Le président a tenu à aller à Assuéffry et Transua
Les deux étapes d’Assuéfry et de Transua n'étaient pas clairement prévues au programme, l'information avait été donnée au déjeuner du 30 avril à Tanda que le Président n'irait pas dans ces deux villes. Puis, vers 20 heures, le même jour, on apprend qu'il ira là-bas. Le matin du 1er mai, on apprend à nouveau que le Président doit se reposer et ce n'est que vers 08 heures que la confirmation de son passage là-bas a été faite. Sur le terrain, les tractations avec les jeunes pour qu'ils enlèvent les bois de la route, ont échoué. Mais le Président a tenu à y aller et il y est allé.
Guikahué, éclaireur ou pompier ?
En tout cas, dépêché à Assuéffry le matin du 1er mai, le ministre Maurice Kakou Gikahué a dénoué bien de nœuds dans cette ville. Il a dû avoir plusieurs rencontres en amont et en aval pour aplanir bien de différends afin que l'accueil du Président ne souffre aucun débordement ou sabotage. Il a été reçu avec le député chez le chef, et là encore il a dû user de diplomatie pour calmer les esprits qui avaient commencé à se chauffer. Après ces tractations, la mobilisation déjà parfaite n'a connu aucun incident major.
Pourquoi Assueffry ne veut pas de Gbagbo
Les populations d'Assuéffry, toutes tendances, toutes classes, tous sexes confondus, en ont pour longtemps encore après le Président Gbagbo. La raison est toute simple. Gbagbo a donné la préfecture à Transua, au détriment d'Assueffry. Pourtant, Assueffry a été la seule cité du coin à avoir donné un maire au FPI. " Mais aujourd'hui, pour faire plaisir à son aide de camp, il nous prive de la préfecture pour la donner à Transua où son parti n'a aucun élu. Puisque son aide de camp compte plus que nous tous, qu'il vienne voter pour lui et le FPI. Ils ne doivent plus compter sur une seule voix ici… " menacent beaucoup.
Les immatriculations ghanéennes
On sait que la ville d'Assueffry est très proche du Ghana, mais ce qu'on ne savait pas, c'est que les trois quarts des véhicules qui circulent là-bas sont immatriculés au Ghana voisin. Que ce soit des engins à deux roues, des camions, des camionnettes, des fourgonnettes, des pick-up ou des mini-cars affectés au transport public, bien de véhicules sont d'origine ghanéenne. Et ils vont jusqu'à Bondoukou, Tanda, Agnibilékrou et même au-delà.
Aoua Touré, Un fidèle parmi les fidèles
Le doyen Touré Aoua, délégué départemental du PDCI-RDA de Duékoué est réellement un fidèle du Président Henri Konan Bédié. Il est de toutes les tournées du Président Bédié. De Dabou jusqu'au Zanzan en passant par Koumassi, Yopougon, Bocanda, Dimbokro Soubré, la région de la Vallée du Bandama, la région des Lacs et de la Marahoué , la région du Sud Comoé, la région du Moyen-Comoé…, il est toujours là. Souvent accompagné d'un de ses fils ou d'un de ses lieutenants.
Yaya Ouattara à l'accueil
Le ministre Yaya Ouattara, vice-président du PDCI-RDA était, hier, aussi à Assueffry pour apporter son soutien au délégué départemental Tah Thomas. Le vice-président, arrivé un peu plus tôt avant le cortège, était à l'accueil du Président du Parti. D'aucuns disent que sa présence et son soutien ont véritablement conforté le jeune délégué Tah Thomas.
Encore le G22
Dans toutes les tournées du Président Bédié, ils sont les plus réguliers. Ce sont les députés réunis au sein du groupe appelé G22. Ils se rélayent, de sorte qu'à n'importe quelle étape, il y a toujours au moins quatre députés du G22. Parmi eux Frondo Yao (N'Djébonoua), Madame Bouaman Bernadette (Vavoua) Séri Bi Guessan Privat (Bédiala), Matto Joseph (Vavoua).
5 secondes de frayeurs
Juste après l'installation du président, les baffles avec le microphone, les deux ventilateurs placés devant le président et Madame Bédié ont arrêté de fonctionner. Le courant électrique venait d'être interrompu. Pendant exactement cinq secondes. Tout le monde avait commencé à se poser des questions lorsqu'on a entendu les hauts parleurs sonner à nouveau. On a eu d'autant peur que le groupe électrogène de rechange qui suivait le Président Bédié partout n'était pas au rendez-vous d'Assuéffry.
