ABIDJAN - Le journaliste français Jean-Paul Ney, incarcéré depuis janvier 2008 en Côte d'Ivoire pour "attentat" et "complot contre l'autorité de l'Etat", est sorti de prison mercredi soir à Abidjan, après que la justice ivoirienne eut prononcé sa "mise en liberté provisoire", a constaté l'AFP.
Le photographe de presse a passé la grille de la Maison d'arrêt et de correction d'Abidjan (Maca) autour de 20H15 (locales et GMT), en compagnie du consul de France à Abidjan, Alain Ferré, et de l'un de ses co-détenus, Modeste Séry.
"Je suis sur un nuage", a déclaré à sa sortie M. Ney, visiblement soulagé et heureux, à quelques journalistes.
"Je tiens à remercier les autorités ivoiriennes et les autorités françaises pour avoir conclu cette affaire", a-t-il ajouté.
A l'issue d'un entretien avec le président ivoirien Laurent Gbagbo à Yamoussoukro, le secrétaire d'Etat français à la Coopération Alain Joyandet avait affirmé mardi que le journaliste devait bénéficier le lendemain d'une mise en "liberté provisoire".
La justice ivoirienne avait prononcé dans l'après-midi cette "mise en liberté provisoire", avait annoncé mercredi en fin d'après-midi son avocat.
Selon Me Minta Daouda Traoré, le journaliste français et "six autres personnes" - des Ouest-Africains et Ivoiriens - incarcérées dans le cadre de ce dossier sont concernés par cette mesure.
Le photographe de presse "peut quitter le territoire (ivoirien) parce que la décision qui a été rendue est sans restriction", a indiqué en outre l'avocat.
"Je n'ai aucun lien avec un présumé coup d'Etat", avait assuré M. Ney à l'AFP peu avant sa libération.
Jean-Paul Ney avait été inculpé et écroué mi-janvier 2008 à Abidjan pour "attentat" et "complot contre l'autorité de l'Etat".
Ce photo-reporter indépendant, âgé de 33 ans, avait été interpellé le 27 décembre 2007 devant le siège de la Radio-télévision ivoirienne (RTI).
Le photographe de presse a passé la grille de la Maison d'arrêt et de correction d'Abidjan (Maca) autour de 20H15 (locales et GMT), en compagnie du consul de France à Abidjan, Alain Ferré, et de l'un de ses co-détenus, Modeste Séry.
"Je suis sur un nuage", a déclaré à sa sortie M. Ney, visiblement soulagé et heureux, à quelques journalistes.
"Je tiens à remercier les autorités ivoiriennes et les autorités françaises pour avoir conclu cette affaire", a-t-il ajouté.
A l'issue d'un entretien avec le président ivoirien Laurent Gbagbo à Yamoussoukro, le secrétaire d'Etat français à la Coopération Alain Joyandet avait affirmé mardi que le journaliste devait bénéficier le lendemain d'une mise en "liberté provisoire".
La justice ivoirienne avait prononcé dans l'après-midi cette "mise en liberté provisoire", avait annoncé mercredi en fin d'après-midi son avocat.
Selon Me Minta Daouda Traoré, le journaliste français et "six autres personnes" - des Ouest-Africains et Ivoiriens - incarcérées dans le cadre de ce dossier sont concernés par cette mesure.
Le photographe de presse "peut quitter le territoire (ivoirien) parce que la décision qui a été rendue est sans restriction", a indiqué en outre l'avocat.
"Je n'ai aucun lien avec un présumé coup d'Etat", avait assuré M. Ney à l'AFP peu avant sa libération.
Jean-Paul Ney avait été inculpé et écroué mi-janvier 2008 à Abidjan pour "attentat" et "complot contre l'autorité de l'Etat".
Ce photo-reporter indépendant, âgé de 33 ans, avait été interpellé le 27 décembre 2007 devant le siège de la Radio-télévision ivoirienne (RTI).