La 10e édition de la Fête de l’Internet, qui a lieu depuis hier, est marquée par des actes concrets. Cinq villages de l’intérieur du pays ont été connectés à la toile, à l’occasion. Il s’agit de Soko (Bondoukou), Nigouni (Tengréla), Kamasséla (Touba), Zémininafla (Sinfra) et Azaguié. Leurs populations navigueront gratuitement pendant un an.
Le projet de connexion des localités de l’intérieur du pays que le ministre des Nouvelles technologies de la communication et de l’information (Ntic), Hamed Bakayoko, ambitionnait de réaliser est donc entré dans sa phase active. Hier, tout heureux, il s’est étendu de nouveau sur les enjeux de la vulgarisation de cet outil qui lui tient à cœur. Aux nombreux jeunes qui ont pris d’assaut l’enceinte du Conseil des anciens combattants de Treichville, il s’est évertué à démontrer qu’Internet était une aubaine pour les nationaux des pays pauvres d’avoir accès, entre autres, à la connaissance dans les mêmes conditions que ceux des pays développés. C’est un phénomène sociologique, dit-il, dont doivent s’approprier les jeunes. «Battez-vous pour vous approprier Internet. C’est la priorité des pauvres… Soyez dans le tempo… Refusez de prendre du retard».
Compte tenu de l’importance de l’outil, le ministre des Ntic propose que l’informatique entre dans les programmes scolaires à partir des classes primaires.
La grande innovation cette année, c’est que l’édition 2009 de la fête de l’Internet s’est déplacée de l’hôtel Ivoire pour se tenir à Treichville. Ce choix, selon le ministre, a été guidé par le souci de rapprocher davantage l’événement de la population, notamment des jeunes.
Toujours dans le souci de booster la vulgarisation d’Internet, Hamed Bakayoko lance un concours du meilleur promoteur de l’outil dénommé «la Toile d’or». Ce concours mettra en compétitions les administrations, les banques, les écoles, les jeunes, les maisons de presse.
En ce qui concerne la fête proprement dite, les organisateurs ont mis à la disposition des internautes un cyber de 100 terminaux dans le hall de l’Office des anciens combattants. Les communes d’Abidjan et 7 villes de l’intérieur du pays ont été dotées de cybers gratuits, le temps de la fête. Tout ceci, grâce à l’appui du sponsor officiel qu’est l’opérateur historique, Côte d’Ivoire Telecom. Son directeur général, Daniel Fermine, est venu exprimer son vœu que Internet connaisse une réelle vulgarisation.
Alakagni Hala
Le projet de connexion des localités de l’intérieur du pays que le ministre des Nouvelles technologies de la communication et de l’information (Ntic), Hamed Bakayoko, ambitionnait de réaliser est donc entré dans sa phase active. Hier, tout heureux, il s’est étendu de nouveau sur les enjeux de la vulgarisation de cet outil qui lui tient à cœur. Aux nombreux jeunes qui ont pris d’assaut l’enceinte du Conseil des anciens combattants de Treichville, il s’est évertué à démontrer qu’Internet était une aubaine pour les nationaux des pays pauvres d’avoir accès, entre autres, à la connaissance dans les mêmes conditions que ceux des pays développés. C’est un phénomène sociologique, dit-il, dont doivent s’approprier les jeunes. «Battez-vous pour vous approprier Internet. C’est la priorité des pauvres… Soyez dans le tempo… Refusez de prendre du retard».
Compte tenu de l’importance de l’outil, le ministre des Ntic propose que l’informatique entre dans les programmes scolaires à partir des classes primaires.
La grande innovation cette année, c’est que l’édition 2009 de la fête de l’Internet s’est déplacée de l’hôtel Ivoire pour se tenir à Treichville. Ce choix, selon le ministre, a été guidé par le souci de rapprocher davantage l’événement de la population, notamment des jeunes.
Toujours dans le souci de booster la vulgarisation d’Internet, Hamed Bakayoko lance un concours du meilleur promoteur de l’outil dénommé «la Toile d’or». Ce concours mettra en compétitions les administrations, les banques, les écoles, les jeunes, les maisons de presse.
En ce qui concerne la fête proprement dite, les organisateurs ont mis à la disposition des internautes un cyber de 100 terminaux dans le hall de l’Office des anciens combattants. Les communes d’Abidjan et 7 villes de l’intérieur du pays ont été dotées de cybers gratuits, le temps de la fête. Tout ceci, grâce à l’appui du sponsor officiel qu’est l’opérateur historique, Côte d’Ivoire Telecom. Son directeur général, Daniel Fermine, est venu exprimer son vœu que Internet connaisse une réelle vulgarisation.
Alakagni Hala