Le président sud - africain Jacob Zuma s’est montré confiant, samedi, quant aux capacités de son pays à réussir l’organisation de la phase finale de la Coupe du monde de football en juin et juillet 2010.
« L’Afrique du Sud va assurer un événement de dimension mondiale qui va changer la perception que la communauté mondiale a de l’Afrique », a-t-il indiqué, à propos de l’organisation par son pays de la Coupe du monde 2010, lors de sa prestation de serment, samedi à Pretoria, comme nouveau chef de l’Etat d’Afrique du Sud. « Si nous œuvrons ensemble, nous allons réaliser nos rêves », a-t-il conclu sous les applaudissements notamment des présidents Nelson Mandela, Thabo Mbeki et Kgalema Motlanthe. Outre les anciens présidents sud - africains, des chefs d’Etat africains, sous la houlette du Guide de la Révolution libyenne, par ailleurs président en exercice de l’Union africaine, le colonel Mouammar Kadhafi, et le leader zimbabwéen, Robert Mugabe, sont également témoins de l’engagement pris par le nouveau chef d’Etat sud-africain à l’occasion de cette cérémonie d’investiture organisée en grande pompe. A un peu plus d’un an de la Coupe du monde, l’Afrique du Sud met les bouchées doubles pour relever le pari de l’organisation. Une première en terres africaines, de cette compétition de dimension planétaire. Et les neuf villes hôtes s’apprêtent à mettre en exergue leurs spécificités. Le premier test grandeur nature sera l’organisation, du 14 au 28 juin prochain, de la Coupe des confédérations, avec la participation de huit pays. Un évènement très attendu en Afrique du Sud dont les organisateurs y tiennent beaucoup car ils ont l’occasion de convaincre la FIFA en attendant la fête sportive la plus médiatisée de la planète foot qui se déroulera pour la première fois sur le continent africain.
Hamed K
« L’Afrique du Sud va assurer un événement de dimension mondiale qui va changer la perception que la communauté mondiale a de l’Afrique », a-t-il indiqué, à propos de l’organisation par son pays de la Coupe du monde 2010, lors de sa prestation de serment, samedi à Pretoria, comme nouveau chef de l’Etat d’Afrique du Sud. « Si nous œuvrons ensemble, nous allons réaliser nos rêves », a-t-il conclu sous les applaudissements notamment des présidents Nelson Mandela, Thabo Mbeki et Kgalema Motlanthe. Outre les anciens présidents sud - africains, des chefs d’Etat africains, sous la houlette du Guide de la Révolution libyenne, par ailleurs président en exercice de l’Union africaine, le colonel Mouammar Kadhafi, et le leader zimbabwéen, Robert Mugabe, sont également témoins de l’engagement pris par le nouveau chef d’Etat sud-africain à l’occasion de cette cérémonie d’investiture organisée en grande pompe. A un peu plus d’un an de la Coupe du monde, l’Afrique du Sud met les bouchées doubles pour relever le pari de l’organisation. Une première en terres africaines, de cette compétition de dimension planétaire. Et les neuf villes hôtes s’apprêtent à mettre en exergue leurs spécificités. Le premier test grandeur nature sera l’organisation, du 14 au 28 juin prochain, de la Coupe des confédérations, avec la participation de huit pays. Un évènement très attendu en Afrique du Sud dont les organisateurs y tiennent beaucoup car ils ont l’occasion de convaincre la FIFA en attendant la fête sportive la plus médiatisée de la planète foot qui se déroulera pour la première fois sur le continent africain.
Hamed K