La salle Anoumabo du Palais de la culture a refusé du monde hier, lors du séminaire de David O.Oyedepo, fondateur de l’Eglise Winner’s Chapel, sur le leadership.
Commencé à l’heure prévue c’est-à-dire 8h, il s’est achevé avant le délai imparti, 12h. Car, pour le prédicateur, si l’Afrique est pauvre, c’est à cause de la mauvaise gestion de ses ressources, à commencer par le temps. «Si vous êtes un mauvais gestionnaire du temps, vous serez un mauvais gestionnaire d’argent», a-t-il soutenu. Ce séminaire a pour objectif, selon lui, de voir comment le trésor de leadership qu’il y a en chacun peut se développer. Citant un célèbre homme d’affaires, il a déclaré : « Notre génération est une génération perdue et affligée par le gaspillage, qui est le résultat de la mauvaise gestion». Cela, à tous les niveaux de la société, même au gouvernement. Citant aussi George Washington, David Oyedepo a indiqué que la responsabilité est le prix de la grandeur. «Malheureusement, l’Afrique a des fils irresponsables, des Bishop irresponsables…D’où viendra la grandeur?”, s’est-il interrogé.
Pour cet homme de Dieu qui a plus de 200 Églises dans le monde, le problème du continent africain, c’est que ses fils sont dépourvus de qualité de leadership. Car un leader doit penser pour les autres, avoir une bonne gestion des tâches et des ressources humaines et matérielles. Ce qui pourra, selon lui, faire sortir l’Afrique de la situation qu’elle vit, c’est un leadership effectif. Ce sont des hommes et des femmes outillés pour cette mission par un esprit de sagesse et la formation qui pourront changer le cours de l’histoire et mettre fin aux guerres.
Cependant, cette position dominante a un coût : la détermination, la consécration, la discipline, et le sacrifice.
David O.Oyadepo a aussi dénoncé le fait que les Africains aient peu de «goût» pour la connaissance et la sagesse. Non sans s’insurger contre les hommes d’affaires, les chefs d’entreprise, et les pasteurs sans formation.
Il est propriétaire d’une Université de l’alliance, construite il y a trois ans et qui est la première au Nigeria. Une seconde est même en construction pour former des agronomes.
Marie-Adèle Djidjé
Commencé à l’heure prévue c’est-à-dire 8h, il s’est achevé avant le délai imparti, 12h. Car, pour le prédicateur, si l’Afrique est pauvre, c’est à cause de la mauvaise gestion de ses ressources, à commencer par le temps. «Si vous êtes un mauvais gestionnaire du temps, vous serez un mauvais gestionnaire d’argent», a-t-il soutenu. Ce séminaire a pour objectif, selon lui, de voir comment le trésor de leadership qu’il y a en chacun peut se développer. Citant un célèbre homme d’affaires, il a déclaré : « Notre génération est une génération perdue et affligée par le gaspillage, qui est le résultat de la mauvaise gestion». Cela, à tous les niveaux de la société, même au gouvernement. Citant aussi George Washington, David Oyedepo a indiqué que la responsabilité est le prix de la grandeur. «Malheureusement, l’Afrique a des fils irresponsables, des Bishop irresponsables…D’où viendra la grandeur?”, s’est-il interrogé.
Pour cet homme de Dieu qui a plus de 200 Églises dans le monde, le problème du continent africain, c’est que ses fils sont dépourvus de qualité de leadership. Car un leader doit penser pour les autres, avoir une bonne gestion des tâches et des ressources humaines et matérielles. Ce qui pourra, selon lui, faire sortir l’Afrique de la situation qu’elle vit, c’est un leadership effectif. Ce sont des hommes et des femmes outillés pour cette mission par un esprit de sagesse et la formation qui pourront changer le cours de l’histoire et mettre fin aux guerres.
Cependant, cette position dominante a un coût : la détermination, la consécration, la discipline, et le sacrifice.
David O.Oyadepo a aussi dénoncé le fait que les Africains aient peu de «goût» pour la connaissance et la sagesse. Non sans s’insurger contre les hommes d’affaires, les chefs d’entreprise, et les pasteurs sans formation.
Il est propriétaire d’une Université de l’alliance, construite il y a trois ans et qui est la première au Nigeria. Une seconde est même en construction pour former des agronomes.
Marie-Adèle Djidjé