L’opération de redéploiement des 8000 agents des FDS et FAFN du Centre de commandement intégré (CCI) dans les zones ex-assiégées semble réjouir les populations de cette partie du pays qui nous l’ont fait savoir. «C’est un grand plaisir pour moi d’apprendre que notre zone sera bientôt sécurisée par les agents des brigades mixtes du CCI», indique Fofana Mamadou, opérateur économique à Séguéla.
Comme lui, de nombreux habitants que nous avons interrogés nous ont fait partager leur joie de savoir que leur zone sera bientôt sécurisée. «Vraiment on souffrait ici et je pense que notre souffrance va s’atténuer un peu avec l’arrivée de nos frères qui viennent pour nous libérer de la prison où les rebelles nous ont jetées depuis bientôt sept ans», a expliqué Konaté Vassory, vendeur d’ustensiles de cuisine au grand marché.
Quelques éléments de la Compagnie Anaconda, unité de combat du com’ zone de Séguéla, Issiaka Wattara dit Wattao, ont fait savoir à “Notre Voie” qu’ils sont prêts à déposer les armes pour laisser la place aux éléments du CCI, pourvu que leurs responsables leur en fassent la demande. «Mon frère, on est fatigués de la guerre et nous ne sommes plus prêts à retourner en brousse pour tirer des Kalachs (…), on attend que nos chefs nous donnent l’ordre de déposer les armes et vous verrez que nous allons tous libérer cette région», avance K. Y, un ex-rebelle .
Une promenade dans la ville de Séguéla, nous a permis de voir les premiers éléments du Centre de commandement intégré qui patrouillaient dans la ville à bord de deux pik-up estampillées «CCI».
Les va-et-vient de ces véhicules dans la ville ont susciter des cris de joie de la part des populations qui ont esquissé des pas de danse. Comme pour dire que l’accord de Ouaga a engagé le pays sur la voie de la paix.
Gervais Amany: envoyé spécial à Séguéla
Comme lui, de nombreux habitants que nous avons interrogés nous ont fait partager leur joie de savoir que leur zone sera bientôt sécurisée. «Vraiment on souffrait ici et je pense que notre souffrance va s’atténuer un peu avec l’arrivée de nos frères qui viennent pour nous libérer de la prison où les rebelles nous ont jetées depuis bientôt sept ans», a expliqué Konaté Vassory, vendeur d’ustensiles de cuisine au grand marché.
Quelques éléments de la Compagnie Anaconda, unité de combat du com’ zone de Séguéla, Issiaka Wattara dit Wattao, ont fait savoir à “Notre Voie” qu’ils sont prêts à déposer les armes pour laisser la place aux éléments du CCI, pourvu que leurs responsables leur en fassent la demande. «Mon frère, on est fatigués de la guerre et nous ne sommes plus prêts à retourner en brousse pour tirer des Kalachs (…), on attend que nos chefs nous donnent l’ordre de déposer les armes et vous verrez que nous allons tous libérer cette région», avance K. Y, un ex-rebelle .
Une promenade dans la ville de Séguéla, nous a permis de voir les premiers éléments du Centre de commandement intégré qui patrouillaient dans la ville à bord de deux pik-up estampillées «CCI».
Les va-et-vient de ces véhicules dans la ville ont susciter des cris de joie de la part des populations qui ont esquissé des pas de danse. Comme pour dire que l’accord de Ouaga a engagé le pays sur la voie de la paix.
Gervais Amany: envoyé spécial à Séguéla