ABIDJAN - La production pétrolière de Côte d`Ivoire, premier producteur de l`Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa), a généré 955 milliards de francs CFA (1,4 milliards d`euros) en 2008 et atteint 50.000 barils par jour, a-t-on appris vendredi de source officielle.
"La production de pétrole brut, soit 50.000 barils par jour, qui est
entièrement exportée, correspond à 15 % des exportations de la Côte d`Ivoire",
souligne le directeur de la Société nationale d`opérations pétrolières
(Pétroci, publique), Fadika Kassoum, dans un document transmis à l`AFP.
Selon lui, les produits pétroliers ivoiriens ont contribué l`an dernier à
3,6% au Produit intérieur brut (PIB).
La Côte d`Ivoire compte 28 champs pétrolifères identifiés, dont 23
attribués à des opérateurs étrangers.
Selon les chiffres officiels, la production nationale approche les 50.000
barils par jour, dont 6.000 bj revenant à l`Etat.
Cette production avait atteint un pic à 80.000 bj en 2006, selon un rapport
de l`Uemoa. Elle a ensuite chuté, d`après le gouvernement ivoirien, en raison
de problèmes techniques sur certains champs.
Des ONG ont dénoncé l`opacité de ce secteur, affirmant que la production
ivoirienne s`établissait en réalité à environ 100.000 bj. Les institutions
financières internationales ont également réclamé une plus grande transparence
dans le secteur pétrolier ivoirien.
ck/tmo/dla
"La production de pétrole brut, soit 50.000 barils par jour, qui est
entièrement exportée, correspond à 15 % des exportations de la Côte d`Ivoire",
souligne le directeur de la Société nationale d`opérations pétrolières
(Pétroci, publique), Fadika Kassoum, dans un document transmis à l`AFP.
Selon lui, les produits pétroliers ivoiriens ont contribué l`an dernier à
3,6% au Produit intérieur brut (PIB).
La Côte d`Ivoire compte 28 champs pétrolifères identifiés, dont 23
attribués à des opérateurs étrangers.
Selon les chiffres officiels, la production nationale approche les 50.000
barils par jour, dont 6.000 bj revenant à l`Etat.
Cette production avait atteint un pic à 80.000 bj en 2006, selon un rapport
de l`Uemoa. Elle a ensuite chuté, d`après le gouvernement ivoirien, en raison
de problèmes techniques sur certains champs.
Des ONG ont dénoncé l`opacité de ce secteur, affirmant que la production
ivoirienne s`établissait en réalité à environ 100.000 bj. Les institutions
financières internationales ont également réclamé une plus grande transparence
dans le secteur pétrolier ivoirien.
ck/tmo/dla