Un point d’information pour faire l’état des lieux. Installé officiellement depuis le 22 janvier 2009, le Conseil de gestion du Fonds de soutien et de développement à la presse et à la communication audiovisuelle (Fsdp) a entrepris des actions tendant au démarrage effectif de ses activités.
Au cours de ce tout premier point du Conseil de gestion, au 21e étage du ministère de la Communication, Mme Bernise N’Guessan, directeur exécutif de ce Fsdp a énuméré les activités menées. Il s’agit, entre autres, des démarches administratives, de la recherche d’un siège et l’adoption du cadre organique, des attributions, des fiches de poste et du budget du Fsdp. Le tout s’élève à 3,120 milliards, dont les 2/3 seront affectés, à en croire Mme Bernise N’Guessan, à la presse écrite, l’audiovisuel et aux structures de production audiovisuelle.
Les ressources du Fsdp proviendraient, selon le directeur exécutif, des taxes collectées sur la publicité de 1997 à 2008, des sommes promises par les différents premiers ministres comme aide à la presse et également d’une subvention de l’Etat au Fsdp à l’instar de tous les autres Etablissements publics nationaux (Epn).
A la réalité, ce fonds n’est pas encore disponible. D’où le cri du cœur de Mme Bernise N’Guessan à l’endroit du ministère de l’Economie et des Finances, pour l’adoption et la notification du budget définitif du Fonds de soutien et de développement à la presse. Cet outil, une fois disponible, permettra d’assister et de soutenir le secteur de la presse et de l’audiovisuel qui est sinistré.
Pour bénéficier de ce Fonds, il faut élaborer, à en croire la conférencière, des projets allant dans le sens du développement de l’activité, de la formation du personnel. D’ailleurs, pour avoir accès au fonds, il y a des critères d’éligibilité. C’est pourquoi, a noté Mme N’Guessan, le Conseil d’administration travaillera en collaboration avec le Conseil national de la presse (Cnp) et le Conseil national de la communication l’audiovisuelle (Cnca).
Les organes installés, le Conseil de gestion, qui s’est doté d’un logo, un site web, un programme annuel d’activité, de documents de procédures de gestion et de projets d’évaluation, n’attend donc plus que la mise en disponibilité de ce Fonds qui manque le plus.
Marie Chantal Obindé
Au cours de ce tout premier point du Conseil de gestion, au 21e étage du ministère de la Communication, Mme Bernise N’Guessan, directeur exécutif de ce Fsdp a énuméré les activités menées. Il s’agit, entre autres, des démarches administratives, de la recherche d’un siège et l’adoption du cadre organique, des attributions, des fiches de poste et du budget du Fsdp. Le tout s’élève à 3,120 milliards, dont les 2/3 seront affectés, à en croire Mme Bernise N’Guessan, à la presse écrite, l’audiovisuel et aux structures de production audiovisuelle.
Les ressources du Fsdp proviendraient, selon le directeur exécutif, des taxes collectées sur la publicité de 1997 à 2008, des sommes promises par les différents premiers ministres comme aide à la presse et également d’une subvention de l’Etat au Fsdp à l’instar de tous les autres Etablissements publics nationaux (Epn).
A la réalité, ce fonds n’est pas encore disponible. D’où le cri du cœur de Mme Bernise N’Guessan à l’endroit du ministère de l’Economie et des Finances, pour l’adoption et la notification du budget définitif du Fonds de soutien et de développement à la presse. Cet outil, une fois disponible, permettra d’assister et de soutenir le secteur de la presse et de l’audiovisuel qui est sinistré.
Pour bénéficier de ce Fonds, il faut élaborer, à en croire la conférencière, des projets allant dans le sens du développement de l’activité, de la formation du personnel. D’ailleurs, pour avoir accès au fonds, il y a des critères d’éligibilité. C’est pourquoi, a noté Mme N’Guessan, le Conseil d’administration travaillera en collaboration avec le Conseil national de la presse (Cnp) et le Conseil national de la communication l’audiovisuelle (Cnca).
Les organes installés, le Conseil de gestion, qui s’est doté d’un logo, un site web, un programme annuel d’activité, de documents de procédures de gestion et de projets d’évaluation, n’attend donc plus que la mise en disponibilité de ce Fonds qui manque le plus.
Marie Chantal Obindé