YAMOUSSOUKRO - Le photographe de presse français Jean-Paul Ney, incarcéré en janvier 2008 en Côte d'Ivoire pour "attentat" et "complot contre l'autorité de l'Etat" devrait être en liberté provisoire mercredi, a annoncé mardi à Yamoussoukro un haut responsable français.
"Nous avons parlé de M. Ney", a déclaré à la presse le secrétaire d'Etat français à la coopération Alain Joyandet, à l'issue d'un entretien avec le président ivoirien Laurent Gbagbo à sa résidence de Yamoussoukro (centre).
Le journaliste "devrait être mis dès demain (mercredi) en liberté provisoire", a-t-il ajouté, précisant toutefois que "les choses ne sont pas totalement définies sur le plan technique".
"C'est une nouvelle positive", a estimé le secrétaire d'Etat, se félicitant d'un entretien qui "doit nous permettre d'écrire une page nouvelle des relations franco-ivoiriennes"
Ney avait été inculpé et écroué mi-janvier 2008 à Abidjan, avec huit Ouest-Africains et un Franco-Ivoirien, pour "attentat" et "complot contre l'autorité de l'Etat".
Ce photo-reporter indépendant, alors âgé de 31 ans, avait été interpellé le
27 décembre 2007 devant le siège de la Radio-télévision ivoirienne (RTI).
Fin mars, le parquet avait rejeté une "mise en liberté provisoire" accordée par le juge d'instruction en charge du dossier.
"Nous avons parlé de M. Ney", a déclaré à la presse le secrétaire d'Etat français à la coopération Alain Joyandet, à l'issue d'un entretien avec le président ivoirien Laurent Gbagbo à sa résidence de Yamoussoukro (centre).
Le journaliste "devrait être mis dès demain (mercredi) en liberté provisoire", a-t-il ajouté, précisant toutefois que "les choses ne sont pas totalement définies sur le plan technique".
"C'est une nouvelle positive", a estimé le secrétaire d'Etat, se félicitant d'un entretien qui "doit nous permettre d'écrire une page nouvelle des relations franco-ivoiriennes"
Ney avait été inculpé et écroué mi-janvier 2008 à Abidjan, avec huit Ouest-Africains et un Franco-Ivoirien, pour "attentat" et "complot contre l'autorité de l'Etat".
Ce photo-reporter indépendant, alors âgé de 31 ans, avait été interpellé le
27 décembre 2007 devant le siège de la Radio-télévision ivoirienne (RTI).
Fin mars, le parquet avait rejeté une "mise en liberté provisoire" accordée par le juge d'instruction en charge du dossier.