Ce ne sont ni des frustrés de l’Union des journalistes de Côte d’Ivoire, encore moins des partisans de David Mobio ou qui que ce soit. Ce sont tout simplement des journalistes qui ont décidé de se mettre au service de la corporation, de s’intéresser aux problèmes des journalistes afin d’y apporter des solutions’’. Ces propos de Brou Aka Pascal, président du comité ad hoc de l’Organisation des journalistes professionnels de Côte d’Ivoire (Ojpci), traduisent leur volonté de créer ‘’une autre union capable de défendre leurs intérêts’’. Réunis, hier, au 4e étage de la Radiotélévision diffusion ivoirienne (Rti), des journalistes de la presse écrite et de l’audiovisuel entendent ainsi poser les jalons de leur association. Laquelle s’assigne pour objectif d’organiser les professionnels des médias ivoiriens dans un cadre fédérateur. Ils veulent ainsi travailler à la mise en place d’un partenariat unificateur et durable, afin de créer une cohésion véritable entre leurs membres. L’argent étant le nerf de la guerre, ils s’emploient à mobiliser des ressources financières pour l’amélioration du cadre de vie et de travail du journaliste. Non sans veiller à leur formation, etc.
Le 13 juin prochain, il est prévu le pré congrès de l’Ojpci à la porte des jardins sis aux Deux-Plateaux et le 27 juin prochain, l’assemblée générale constitutive. A en croire Brou Aka Pascal, l’Ojpci ne fera pas comme l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire ‘’qui est l’affaire d’un groupe et au sein duquel, on écarte arbitrairement des candidats et où le successeur est connu avant d’aller au congrès’’. Dans cette nouvelle organisation, a-t-il précisé, ‘’tout membre peut être candidat’’
Avant d’ajouter que c’est sur le terrain que se fera la différence entre les ‘’deux associations de journalistes’’.
Marie Chantal Obindé
Le 13 juin prochain, il est prévu le pré congrès de l’Ojpci à la porte des jardins sis aux Deux-Plateaux et le 27 juin prochain, l’assemblée générale constitutive. A en croire Brou Aka Pascal, l’Ojpci ne fera pas comme l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire ‘’qui est l’affaire d’un groupe et au sein duquel, on écarte arbitrairement des candidats et où le successeur est connu avant d’aller au congrès’’. Dans cette nouvelle organisation, a-t-il précisé, ‘’tout membre peut être candidat’’
Avant d’ajouter que c’est sur le terrain que se fera la différence entre les ‘’deux associations de journalistes’’.
Marie Chantal Obindé