de certains agents. "
Par ailleurs, les résultats économiques et sociaux enregistrés au cours de ces dix dernières années justifient davantage les réformes prévues dans votre projet de société. En effet, depuis l'arrêt anticonstitutionnel du régime que vous dirigez, la pauvreté n'a pas cessé de croître : les données de l'enquête sur le niveau de vie des ménages de 2008 indiquent qu'environ une personne sur deux est devenue pauvre. La grande région du Nord Est, à laquelle nous appartenons, est une des régions les plus touchées par la pauvreté : le taux de pauvreté de 54 .7% de cette région est supérieur au taux national estimé à 48.9%.
En outre, il est noté dans le Document Stratégie de Lutte contre la Pauvreté de janvier 2009 que de nombreux enfants et jeunes, notamment les filles, n'ont pas accès à une éducation de base de qualité. Il est aussi mentionné dans ce Document que les efforts de mutualisation du risque maladie entamés en 2001 n'ont guère abouti à ce jour. Le chômage des jeunes de 15 à 24 ans est de 24.2% ; en milieu urbain, le taux de chômage est de 27.4%.
Le Document de Stratégie de Lutte contre la Pauvreté souligne également que les ivoiriens et ivoiriennes vivent moins longtemps aujourd'hui qu'il y a 10 ans puisque l'espérance de vie à la naissance qui était de 51 ans en 1998, est tombée à 47 en 2008.
Monsieur Le Président, ces contre performances économique et sociale fondent également le soutien des peuples Agni Bona, Agni Bini et Bron à la démarche du PDCI/RDA pour la reconquête et l'exercice du pouvoir.
Mais de quelle manière ?
Par leur détermination, les militants du PDCI/RDA du Département de Koun-Fao s'engagent et s'engageront, advienne que pourra, à votre côté pour que les 10 ans de progrès perdus soient rattrapés. Certains l'ont démontré en offrant leur vie, il s'agit notamment de Assalé tué à Yopongon lors de la marche de protestation organisée par la Direction du Parti en mars 2004. D'autres encore plus chanceux, puisque vivants, ont résisté à la tentation de la transhumance politique, du reniement de soi et de leur parti ; le débauchage politique n'a pas eu raison d'eux.
Outre leur conviction, leur foi en leur Parti et à ses dirigeants, les militants du Département de Koun-Fao voudraient s'associer modestement et de façon forte à toute initiative de réexamen, d'actualisation de certains aspects de votre projet de société. Les compétences dont regorge ce Département, demandent à être au service du Parti aussi bien lors de la conquête du pouvoir comme dans l'exercice de celui-ci.
Leur contribution à la réalisation de votre projet de société sera sans aucun doute importante d'autant plus que certains d'entre eux, en chômage du fait de la volonté d'éclipser leur expertise au profit d'autres référentiels contre productifs, sont déjà habitués à vos méthodes de travail ainsi qu'à celles du Président Houphouët.
Monsieur le Président, pour leur contribution au progrès pour tous que vous voulez instaurer en Côte d'Ivoire, les militants du Département de Koun-Fao voudraient également offrir les potentialités, les opportunités de leur région. Celle-ci, riche en ressources vous permettront d'expérimenter, d'approfondir votre politique de régionalisation dont bien de points sont actuellement contrefaits.
Au total, Monsieur le Président, vous êtes une sorte de Galilée, espace de convergence, de rencontre des personnes ressuscitées par votre projet de société. C'est pourquoi, les peuples Agni Bona, Agni Bini et Bron vous encouragent et vous soutiennent fortement à reprendre les commandes du pays afin que se réalise la substitution des programmes et projets contrefaits par vos programmes originaux, garant du progrès pour tous et du bonheur pour chacun.