A l’instar des autres pays du monde entier, la Côte d’Ivoire a célébré la fête du 1er mai. Les festivités se sont déroulées à la présidence de la République en présence du chef de l’Etat, des membres du Gouvernement, de nombreux travailleurs, des chefs d’entreprises et de plusieurs diplomates.
Au cours de cette cérémonie, les responsables des Centrales Syndicales Dignité, UGTCI, FESACI ont égrené un chapelet de revendications sociales qui tournent autour du déblocage des salaires des fonctionnaires de l'Etat et des accessoires de salaires, de la modification du code du travail dans le privé pour mieux protéger les travailleurs, de la revalorisation du Salaire Minimum Garanti (SMIG).
L’Union Générale des Travailleurs de Côte d’Ivoire (UGTCI) a surtout insisté sur l’insertion des femmes dans tous les secteurs du monde du travail, la promotion de la santé des travailleurs ainsi que la prise en charge totale des travailleurs malades du SIDA et de leur famille.
Le suivi des travailleurs victimes des déchets toxiques et la prise en compte des problèmes de plusieurs travailleurs de sociétés en faillite ou en cessation de payement, notamment H International et la plantation d’Etat de Tombokro, ont été soumis au Chef de l’Etat Laurent Gbagbo et à son Premier Ministre Guillaume Soro.
Avant leurs interventions, M. Hubert Oulaye, ministre de la Fonction publique et de l’Emploi a remercié et félicité les travailleurs d’avoir su maintenir vivant le tissu économique ivoirien. Cela, en dépit des difficultés inhérentes à la crise que vit le pays depuis le 19 septembre 2002. Il a, par ailleurs, annoncé l’engagement des travailleurs à conclure une trêve de trois ans dans le secteur privé. Cette trêve s’est matérialisée par la signature d’un pacte entre le ministre, les employeurs et les travailleurs du secteur privé.
Au cours de cette cérémonie, les responsables des Centrales Syndicales Dignité, UGTCI, FESACI ont égrené un chapelet de revendications sociales qui tournent autour du déblocage des salaires des fonctionnaires de l'Etat et des accessoires de salaires, de la modification du code du travail dans le privé pour mieux protéger les travailleurs, de la revalorisation du Salaire Minimum Garanti (SMIG).
L’Union Générale des Travailleurs de Côte d’Ivoire (UGTCI) a surtout insisté sur l’insertion des femmes dans tous les secteurs du monde du travail, la promotion de la santé des travailleurs ainsi que la prise en charge totale des travailleurs malades du SIDA et de leur famille.
Le suivi des travailleurs victimes des déchets toxiques et la prise en compte des problèmes de plusieurs travailleurs de sociétés en faillite ou en cessation de payement, notamment H International et la plantation d’Etat de Tombokro, ont été soumis au Chef de l’Etat Laurent Gbagbo et à son Premier Ministre Guillaume Soro.
Avant leurs interventions, M. Hubert Oulaye, ministre de la Fonction publique et de l’Emploi a remercié et félicité les travailleurs d’avoir su maintenir vivant le tissu économique ivoirien. Cela, en dépit des difficultés inhérentes à la crise que vit le pays depuis le 19 septembre 2002. Il a, par ailleurs, annoncé l’engagement des travailleurs à conclure une trêve de trois ans dans le secteur privé. Cette trêve s’est matérialisée par la signature d’un pacte entre le ministre, les employeurs et les travailleurs du secteur privé.