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Sport Publié le jeudi 30 avril 2009 | Nord-Sud

Football - Entretien Georges Ezaley (Président USC Bassam) : "On cherche nos marques"

L'entame difficile de la Ligue 1 que connait l'Usc Bassam ne fait pas désespérer le président du club, Georges Ezaley.

•En cinq journées votre club fait un parcours peu reluisant avec deux défaites, deux nuls et une victoire. Bassam récolte donc cinq points sur quinze possibles…

Ce qu'on peut dire, c'est qu'on cherche nos marques. Notre parcours qui se résume à deux nuls, deux défaites et une victoire l'atteste. Il va falloir continuer de travailler. C'est de cela que j'ai discuté avec l'entraîneur. On a du potentiel mais on manque de réussite comme lors du match face à l'Africa.


•Quel jugement portez-vous sur ce parcours ?

Après cinq journées, on n'est qu'au début du Championnat. Je reconnais qu'il y a encore des lacunes qu'il faut corriger. Il ne faut pas stresser les enfants pour rien. L'année dernière on avait bien commencé, on avait connu aussi des moments de flottement, et on a quand même terminé quatrième. Cette année, on connaît un parcours en dents de scie. C'est sans doute bien venu, parce que ça va permettre aux joueurs et à l'entraîneur de se remettre en cause. Et travailler davantage.


•Que retenez-vous comme leçon de ce début de Championnat?

C'est difficile de faire un bilan, parce que les matches ne se ressemblent pas. Contre l'Africa par exemple on a vraiment manqué de réussite. On se fait un auto-goal, on rate d'énormes occasions nettes. Je l'ai dit tantôt, on connait un parcours en dents de scie, chaque match a eu sa vérité. Mais la vie continue.


•On vous a vu discuter longuement avec votre entraîneur Gervais Kessié. Etaient-ce des reproches ou des observations que vous lui faisiez après la défaite contre l'Africa ?

Je lui ai fait des observations par rapport à ce que j'ai vu. Je lui ai donné mon avis et des conseils pour voir comment corriger les choses pour les matches à venir. Lui et moi sommes partenaires, donc j'estime que je peux lui dire ce que je pense sur ce que je vois. Maintenant, c'est lui l'entraîneur c'est donc à lui de tirer les meilleurs leçons possibles de ces observations.


•Vous ne cachez pas votre volonté d'être « Africain ». Ce mauvais départ ne vous donne-t-il pas quelques soucis ?

Pas du tout. Je vise toujours une place africaine. Je pense, pour l'instant, qu'on n'est pas les derniers de la classe. La lutte continue.

Entretien réalisé par Tibet Kipré
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