Les réformes institutionnelles menées par le gouvernement ivoirien nécessitent une mise à niveau des acteurs. Ainsi du séminaire d'appropriation du don de gouvernance institutionnel (DGDI) qui s'est ouvert, hier, à l'hôtel Belle Côte de la Riviera. Il s'agit de permettre à toutes les parties impliquées dans la mise en oeuvre du DGDI de s'imprégner du cadre institutionnel, organisationnel et opérationnel de mise en oeuvre.
Pour le directeur de cabinet, Ahoutou Koffi, représentant le ministre de l'Economie et des Finances, les attentes des populations passent par le renforcement des capacités des acteurs à l'effet de satisfaire pleinement leurs besoins. Car, a-t-il ajouté, le DGDI contribue à l'atteinte du point d'achèvement de l'initiative PPTE. Le coordonnateur du DGDI, Mme Yao Madeleine, fait chorus avec lui : "Le DGDI revêt une importance capitale et sa mise en oeuvre constitue un double enjeu pour la Côte d'Ivoire. Il s'agit d'une part d'améliorer le taux de décaissement de la Côte d'Ivoire en matière de financement extérieur, et d'autre part de mettre à niveau le cadre macroéconomique et de le rendre attrayant pour les investisseurs".
Le DGDI est financé par la Banque mondiale à hauteur de 6 milliards FCFA et est entré en vigueur en octobre 2008. Il s'articule autour de trois composantes: renforcement de la gestion des finances publiques, renforcement de la capacité de gestion du secteur pétrolier en amont, et établissement d'un cadre institutionnel, légal et réglementaire transparent et adéquat pour la filière café-cacao dans une vision de maintenir la Côte d'Ivoire dans son rôle de leader sur le marché international. Plus spécifiquement, s'agissant de la filière café-cacao, l'accent sera mis sur l'amélioration du cadre institutionnel et la compétitivité. Pour le secteur de l'énergie et du pétrole, la priorité est d'améliorer la gouvernance et l'optimisation des gains pour l'Etat.
Robert Krassault: ciurbaine@yahoo.fr
Pour le directeur de cabinet, Ahoutou Koffi, représentant le ministre de l'Economie et des Finances, les attentes des populations passent par le renforcement des capacités des acteurs à l'effet de satisfaire pleinement leurs besoins. Car, a-t-il ajouté, le DGDI contribue à l'atteinte du point d'achèvement de l'initiative PPTE. Le coordonnateur du DGDI, Mme Yao Madeleine, fait chorus avec lui : "Le DGDI revêt une importance capitale et sa mise en oeuvre constitue un double enjeu pour la Côte d'Ivoire. Il s'agit d'une part d'améliorer le taux de décaissement de la Côte d'Ivoire en matière de financement extérieur, et d'autre part de mettre à niveau le cadre macroéconomique et de le rendre attrayant pour les investisseurs".
Le DGDI est financé par la Banque mondiale à hauteur de 6 milliards FCFA et est entré en vigueur en octobre 2008. Il s'articule autour de trois composantes: renforcement de la gestion des finances publiques, renforcement de la capacité de gestion du secteur pétrolier en amont, et établissement d'un cadre institutionnel, légal et réglementaire transparent et adéquat pour la filière café-cacao dans une vision de maintenir la Côte d'Ivoire dans son rôle de leader sur le marché international. Plus spécifiquement, s'agissant de la filière café-cacao, l'accent sera mis sur l'amélioration du cadre institutionnel et la compétitivité. Pour le secteur de l'énergie et du pétrole, la priorité est d'améliorer la gouvernance et l'optimisation des gains pour l'Etat.
Robert Krassault: ciurbaine@yahoo.fr