Le président de l’Association citoyenne pour Gbagbo a fait des révélations, hier, au cours d’une conférence de presse, sur le conflit qui l’oppose à son ex-employeur.
Rebondissement dans l’affaire Elie Elias Hallassou, président de l’Association citoyenne pour Gbagbo (Acg), en procès contre son ex-employeur, la société Satoci, pour licenciement abusif ! Par une énième conférence de presse qu’il a animée hier matin dans un restaurant à Cocody, le plaignant Elie Hallassou, qu’entouraient des Jeunes patriotes acquis à sa cause, a révélé qu’à la dernière audience, le tribunal du travail, présidé par le juge Blé Antoine, a fait savoir aux parties que d’importantes pièces ont été soutirées du dossier. D’où le renvoi de l’affaire au 28 mai prochain pour permettre la reconstitution du dossier judiciaire.
Pour le conférencier, ce sabotage est le fait d’individus tapis dans l’ombre et qui oeuvrent à empêcher la justice de faire son travail. Invité à être plus clair dans ses accusations, Elie Hallassou, bien que ne l’ayant pas formellement identifié, lorgue son ex-employeur qui, selon lui, n’a pas intérêt à ce que le droit soit dit dans cette affaire. Pour Elie Hallassou qui se plaint, depuis quatre ans, d’avoir été abusivement licencié de sa fonction de directeur commercial de la Satoci en raison de son engagement politique aux côtés du Président Laurent Gbagbo, la disparition de documents du dossier du tribunal atteste bien de ce que son adversaire acculé, utilise des méthodes dilatoires pour ne pas que l’affaire aboutisse. Il en veut pour preuve l’audience du 12 juin 2007, au cours de laquelle lui et son avocat ont été surpris de s’entendre dire que l’affaire avait été radiée.
Le président de l’Acg qui, pour tous les préjudices confondus, exige de son adversaire le payement de la somme de plus de 300 millions de francs, en appelle aux autorités du pays pour que la justice soit débarrassée de toutes les pesanteurs afin de se prononcer sereinement et en toute transparence dans cette affaire. « Je ne demande aucune faveur de qui que ce soit. Je mène un combat noble et j’irai jusqu’au bout. », prévient-il.
Landry Kohon
Rebondissement dans l’affaire Elie Elias Hallassou, président de l’Association citoyenne pour Gbagbo (Acg), en procès contre son ex-employeur, la société Satoci, pour licenciement abusif ! Par une énième conférence de presse qu’il a animée hier matin dans un restaurant à Cocody, le plaignant Elie Hallassou, qu’entouraient des Jeunes patriotes acquis à sa cause, a révélé qu’à la dernière audience, le tribunal du travail, présidé par le juge Blé Antoine, a fait savoir aux parties que d’importantes pièces ont été soutirées du dossier. D’où le renvoi de l’affaire au 28 mai prochain pour permettre la reconstitution du dossier judiciaire.
Pour le conférencier, ce sabotage est le fait d’individus tapis dans l’ombre et qui oeuvrent à empêcher la justice de faire son travail. Invité à être plus clair dans ses accusations, Elie Hallassou, bien que ne l’ayant pas formellement identifié, lorgue son ex-employeur qui, selon lui, n’a pas intérêt à ce que le droit soit dit dans cette affaire. Pour Elie Hallassou qui se plaint, depuis quatre ans, d’avoir été abusivement licencié de sa fonction de directeur commercial de la Satoci en raison de son engagement politique aux côtés du Président Laurent Gbagbo, la disparition de documents du dossier du tribunal atteste bien de ce que son adversaire acculé, utilise des méthodes dilatoires pour ne pas que l’affaire aboutisse. Il en veut pour preuve l’audience du 12 juin 2007, au cours de laquelle lui et son avocat ont été surpris de s’entendre dire que l’affaire avait été radiée.
Le président de l’Acg qui, pour tous les préjudices confondus, exige de son adversaire le payement de la somme de plus de 300 millions de francs, en appelle aux autorités du pays pour que la justice soit débarrassée de toutes les pesanteurs afin de se prononcer sereinement et en toute transparence dans cette affaire. « Je ne demande aucune faveur de qui que ce soit. Je mène un combat noble et j’irai jusqu’au bout. », prévient-il.
Landry Kohon