Les deux étapes d’Assuéfry et de Transua n'étaient pas clairement prévues au programme, l'information avait été donnée au déjeuner du 30 avril à Tanda que le Président n'irait pas dans ces deux villes. Puis, vers 20 heures, le même jour, on apprend qu'il ira là-bas. Le matin du 1er mai, on apprend à nouveau que le Président doit se reposer et ce n'est que vers 08 heures que la confirmation de son passage là-bas a été faite. Sur le terrain, les tractations avec les jeunes pour qu'ils enlèvent les bois de la route, ont échoué. Mais le Président a tenu à y aller et il y est allé.
Guikahué, éclaireur ou pompier ?
En tout cas, dépêché à Assuéffry le matin du 1er mai, le ministre Maurice Kakou Gikahué a dénoué bien de nœuds dans cette ville. Il a dû avoir plusieurs rencontres en amont et en aval pour aplanir bien de différends afin que l'accueil du Président ne souffre aucun débordement ou sabotage. Il a été reçu avec le député chez le chef, et là encore il a dû user de diplomatie pour calmer les esprits qui avaient commencé à se chauffer. Après ces tractations, la mobilisation déjà parfaite n'a connu aucun incident major.
Pourquoi Assueffry ne veut pas de Gbagbo
Les populations d'Assuéffry, toutes tendances, toutes classes, tous sexes confondus, en ont pour longtemps encore après le Président Gbagbo. La raison est toute simple. Gbagbo a donné la préfecture à Transua, au détriment d'Assueffry. Pourtant, Assueffry a été la seule cité du coin à avoir donné un maire au FPI. " Mais aujourd'hui, pour faire plaisir à son aide de camp, il nous prive de la préfecture pour la donner à Transua où son parti n'a aucun élu. Puisque son aide de camp compte plus que nous tous, qu'il vienne voter pour lui et le FPI. Ils ne doivent plus compter sur une seule voix ici… " menacent beaucoup.
Les immatriculations ghanéennes
On sait que la ville d'Assueffry est très proche du Ghana, mais ce qu'on ne savait pas, c'est que les trois quarts des véhicules qui circulent là-bas sont immatriculés au Ghana voisin. Que ce soit des engins à deux roues, des camions, des camionnettes, des fourgonnettes, des pick-up ou des mini-cars affectés au transport public, bien de véhicules sont d'origine ghanéenne. Et ils vont jusqu'à Bondoukou, Tanda, Agnibilékrou et même au-delà.
Aoua Touré, Un fidèle parmi les fidèles
Le doyen Touré Aoua, délégué départemental du PDCI-RDA de Duékoué est réellement un fidèle du Président Henri Konan Bédié. Il est de toutes les tournées du Président Bédié. De Dabou jusqu'au Zanzan en passant par Koumassi, Yopougon, Bocanda, Dimbokro Soubré, la région de la Vallée du Bandama, la région des Lacs et de la Marahoué , la région du Sud Comoé, la région du Moyen-Comoé…, il est toujours là. Souvent accompagné d'un de ses fils ou d'un de ses lieutenants.
Yaya Ouattara à l'accueil
Le ministre Yaya Ouattara, vice-président du PDCI-RDA était, hier, aussi à Assueffry pour apporter son soutien au délégué départemental Tah Thomas. Le vice-président, arrivé un peu plus tôt avant le cortège, était à l'accueil du Président du Parti. D'aucuns disent que sa présence et son soutien ont véritablement conforté le jeune délégué Tah Thomas.
Encore le G22
Dans toutes les tournées du Président Bédié, ils sont les plus réguliers. Ce sont les députés réunis au sein du groupe appelé G22. Ils se rélayent, de sorte qu'à n'importe quelle étape, il y a toujours au moins quatre députés du G22. Parmi eux Frondo Yao (N'Djébonoua), Madame Bouaman Bernadette (Vavoua) Séri Bi Guessan Privat (Bédiala), Matto Joseph (Vavoua).
5 secondes de frayeurs
Juste après l'installation du président, les baffles avec le microphone, les deux ventilateurs placés devant le président et Madame Bédié ont arrêté de fonctionner. Le courant électrique venait d'être interrompu. Pendant exactement cinq secondes. Tout le monde avait commencé à se poser des questions lorsqu'on a entendu les hauts parleurs sonner à nouveau. On a eu d'autant peur que le groupe électrogène de rechange qui suivait le Président Bédié partout n'était pas au rendez-vous d'Assuéffry.